Laura : Athéna ? Ça va ? On n’a plus de nouvelles depuis que t’es arrivée aux urgences…

Athéna : Désolée, c’était un peu mouvementé. J’ai eu un monitoring pour vérifier que j’avais des contractions. Puis un médicament pour les réduire. Mais il a aussi fait baisser ma tension et j’ai fait un malaise. Rien de grave. Pour l’instant, plus de contractions, mais ils me gardent au moins cette nuit en observation.

Laura : smiley étonné/effrayé Ah oui, quand même ! T’as bien fait d’y aller !

Athéna : Oui j’avais peur d’y aller pour rien… Mais pas du tout. Et l’infirmière m’a dit qu’il faut toujours venir quand on est inquiète et enceinte.

Caro : Oh oui, on psychote facilement !

Cathy : Oh ! je suis rassurée que tu ailles bien et bébé aussi ! Oui, on psychote facilement, surtout si on va sur doctissimo mdr

Athéna : Pour le coup, je n’y suis pas allée. Mais savoir que j’avais plein de contractions, c’est effrayant à ce stade. J’ai entendu l’infirmière dire aux autres que j’étais arrivée avec une contraction par minute. À moi, ils ne me l’ont pas dit, ils n’ont pas dû vouloir m’inquiéter.

Cathy : La vache ! Pas très pro de le dire alors que tu peux l’entendre si elle ne veut pas t’effrayer…

Athéna : En même temps, je préfère savoir. Je me dis que je n’étais pas mal pour rien. Il y avait vraiment quelque chose d’inquiétant.

Caro : Je vois ce que tu veux dire. Enfin, tu sais pour Gus, je suis allée une fois aux urgences pour « rien » et personne ne m’a critiquée ;) C’est tellement de sensations étranges une grossesse que c’est normal d’avoir des questions et des coups de stress.

Laura : Berk… ça donne vraiment pas envie… Avoir un corps qui n’est plus entièrement le sien. Je ne sais pas comment vous faites…

Athéna : smiley qui rit, c’est un choix. Tout comme c’est le tien de ne jamais faire d’enfant ;)

Laura : C’est vrai… On peut venir te rendre visite ?

Athéna : Je ne sais pas trop. Je ne sais même pas combien de temps je vais rester. Si je pars demain, pas la peine… Je vous dirai <3 Je vais dormir un peu, je suis crevée.

Laura : ça marche, bonne nuit !