Le début des découvertes 4/4.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre que j’ai repris son sexe en érection en bouche.
Antoine : euuh, oui papa, jeee suis làààà (il ferme les yeux.) hmmmmm non ça vaaaa, oui je rentre (à cet instant-là, j’enfonce son sexe plus profond dans ma bouche.) OUIIIIII PAPA (je relâche son sexe et je rigole, il raccroche.) tes folles sérieuses.
Moi : tu n’a pas aimé ?
Antoine : ce n’est pas la questiooooooon (je le branle énergiquement.).
Moi : tu veux que j’arrête ? (sourire).
Antoine : Maëlys, tu te rends compte que j’étais avec mon père-là ?
Moi : oui et j’ai envie de te sucer.
Antoine (il rougit.) : je... (je lui lèche le gland.) MON DIEU, c’est trop bon, mais on ne pourra pas finir, dans 15 min, je dois être rentrée.
Moi : ah oui, dommage, j’ai envie de goûter... (je rougis.).
Antoine : quoi ? Tu voulais avaler ?
Moi : tu m’as goûté, alors, je veux aussi. (sourire).
Antoine : mon dieu, tes... Je t’aime.
Moi : une coquine ? Oui, je pense, et je pense que j’aime le sexe... À voir dans le temps (Je saute hors du lit.) aller monsieur, a la douche, tu sens le sperme, tu imagines si ton père sent ça (D'un coup, il ne bande plus, sourire.) ah ouais calme d’un coup.
On rigole.
Antoine : normal, on parle de mon père.
Moi : on reprendra une prochaine fois, aller à la douche mon cœur, je rassemble tes affaires.
J'entends l’eau couler, je rassemble vite ses affaires, que je pose sur le lit, je vois son phone, oui, je sais, je vais brûler en enfer, je regarde, il n’est pas verrouillé, je regarde le dernier contacte qui l'appeler, il est noté papa, je regarde le numéro, puis je regarde sur le mien.
Moi : identique...
Je repose lorsque je n’entends plus l’eau.
Il sort avec une serviette autour de la taille, il me donne un frisson.
Antoine : merci pour les affaires (sourire).
Il me fait fondre.
En passant à côté de moi, je ne peux pas m’empêcher de lui tirer la serviette qui tombe sur le sol.
Moi : oups désolée, (je rigole).
Antoine : petite menteuse, vient la (il m’attrape par la taille.) tu voulais encore me voir à poil.(sourire).
Moi : oui, et j’ai encore envie toi.
Antoine : hmmmm, moi aussi, regarde.
Il rebande doucement.
Moi : mais hélas, tu dois rentrer.
Antoine : oui... Mais on va se revoir ?
Moi : ben oui, demain au Lycée (sourire).
Antoine : oui, mais... comment on...
Moi : on garde le secret pour le moment ? Enfin, si tu es d’accord.
Antoine : oui, putain, merde, je vais me faire défoncer, je suis en retard.
Moi : euuuuuh, défoncer.
Antoine : ne commence pas, tu sais bien ce que je veux dire.
Moi : ton père te met des choses dans le fondement ?
Antoine : MAËLYS.
Je m’éclate a rire, il as l'habitude, il me prend dans les bras, il me donne une fesse.
Moi : hmmmm.
Antoine : tes pas possibles, mais qu’est ce que je vais faire de toi sérieux.
Moi : me supporter (on rigole.), soit prudent, si ton père t’engueule, dit lui que c’est ton plan cul qui ne voulait pas que tu t’en ailles.
Antoine (à la porte ouverte) en plus tu trouves ça marrant.
On s’embrasse.
Moi : je t’aime, envoie un message en arrivant.
Antoine : je t’aime plus.
Il part en courant.
Moi : IMPOSSIBLE.
Je referme la porte en rigolant.
Je regarde l’heure 1 h 30 du matin, les yeux me piquent, je rejoins ma chambre et tombe sur le lit, juste à côté du lit, repose à capote pleine de sperme.
Je plonge un doigt dedans, que je porte a ma bouche.
Moi : HMMMM pas mauvais.
Mes paupières sont lourdes, le marchand de sable, passe me chercher
Je m’endors nu sur mon lit avec la capote d’Antoine dans la main...
A suivre.
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