En six mois, il s’en passe 10/10.
( Un peu long , désolée... )
Akim : tu as bien compris ?
Lucie : oui par contre l’argent, je conduis où ?
Akim : Rachid viendra le prendra, je vais partir en vacances, je suis fatiguée.
Lucie : ok, pas de soucis.
Akim : bon alors, il est ou ce connard.
Lucie : qu’est-ce que j’en sais.
Akim : si tu m’as tendu un mauvais plan, je te saigne salope, et ton bastard de père.
Lucie : je ne suis pas conne, tu sais où je vis.
Akim : ouais, tu as raison, bon toi, tu vas faire ta livraison, il attend.
Lucie : ok.
Elle monte sur son scooter, elle quitte l’entrepôt.
Je passe la cagoule, je marche vers lui, lorsque je suis à son niveau, j’attrape son bras et je lui retourne, il fait tomber son arme à terre, je donne un coup de pied, elle glisse sous la voiture
Akim : aiiiiiiiie (Il se relève.) tu es qui toi ? (Il sort son couteau.) Je vais te fumé (Je lui fais signe de venir, il vient, il me rate une fois, puis deux, je donne un coup de pied dans son couteau, il tombe, mon second coup directement dans le visage, il tombe à terre.
Le phone vibre.
Antoine : la police arrive.
Amir : je confirme, ils sont partout.
J’ai juste le temps de disparaître lorsque j’entends.
Police : ne bouge plus (J'entends un échange de coup de feu.) on fige la scéne, fouiller partout.
Je reconnais la vois de mon père, j’ai juste le temps de sortir de sauter sur mon scooter.
Je sors mon phone et envois un sms, dispersion.
Lorsque je repasse sur les positions de mes amies, il n'y a plus personne en passant sur le pont, je vois Lucie qui monte dans une voiture de police et je vois aussi mon père qui me regarde de loin.
Je pense que je suis dans la merde, je retourne en ville, jamais mon phone n’a sonné, je rejoins la bande dans un petit café.
Amir : putain, on l'a fait.
Sophia : ooh oui, j’en frissonne encore.
Alan : ou est Lucie.
Moi : elle est dans les mains de mon père...
Antoine : merde.
Hugo : on va se faire arrêter.
Amir : arrête de te pisser dessus.
Lou : ouais, nous ne sommes toujours dehors, donc pas de danger.
Nous sommes restées là, une bonne partie de l’après-midi, jusqu’au moment où en regardant par la fenêtre, je vois la voiture de mon père qui arrive sur le parking.
Antoine : je crois que les problèmes sont là.
Lou : je ne suis pas faite pour la prison.
Moi : zen, on ne sait pas pourquoi il est là, vous ne bougez pas, rester à l’intérieur (Je sors.) oh papa, ça va ? C’est grand-mère ?
Papa : non, grand-mère va bien (il ouvre la porte de la voiture Lucie en sort, elle court vers moi, je la prends dans les bras.) tu devras tout me raconter Maëlys.
Moi (en pleurs) : promis papa, je t’aime.
Papa (en claquant la porte) faite des enfants... putain.
Il démarre, il part, nous sommes restées un moment-là, les autres de la bande son sortie à leurs tours, nous nous sommes faits un énorme câlin.
Nous avons discuté un long moment puis l’heure de rentrée sonna déjà.
Amir : on va venir avec toi.
Moi : non, je suis responsable donc je m’en occupe.
On se fait un dernier gros câlin puis je reprends la route vers la maison.
Je ne suis pas pressée de rentrer, car je sais que je vais passer un mauvais moment.
En arrivant non loin de la maison, il n'y a rien, calme comme à chaque fois, je rentre, je ferme le portail, je regarde dans le garage, uniquement la voiture tu père.
Je vais chez moi, je range mon bolide, en espérant que je ne vais pas en être privée pendant un moment... Je range mon casque et mon sac.
Je rejoins la maison, en passant par la même porte que d’habitude, celle qui donne dans la cuisine, et là, je retrouve mon père, je vois une bouteille de vin blanc et deux verres.
Il cuisine en buvant un p’tit verre.
Papa : ah ma princesse (sourire) tu te prends un verre ?
Moi : ah bon
Papa : tu auras dix huit ans dans quelques mois, il serait peut-être temps qu’on te voie comme une adulte, à moins que tu reprends le scooter...
Moi : non pas prévu, en plus, il fait vraiment froid, maman rentre bientôt ?
Papa : oui, elle est passée au magasin pour prendre du saucisson, elle arrive.
Moi : cool cool.
Papa : alors, il sait passé quoi ?
Moi : tu veux quelle version ?
Papa : il y a plusieurs versions ?
Moi : ou si tu préféré version simple où complète ?
Papa : simple.
Moi : alors, le père à Lucie a perdu son boulot, il y a quelques mois, il a joué au poker dans un club clandestin, ou il a perdu des milliers d’euros... Il a dû rembourser, sauf ben qu’il n’avait pas les moyens de le faire donc c’était soit Lucie vent de la drogue ou qu’elle fait le trottoir, sachant que son père a eu les jambes de cassée... Comme j’étais absente, je n’ai pas pu être là pour elle, alors, j’ai rattrapé le coup.
Papa : tu sais depuis combien de temps quel vent de la merde ?
Moi : quelques jours.
Papa : pourquoi tu n’es pas venue m’en parler ? Est-ce que tu te rends compte du danger ou bien, tu n'en as rien à faire ? Je présume que les marques sur son visage sont de toi... Je ne veux rien savoir... QU’EST-CE QU’ON SERAIT DEVENU SI TU ÉTAIS MORTE MAËLYS.
Moi : oui, je sais, mais...
Papa : non pas de, mais, T'ES IRRESPONSABLE, je t'ai toujours dit que si tu as un souci tu viens me voir et on va règles, non, toi tu t’en occupe sans rien me dire, je présume que la bande est dans la combine, je crois que j’ai reconnu Amir et Hugo, donc je présume que les autres n’était pas loin... Alors en plus de mettre ta vie en danger, TU OSES METTRE LES AUTRES, je ne comprends pas Maëlys, explique-moi.
Moi : oui et oui, j’ai aidé à mettre hors d’état de nuire ceux fils de pute, oui je ne t'es pas prévenu, car je voulais m’en occuper moi-même, pendant mon absence, ils sont partis en couilles, je les ai laissées seule, la merde ou ils étaient, j’en suis responsable, je t’aime papa, j’aime maman mais aussi j’aime la bande, ils sont mes sœurs, mes frères, si je devais le refaire, je le ferais sans aucun doute.
Je commence à pleurer.
Mon père pose son couteau, il vient me prendre dans ses bras.
Papa : je t’aime tellement ma princesse, ne me fait plus une peur comme ça.
Moi : je t’aime papa.
Nous restons un long moment sans bouger.
Jusqu'à l'arrivée de maman.
Maman : OOOOH UN GROS CALIN.
Elle nous rejoint, le reste la soirée se passe tranquillement, vers vingt et une heure, je fais un gros bisou au parents, je rejoins mon paradis, je suis fatigue de cette longue journée, demain dimanche, je vais dormir longtemps.
Une fois, chez moi, je passe à la douche, je reste un long moment, une fois bien détendu, je passe une tenu décontracter, j’ai envie de regarde un peu la télé.
J'allume la télé, je me prépare à m’installer dans le canapé.
Lorsque j’entends qu’on taper à la porte.
Moi : papa, t'a pas besoin de frapper à la porte (je rigole.).
Je vais pour ouvrir la porte, et la...
Antoine : tu as complétement raison, je suis complètement fou de toi, je n’arrête pas de penser à toi, quand tu étais à Bordeaux, je voulais mourir, tu fais battre mon cœur depuis l’école primaire, je t’aime tellement, je voulais être à ta place, plus rien ne compte, je t’aime Maëlys.
Mon cœur vient de s’arrêter, je suis dans un autre monde.
Je m’approche de lui, je pose ma main sur son visage, que je caresse, je m’approche de lui, je ne sais pas ce qu’il me prend, mes lèvres s’approchent des siennes, mon cœur va sortir hors de ma poitrine, je ne contrôle plus rien.
Je le plaque contre moi, lorsque nos lèvres se touchent, mon corps est traversé par de l’électricité, mon corps devient de plus en plus chaud, je le tire vers l’intérieur, je claque la porte avec mon pied...
À suivre.
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