Une fois arrivée, la jeune femme se posa sur un fauteuil et désigna le sol devant elle à la rousse.

Maya un peu hésitante se mit d’abord en tailleur, mais au regard sévère qu’elle ressentit, elle se mets à genoux et attend de voir ce qui allait se passer, de son pied la fille tatouée écarta les jambes de maya puis lui ordonna de mettre ses bras croisés dans son dos. Maya s’exécuta puis attendit de voir la suit.

- Si tu as des questions, tu peux les poser maintenant en me regardant, cela sera la seule et unique fois ou tu pourras le faire. Annonce la noiraude en allumant une cigarette, attention, si tes questions sont trop stupides je te ferai dormir dehors nue et attaché à un arbre, tu peux parler.

- Pourquoi m’avoir acheté ? demande Maya d’une petite voix.

La rousse reçue une gifle qui lui rappella les règles dit plutôt.

- Premier avertissement Roxanne, dit la jeune femme

- Pourquoi m’aviez-vous acheté, madame ? demande cette dernière les yeux brillant se tenant la joue.

- Je ne sais pas vraiment, j avait bien envie d’avoir à nouveau un petit animal de compagnie, répondit nonchalamment la jeune femme en soufflant un nuage de fumée

- Puis-je vous savoir votre prénom, madame ? demande ensuite la rousse

- A quoi cela va t avance ? répondit la jeune femme sur un ton menaçant

- Juste savoir à qui j’appartiens, madame. Se justifia Maya apeurée

- La seule chose que tu as à savoir est qu’on me surnom l’araignée, mais si je te le permets tu pourras parfois m’appelle maîtresse Alena, mais pour le moment reste à maîtresse tout court ou madame.

- Que suis-je à vos yeux, madame ?

- Un jouet, un animal de compagnie ou tout simplement mon esclave.

- Vous compte me tuer, madame ?

- Cela dépend de ton comportement et de si je ne me lasse de toi.

- Je ne verrai plus jamais ma famille et mes amis, madame ?

- Deuxième avertissement, encore un et tu dors dehors.

- Je n’ai alors pas d’autre question, madame.

Après un long silence, Alena fit signe a la rousse de la suivre vers la porte d’entrée, après l’avoir ouvert la noiraude se décala laissant libre le passage vers la liberté de maya.

La rousse fit un premier pas vers l’extérieur, mais finalement se laissa tomber au sol, puis à sangloter.

- Si j’essaye de fuir vous allez me rattraper et me faire paye ma tentative, madame ? demande la rousse d’une voix triste avec les larmes aux yeux.

- C’est tout à fait possible. Répondit l’autre avec un petit sourire animal, mais je te laisse quand même une chance de tenté de fuir.

La rousse ne bougea pas, Alena pris alors la jeune fille par la boucle de son collier et la relevée. Après avoir refermé la porte à clef, elle tira sa prisonnière vers une pièce à l’étage. Une fois arrivée, Maya se fige sur place à la vue d’une barre de métal dans une cheminée allumée, regretta alors de pas avoir tenté sa chance. Il y avait aussi dans cette pièce deux chaînes avec des bracelets qui pendent du plafond.

La fille tatoue amena la rousse qui se débattait en vain vers le milieu de la pièce, elle commença par attacher le poignet gauche puis le droit puis se recula pour regard sa prisonnière avec un sourire animal. Dans cette position maya était sur le point des pieds.

Après avoir vérifié que les poignets de son animal étaient bien verrouillés dans les liens, la maîtresse alla prendre le sceau en métal dans le feu, puis s’approcha de la jeune fille qui se débâtit de plus belle dans ses attaches en cuir. Alena se mit devant son esclave. Malgré les larmes et les supplications de cette dernière, elle relèva légèrement le top de sa main libre puis appuya contre le bassin gauche de maya la barre de métal chauffer à blanc. Au contact du métal, la rousse poussa un long cri de douleur et tira de toutes ses forces sur les liens. Une odeur de chairs brûle se fit sentir.

Quand la sadique enlèvs finalement le sceau, une toile d’araignée fait de cordes était imprimée dans la chaire de son nouveau jouet. Quand la rousse fût libre elle se laissa tombe au sol, évanouir à cause de la douleur, les yeux exorbités.

Alena pris délicatement maya dans ses bras. Quand elle la relève, la jeune fille vit une petite flaque sur le sol, ce qui lui fait lever les yeux au plafond et poussa un long soupire. La jeune fille tatouée porta son achat ensuite dans la chambre à la cave.

Après l’avoir déposé sur le lit, la jeune femme enlèva la tunique et le pantalon de la rousse, elle prit ensuite un linge qu’elle humidifie et qu’elle utilise ensuite pour lave l’entre-jambes et jambes de sa propriété, puis alena étala de la pommade cicatrisent sur la brûlure, enfin elle mit un pansement sur la blessure.

Quand la porte de la chambre fût fermée avec à clef, la jeune fille remonta pour laver le sol et se changer, elle remit son masque, enfila une combinaison noire et de longes bottes puis s’arma de son sabre et son pistolet équipe d’un silencieux. Une fois prête, elle récupéra un grand sac puis alla dans le garage de la maison, Alena enfourche alors une moto puis part à son rendez-vous.