Il y a des mots qui restent gravés en nos mémoires, des sourires qui réchauffes nos cœurs à tout jamais, des regards qui bouleversent votre monde en un instant.

On passe notre temps à vouloir évoluer, que notre vie deviennent meilleur et moins merdiques qu'elle ne l'est actuellement. On aimerait oublier à tout jamais ce qui a formé des blessures au plus profond de nous, des pleurs qu'on aurait aimé ne jamais verser, des traumatismes qu'on aurait aimé ne jamais connaître.

Pourtant, c'est arriver sans notre consentement, ça nous détruit, ça nous met à terre, et nous nous forçons à les combattre les mieux que nous le pouvons.

Si la force nous le permet.

Et surtout, nous fuyons nos peurs, ceux que nous redoutons le plus, ceux que nous remettons à demain de peur de devoir traverser un nouveau temps d'orage.

Parfois, cela fait tellement de temps que nous les fuyons, que nous les remplaçons par d'autres occupations, ou d'autre problème infime comparer à celle qui nous attend qu'à force nous nous aveuglons sans nous l'apercevoir.

Pourtant, il suffit d'une rencontre pour remettre en question tout ce que vous avez fondé jusqu'à maintenant.

Je m'appelle Marvyn Luciani.

Et voici comment l'entrée d'Élisa Avdeeva dans ma vie à ébranlé toutes mes convictions.