Prise
Avant qu’elle ne puisse répondre, l’homme pressa sa bouche contre la sienne. D’un geste brusque, il la plaqua contre ses hanches. Quelque chose de dur frotta contre son bas-ventre. Le marchand referma sa main sur l’un de ses seins. Il le serra trop fort, lui faisant mal, mais elle n’osa rien dire.
– Tu es gâtée, montre-moi donc ça !
Scarlett hésita, ce que l’inconnu prit pour une invitation. Il sortit un sein rond et blanc de son corsage, avant de le pétrir. Cela ne fit qu’augmenter l’envie qui grossissait dans son pantalon.
Sans attendre, il la poussa contre l’une des bottes de paille. Surprise, la jeune femme recula pour se retrouver plaquée contre le chaume. Les mains de son compagnon retroussèrent ses jupons pour mettre à nu ses jambes. Ses doigts glissèrent jusqu’au haut de ses cuisses. En sentant ses sous-vêtements trempés, il prit la liberté de s’en débarrasser pour enfoncer un index en elle. Surprise, Scarlett sentit son corps se serrer. Malgré tout, il se glissa phalange par phalange dans son intimité.
– Tu en as envie, hein ? lui susurra-t-il d’un ton lubrique.
Il ouvrit son pantalon, pour dévoiler un sexe tendu. Sa taille ne valait pas celle de celui de Jean. Une pensée qui étonna la jeune femme. Mais peut-être cela serait-il plus simple pour qu’il vienne en elle.
Le gland brûlant vint se frotter sur sa fente humide jusqu’à la pénétrer. D’un coup de rein, il s’enfonça. Comme il n’était pas au bout, il en donna un second.
– Qu’est-ce que tu es serré ! gémit-il.
Scarlett vivait la scène sans la comprendre. Elle aurait voulu connaître une union aussi intense que celle de son Mary. Là, elle sentait juste un pénis lui labourer l’intérieur pendant que son propriétaire haletait au-dessus d’elle. Les sensations n’avaient rien d’agréable. Elle avait l’impression que l’on tirait sur sa petite fente, tout en la frottant vigoureusement. Son visage ne ressemblait pas à celui de Mary, dans la même situation.
– Prépare-toi ! lui lança-t-il.
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