Le début des découvertes 1/4 :

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Hello la team, j’espère que vous allez bien, moi ça va très bien, je m'excuse de ne pas avoir mis une suite avant, j'avais pas mal de boulot, hélas, les vacances sont fini... J'espère que cette suite me fera pardonner. 

Le début des découvertes 1/4 :


Nos bouches se décollent, je lui prends la main pour le conduire à l’intérieur, je claque la porte le pied, nos bouches se retrouve, je suis contente de me rendre compte que je ne suis pas la seule à frissonner, il est dans la même état que moi.

Nos langues se touchent pour la première fois.

Nos corps sont comme électriser, je lui retire son blouson, il porte son magnifique pull gris, je continue de le tirer vers la chambre, une fois dedans je referme la porte.

Je ne sais pas si ce sont ses paroles qui ont déclenché quelque chose en moi ou que je me rends compte que j’ai peut-être des sentiments pour lui, il faut dire que je ne suis jamais tombée amoureux, alors est-ce que je l’aime ? Je ne sais pas.

Est-ce que les deux sexes peuvent être simplement des amies, oui bien est-ce qu'avec le temps, une attirance se crée entre eux ?

Je m’en fou, je ne me suis jamais sentie aussi bien, en sécurité, j’ai comme l’impression que chaque seconde qui coule se transforme en heure, je sais très bien que cela est impossible.

Instinctivement, je lui retire son pull que je balance sur le sol, mes yeux se posent sur son torse, sur ses pectoraux, mon regard glisse un peu plus bas, je remarque une belle bosse.

Je rougis, en le regardant dans les yeux, je remarque qu’il est dans le même état que moi, nos lèvres se retrouvent, au moment où il se colle contre moi, je sens son pénis qui grossit contre ma cuisse, mon corps tremble.

J’ai de plus en plus chaud.
Il quitte mes lèvres pour descendre dans mon cou, le contacte de ses lèvres me font frissonner.

Moi : hmmm encore bébé.

Bébé, pourquoi je lui dis ça.
Mes mains lui caressent le dos dans un premier temps, puis je passe sur le torse, les pectoraux, je descends jusqu’à la naissance de la frontière de son jean.

Ses lèvres quittent mon cou, il plonge ses yeux dans les miens.

Antoine : tu es tellement belle, tu me rends fou Maëlys.
Moi : toi aussi mon Toinou.

Antoine : c’est la première fois que tu m’appelles comme ça (il rougit).
Moi : tu n’aimes pas ?

Antoine : j’aime entendre sortir se mot d’entre tes lèvres.

Il me caresse le visage.

Moi : Toinou, je voudrais aller plus loin avec toi.

Je le colle contre lui, son pénis est bien en érection, un homme peut bander plus ? 
Il rougit, je m’écarte un peu de lui, mes yeux plongent dans les siens, je peux voir dans son regard

qu’il est complètement fou amoureux de moi.

En prenant un instant, je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, alors oui, il y a le premier homme de ma vie, mon père, mais aujourd’hui la petite fille qui n’avait dieu que pour son petit papa, à bien grandie.

Antoine a toujours été là pour moi, je me souviens que lorsque je ne pouvais pas aller en cours, il me ramenait mes devoirs à la maison, je me rappelle aussi que lorsque la bande passe à la maison, il oublie toujours quelque chose, juste pour pouvoir revenir.

Lorsqu’il me caresse le visage, je reviens à moi-même, il me fait son plus beau sourire, il me fait craquer, à cet instant, je me rends compte que je l’aime.

Moi : je t’aime Antoine. (sourire).

Il me saute dessus, pour venir m’embrasser, le contact de la bosse sur ma cuisse me fait frissonner, je me décolle malheureusement de sa douce et magnifique lèvre, je me place devant lui.

Je retire doucement le tissu qui cache la vision de ma poitrine du regard des garçons, lorsque ma tête disparaît, je ferme les yeux, mon cœur bas comme jamais... J'ai peur...
Le tissu tombe sur le sol, pour la première fois de ma vie, je sens le regard d’un homme qui se pose sur mes seins, on dirait qu’il me caresse la peau avec ses yeux, je rougis et frissonne.

Je me colle contre lui.
Je l’embrasse, il ne sait pas comment réagir, après un petit moment de flottement, il passe ses mains dans mon dos, j’ai envie de lui.

Il quitte mes lèvres, il me regarde dans les yeux.

Antoine : il faut que je t’avoue quelque chose.

Merde, j’espère qu’il n’a pas de copine...

Moi : oui ?
Antoine (rouge comme jamais) : je suis puceau...


Moi : ah bon.

Il se décolle pour s’asseoir sur ma chaise.

Antoine : oui... Je n’ai pas arrêté de mentir, en disant que j’ai soulève des filles à la pelle... Je ne suis qu’un puceau, qui ne sait rien faire...

Je le rejoins, je me mets à genoux devant lui, je pose mes mains sur les siennes.

Moi (sourire) : Toinou, je m’en moque, je ne suis pas amoureuse de toi parce que tu étais le roi des tombeurs des filles du coin, tu as mille qualités.
Antoine : tu ne m’en veux pas ?

Moi : non, mon cœur, mais je veux une chose, aucun secret entre nous, quoi qu’il arrive on devra toujours tout se dire, même les choses désagréables.
Antoine : promis, je suis désolée d’avoir caché.

Je lui prends la main pour le faire lever, je le colle contre moi, je pose mes lèvres sur les siennes, rapidement, je sens son pénis qui reprend du volume dans sa prison du tissu.

Je le fais tourner sur lui-même, une fois qu’il est devant le lit je le pousse, il tombe assis sur le lit, je me place à genoux devant lui.

Antoine : tu es magnifique.

Il me fait encore une nouvelle fois frissonner.
Je lui caresse le jean, en partant du genou, en remontant doucement sur sa cuisse, mes yeux quitte les siens, ils descendent rapidement sur son entre-jambe, je ne peux pas regarder ailleurs, j’ai envie de découvrir.

À suivre.

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