Mater Leonina
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Douce mère, aimant pilier
Qu’amer délaisse,
Et si maigre bile failli.
Tu te fais havre
Pour les diables abômés
Que nous tous sommes.
Tu nous promets doux sommes
De tes mots quiets
Où inquiétude est songe.
Sans once aucune
D’impatience, tu nous ouïes
L’on jouit confiance.
Tu mérites mil mercis
Dont ce poème
Se fait humble émissaire.
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