Ma main s’approche de la belle bosse qui se dessine sous mes yeux, j’ai l’impression que mon cœur va sortir hors de ma poitrine, je suis sur le point de touche la montagne, lorsque je le regarde dans les yeux.

Pour toute réponse, il me fait un grand sourire.

Je me demande bien à quoi il peut penser maintenant.

Ma main est sur le point de se poser dessus, quant au dernier instant, je vais directement à la boucle de sa ceinture, je n'arrive pas à l’ouvrir, mais son bouton n’est pas compréhensible, il me résiste.

Antoine comprend ma difficulté, il se lève, pour se mettre devant moi, il est encore plus rouge qu’avant.

Moi : ça va ? (sourire).

Antoine : c’est la première fois que...

Je ne lui laisse pas finir sa phrase, que je pose ma main sur son pénis en érection, un frisson nous parcourt le corps, Antoine fait tomber sa tête en arrière.

Moi : elle est bien dure.

A cet instant, il me regarde dans les yeux, il ouvre le bouton de son jean, il veut retirer les autres, je lui donne une tape ses mains, j’ai envie de le faire moi-même.

Sa respiration s’accélère, il se mort la lèvre, il est encore plus sexy.

Je suis obligé d’ouvrir avec les deux mains, j’en profite pour bien prendre mon temps, salope, oui, je sais.

Lorsque le dernier bouton à capituler, je fais tomber son jean sur ses chevilles, je le suis jusqu’en bas très vite mon regard est attiré par son sexe qui se dessine sur un très beau boxer bleu.

Je me mords la lèvre, ce qui donne le sourire à mon Toinou.

Je le regarde dans les yeux, je vois qu’il a l’air inquiet, je lui fais un sourire pour le rassurer, et très vite mes yeux reviennent sur son sexe.

Je prends une grande respiration, je pose mes mains sur le bord de son boxer, que je fais glisser, le p’tit bout de tissu qui m’empêche de voir l’objet qui me donne de plus en plus chaud.
Je descends un coup sec, il va rejoindre son ami le jean.

Je vois une grosse masse qui fait un ressort devant mes yeux.

Je suis bouche bée, lorsque, mes yeux tombent nez à nez sur un sexe masculin, droit comme un I, je frissonne en le regardant, je constate que dans ma culotte, il de plus en plus chaud.

Je ne sais plus me contrôler.

J'ai envie de prendre son sexe en main et de le masturber, comme j’ai pu le voir dans des films amateur porno, oui, surprise !!! Je ne suis pas un petit ange...
Je prends délicatement son sexe en main, il gémit.

Moi : ça va ?
Antoine : oh oui ma belle, je t’aime tellement.

Je le masturbe, il gémit de plus bel.
Je regarde ses belles couilles, une belle verge bien droite et un gland décalotté.
Je m’approche de plus en plus.

Antoine : tu n’es pas obl... (Je ne lui laisse encore une fois pas le temps de finir sa phrase que j’ai ouverte la bouche pour faire entrer sa verge.) hmmmm (sa tête tombe en arrière, je repense aux films, et les échanges que j’ai pu faire avec Lucie, je lui donne un coup de lange) MON DIEU (il sort son sexe d’un coup.).

Moi (apeuré) je t'ai fait mal mon cœur ?
Antoine (gêner) : oh non mon ange, j’ai juste eu peur...

Moi : de ?
Antoine : ben de...

Pendant un instant, je ne comprends pas, puis je me rappelle de l’ex de Lucie, Quentin qui lui arrivait de lâcher la sauce.

Moi : d’éjaculer ?
Antoine : s’il te plaît de dits pas ça (il rougit.).

Moi : sinon tu vas…
Antoine : oui, je suis désolée, je suis vraiment une merde.

Je me lève pour être devant lui.

Moi : non mon cœur, c’est notre première fois.
Antoine : oui, pour ça que je ne veux pas tout gâcher.

Moi (sourire) ne t’en fais pas (Je me colle contre lui.).
Antoine : ohhhh noooon.

Je sens un liquide chaud contre mon ventre, il ferme les yeux pour ne pas me regarder.

Moi : je t’aime.

Nous restons un moment enlacer.
Puis arriva le moment, ou nous sommes obligé de nous décoller, je regarde son sperme qui se décolle entre nous, il cache son pénis avec ses mains.

Moi (Je lui retire.) : elle est belle au repos (sourire).
Antoine : tu trouves ? Je ne suis pas de ton avis.

Moi : Toinou, tout me plaît chez toi, que tu sois en érection ou comme maintenant au repos.

Nos lèvres se retrouvent, juste le faite que nos langues se touchent, son sexe reprend du volume.

Moi : ça n'a pas duré (sourire).

Nous rigolons.

Antoine : tu me rends fou Maëlys.

Nous montons sur le lit, il est temps de passer aux choses sérieuses.

Je m’allonge sur le lit, il me rejoint pour venir m’embrasser, il quitte mes lèvres pour descendre dans mon cou, il me mordille l’oreille.

Moi : hmmmm Toinou.

Je frissonne, il embrasse mon cou, il descend doucement, délicatement vers ma poitrine, il pose la main sur mon sein droit, je gémis de plus bel.

Antoine : ils sont magnifiques, doux, je peux ?

Moi : oui mon cœur, je n’attends que ça.

Je le regarde qui s’approche de mon mamelon gauche, il donne un coup de langue puis très vite, il prend en bouche.

Moi : MONNNN DIEUUUU (mon corps ce tort) ooh non pas ta langue HMMMMM.

Le salaud, me donne beaucoup de coups de langue, mon corps entre comme en transe, je ne contrôle plus rien, j’ai chaud, il reste un long moment à s’occuper de mes seins.

Antoine : tes seins sont délicieux.

Moi : occupe-toi de moi mon cœur.

Antoine : tes désirs sont des ordres mon amour.

Il m’embrasse en partant entre mes seins, il alterne bisou langoureux, tendre, plein d’amour, il se redresse, je peux voir son sexe en forme, il me donne des petits bisous, il écarte mes jambes, il a une vue plongeante sur ma culotte.

Il se penche en avant pour me faire des bisous sur mes cuisses, il passe les mains sur les coutures de ma culotte, il la retire délicatement, elle s’envoile dans la chambre.

Ce qui nous donne le sourire

Il regarde ma vulve, j’ai l’impression qu’il y a un problème...

À suivre.