Chère Jéraldine,

Je t'écris cette lettre car je n'en puie plus. Cela va sans doute t'étoner mais j'ai eu beaucoup d'idées noirs, come tu auras pue, peut-être, le remarqués.

Je ne me suuis jamais sentie aussi mal que ses derniers jours. J'en ai même zapé l'anniverseire de Candise, notre fille.

Excuses-moi pouur tout le mal que je thé fait. Je t’en supplie, fait en sorte que notre fille ne m'en veuille pas.

Je garde dans mon serveau son jolie visage ront et ta douce voie. Elle est trop bele pour toi, c'est ce que m'avait dit ton pere à l'époque où nous étions sortis voir Ginete. La Genon qu'il l'appelé pouur l'emmerder. La pauvrre avait dé poils aussi long que ces cheveux. Pauvre Ginete !

Je vais rejoindre Saint Pierre come tu aurais dit.

L'o coulera sous les ponds et tu m'oublieras, moins vite que notre bone fille mais tu m'oublieras bébbé. Si cela peut t'aider, dis toi que je n'étais qu'un povre type, que je ne te méritait pas, que j'était un con …

 Ton homme qui t’aime pour l'éternité.