Chapitre 43 - Belles paroles

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PDV Drago

Wow, Hermione se voyait toujours avec moi, même dans 10 ans. Même avec un gosse. Serai-je un bon père ? Un meilleur père que le mien au moins ? J’essaierai. Pour notre enfant. Pour Hermione. Pour moi.

- Et toi ? Rétorqua t-elle en interrompant ma réflexion.

- Moi ?

- Tu te vois où dans 10 ans ?

- A peu près comme toi. Sauf que, nous aurions un chien. Non mieux ! Nous aurions emportés Loki avec nous après nos ASPICS. Il veillera sur toi et nos enfants à la maison, quand je serai au travail.

- Nos ?

- Hermione, mon coeur, on baisera tellement de fois ensemble, que c’est impossible que nous n’ayons pas plusieurs enfants.

Hermione rougit, comme à son habitude, quand je parlais de sexe ouvertement.

- Je te ferai l’amour dans notre lit, tous les soirs. Je te prendrai sur le canapé pendant que les enfants feront la sieste. Il y a aussi l’option du plan de travail de la cuisine, qui est plus qu’attirante. Mais n’oublions pas le classique de la douche… dis-je en haussant un sourcil.

Hermione était maintenant écarlate.

- Et si… dis-je en m’approchant d’elle et en descendant la bretelle de son pyjame. Et si, on faisait de mes projets d’avenir, une réalité ?

Hermione retira sa seconde bretelle, et en souriant, elle déclara :

- Tu sais à quel point je préfère les actions aux belles paroles…

Il ne m’en fallut pas plus, je poussais le plateau, qui atterrit lourdement par terre, et je me mis à califourchon sur Hermione.

Je retirai son débardeur qui m’empêchait de l’admirer. Bordel. Cette vue me rappelait brusquement qu’Hermione ne mettait pas de soutien-gorges pour dormir. Je sentis mon envie d’elle grandir d’un seul coup, et mon caleçon rétrécir.

Hermione tirait sur ma chemise pour me l’enlever, et je la laissais faire. Lorsqu’elle défit le dernier bouton, je balançais mon vêtement à l’autre bout de la pièce, peut m’importait à ce moment, l’endroit où elle atterrirait. Ma sorcière sexy passa ses doigts sur mon torse, en caressant mes abdos. Par Merlin. Je l’embrassais dans le cou, tout en caressant ses seins. Je l’entendais gémir contre moi.

Hermione entreprit de retirer mon pantalon, mais n’arriva pas à défaire la ceinture tant elle était impatiente. Je le fis donc, à sa place, et mon pantalon ne tarda pas à rejoindre ma chemise. J’étais maintenant en caleçon face à Hermione qui avait encore son short et sa culotte. Je décidais qu’il était temps d’inverser la tendance. Je fis descendre le short d’Hermione, le long de ses cuisses, tout en embrassant la peau, qui se couvrait de chair de poule à mon contact. Je balançais également le short d’Hermione loin de nous. Je remontais le corps d’Hermione, comme je l’avais fait pour enlever son bas. J’embrassais doucement l’intérieur de ses cuisses, en entendant les gémissements d’Hermione devenir de plus en plus forts. J’arrachais cette dernière barrière de tissu, que constituait sa culotte, qui me faisait obstacle. J’embrassais ainsi l’intimité de mon coeur, qui criait presque mon nom à présent. Par Merlin, je n’en pouvais plus. Rien que ses gémissement auraient suffit à me faire jouir dans l’instant. Je me retenais de toutes mes forces pour qu’elle en profite au maximum.

- Drago… Dray… s’il te plait, me supplia t-elle.

Il ne m’en fallut pas plus, pour me mettre au dessus d’elle. Je prononçais ce putain de sort de contraception et me reconcentrais sur la femme de ma vie. Je glissais ma langue contre la sienne, tandis que je la pénétrais. Hermione se mit à haleter, tout comme moi.

- Vas y, jouis mon coeur…

Au rythme de mes coups de reins, Hermione criait mon nom. Je n’en pouvais plus, et accélérais mes mouvements de vas et viens pour atteindre l’orgasme. Je jouis en même temps qu’Hermione et me vidais en elle. Par Merlin que je l’aimais. Je restais quelques instants en elle, puis me retirais. Je ne me lasserai jamais d’elle. C’était sûr.

Nous nous dirigions vers la Grande Salle pour y prendre le déjeuner. Hermione ne voulait pas qu’on mange dans sa chambre, car elle estimait qu’après une matinée entière au lit, elle devait au moins passer le repas avec ses amis. Foutus amis. J’aurais pu avoir ma belle pour la journée entière, s’ils n’avaient pas été là.

Je m’assis donc à ma table, tout en vérifiant que j’avais une bonne vue sur Hermione. Place validée !

Blaise s’assit à côté de moi, et commença à me raconter sa soirée avec Pansy qui s’était très bien passée à ma grande surprise.

- En fait, il y a tout un aspect de Pansy que je ne connaissais pas. Elle n’est pas celle qu’elle montre. Elle est bien plus que ça. Mec, je crois qu’elle me plait.

- Tu vas voir, Blaise, après c’est la merde, tu vas dépendre d’elle. Chaque chose que tu feras sera pour elle. Mais en même temps, tu vas aimer ça. Parce que Pansy te fera te sentir spécial, différent. Tu auras l’impression d’être quelqu’un de bien. Tu voudras changer pour elle.

Blaise me fixait, comme s’il était sceptique.

- Mec, je crois que on parle plus de moi et de Pansy là.

- Tu dis n’importe quoi, rétorquais-je.

- Sinon, toi ? Ta soirée avec ta belle Gryffondor ? C’est qu’elle était sexy en vert Granger. Comment tu l’as convaincue ?

- Je ne l’ai pas convaincu, je lui ai simplement offert cette robe. Et ne parle pas de ma copine comme ça. Il n’y a que moi qui ait le droit de la trouver sexy.

- Oula ! On se détend Drago.

- Y a pas de “on se détend” qui tienne. Tu voudrais que je te raconte toutes les nuits que j’ai passé avec Pansy ? Non ? C’est bien ce que je pensais.

J’avoue m’être un peu emporté, mais je m’excuserai plus tard.

- Bon, sinon cette soirée avec Granger ?

- Géniale. A part le début, que j’ai loupé à cause d’un abruti qui a changé les boissons en Whisky Pur feu et que la vieille McGonagall m’a forcé à changer.

Blaise baissa les yeux à ma déclaration.

- Putain, me dis pas que c’est toi qui a eut cette idée ?

Il releva les yeux et me fis un petit sourire. Putain !

- Mais merde ! Pourquoi ?

- Bah, je voulais que ce soit plus fun. Je pensais pas que McGonagall s’en rendrait compte, ça a la même couleur que l’eau. Désolé d’avoir gâché ta soirée.

Je pinçais mon nez, en soufflant. J’étais en colère, mais ma soirée ne s’était pas si mal fini. Je pouvais bien pardonner à Blaise.

- T’inquiètes pas.

- On est cool, mec ?

- On est cool.

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