L'INVITE SURPRISE
Nos mains baladeuses sur nos corps nus. Nos souffles presque en chœur du plaisir qui montait. Nous étions si bien, concentrés sur nos ébats, sur nos sens. Tes doigts me parcouraient, les miens te caressaient et entouraient dès qu'ils le pouvaient ton membre qui ne restait pas de marbre, quoiqu'il en avait la dureté. Ton bout chaud me touchait régulièrement, chatouille excitante à souhaite.Mon entrejambe ne demandait qu'à ce qu'il vienne enfin.
Nos langues s'entremêlaient. Nous nous passions l'un sur l'autre à tour de rôle, embrassant nos peaux. La couette, lassée de ne pas nous voir rester en place, tomba au sol, dévoilant nos anatomies complètes. En travers du lit, qu'importait, je n'y tenais plus et, à ma merci, allongé sur ton dos, je te prenais enfin dans ma bouche, découvrant dans ton regard le plaisir ainsi procuré.
Je venais ensuite t'embrasser, alors que je guidais ta verge vers ma grotte détrempée. Tu y entrais sans difficulté, attendu depuis de si longs moments de préliminaires. Tes doigts m'avaient bien préparée. Au dessus de toi, je commençais à donner le rythme par mes mouvements de bassin., appréciant la chaleur de ton sexe au plus profond du mien. Assise sur toi, dans mes mouvements de cavalière, je me caressais en devinant sur ton visage que tu appréciais autant le spectacle que les sensations.
Je me penchais enfin sur toi pour échanger de nouveaux baisers. Tes mains se plaquèrent sur mes fesses. Je sais que tu aimes les sentir ainsi, comme exposées, et ton vit allant et venant en moi, sur un nouveau rythme que tu donnes à ton tour par tes coups de reins. Tu l'augmentais, les sensations dans mon corps se décuplaient. Je te sentais, nos souffles s'accéléraient, nos gémissements s'amplifiaient. Nous juissions ensemble du moment présent, sans remarquer que la porte s'entrouvrait silencieusement. Sans deviner ce regard épiant nos cabrioles. Aucun de nous ne l'a vu rentrer dans la chambre, s'approcher discrètement du lit, se rapprocher tout bonnement... de nous. Et finir par venir coller sur mon cul en l'air sa truffe humide.
Raah, que c'est dur d'être tranquille quand on a un chien !
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