Antoine : tu es tellement belle Maëlys, une décesse.

Moi : s’il te plaît Toinou.

Il embrasse mon ventre.

Il passe ensuite à l’intérieur de mes cuisses, je gémis, frissonne à chaque fois que sa bouche ou langue touche ma peau.

Il dépose un p’tit bisou sur mon sexe, il écarte les lèvres, je ne perd rien du regard, il ouvre la bouche, mon cœur va exploser, le bout de sa langue touche mon clito.

Mon corps se contracte, je n’arrive plus à parler, à respire, mes yeux sont révulsés, je ne sais pas au bout de combien de temps je reviens sur terre, je ne sais pas ce qui me prend, je commence à pleure.

Antoine : ooooh non, qu’est ce qui ne va pas mon bébé.

Il me prend dans ses bras musclés.

Moi : je t’aime mon Antoine.

Antoine : je suis à toi Maëlys (on s’embrasse.) je peux te demander ce que tu as eu ?

Moi : je pense qu’on appelle ça, un orgasme, enfin, je pense.

Antoine : ah ouais (sourire) on dirait que je suis bon. (il rigole).

Moi (sourire) : oui bon ne fait pas le malin, on n’a pas encore fini.

Je m’allonge sur le lit, et j’écarte les jambes.

Il me regarde avec le sourire, j’ouvre le tiroir, je sors une capote, il rougit.

Moi : je t’aime.

Il prend son temps pour ouvrir la capote.

J'espère que c’est la bonne taille, avant l’épisode de l’hôpital, Lucie m’avait acheté une boite, en me disant faudra te trouver un chéri qui s’occupera de toi.
Il met la capote, il se penche sur moi, il met son gland contre mes lèvres.

Antoine : je ne veux pas te faire du mal mon cœur.
Moi (un peu peur dans la voix) tu ne me feras pas mal (enfin pas trop, j’espère).

Il vient m’embrasser sur la bouche, il positionne son pénis, je l’aide un peu en lui prenant le sexe.

Antoine :ooooh mon dieu.
Moi : respire bébé, tu vas ?

Antoine : non, il ne le faut pas, j’ai envie qu’on prenne du plaisir à deux.
Moi : je le veux aussi.

Il entre son pénis en douceur, j’essaie de me souvenir des conseils qu’on a pu me donner, mais le souci sait que plus rien de me reviens.

Antoine : ça va bébé ?
Moi : oui mon cœur... Vas-y.

Son sexe passe mes lèvres, et comme prévu, il est bloqué, il se retire un peu, je lui fais un sourire, mais pour être franc, je suis morte de trouille, je tremble, un mélange de stress et d’impatience, je prends une grande respiration lorsque je sens qu’il va passer.

Moi : AAAAAIIIIEEEEE

Il arrête immédiatement.
Je pleure un peu.

Antoine (il se retire.) : je ne veux pas te faire de mal.

Moi (je place mes mains dans son dos) : fait moi l’amour mon cœur, vas juste doucement s’il te plaît.

Antoine : je suis à tes ordres Maëlys. (il m’embrasse).

Il reprend doucement ses mouvements, tout en douceur, sa bite centimètre par centimètre, je ne peux plus respirer, mon corps tremble.

Moi : vas-y mon cœur, je veux te sentir.
Antoine : je ne veux pas te faire mal... Même si je n’en ai pas une grosse...

Moi : elle est parfaite ta queue mon cœur, j’ai juste envie de sentir l’homme que j’aime en moi, je t’aime.
Antoine : j’irais doucement, je t’aime.

Moi : AAAH OUI, comme ça mon cœur.

Il embrasse mon cou puis il me lèche le sein gauche.
Je n’en reviens pas, je sens son sexe qui grossit dans ma chatte.

Ses va-et-vient de plus profond, mon corps tremble.

Antoine : je ne vais pas…
Moi : OUII mon cœur, vas y, jouissons ensemble.

Antoine : MAAEEELLYYYYYYSSSSS AAAAAAAAAHHHHHHHH.

Je sens la capote qui se remplit, je n’en reviens pas, je sens son sperme chaud.

Moi (mon corps entre en transe.) : AAAAAAAAAAAAAAAAAAH.

Il tombe sur moi, nous restons un long moment dans cet état, lorsque je reviens à moi, Antoine est à côté de moi, il me regarde inquiet.

Antoine (sourire) : ça va ?
Moi : tu ne te rends pas compte Toinou.

Il me regarde avec peur, j’aurais peut-être dû lui parler sur un autre ton.
Je monte sur lui et l’embrasse.

Antoine : j’ai fait quelque chose de mal ?
Moi : non mon cœur, tu m'as donné deux orgasmes et d’après ce que je sens, monsieur est encore en forme.

Je lui prends son pénis, qui bande une nouvelle fois.

Antoine : hmmm, tu me rends fou Maëlys.

J'ai envie de le faire jouir une nouvelle fois...
Lorsque son phone sonne.

Antoine : merde.

Il se lève du lit avec la bite en érection.
Il court vers son jean que j’ai balancé, il regarde puis répond.

Antoine : oui papa, (Je ne peux pas m’empêcher de sourire, il est gêné, mais ce n’est pas pour ça qu’il ne débande pas, elle pointe vers moi).

Un frisson me parcourt le corps, je ne sais pas ce qu’il me prend, je me lève à mon tour, il me regarde bizarre, je me mets à genoux devant lui.
Il place sa main devant son phone.

Moi (chuchotement) j’ai envie...

À suivre.