Grosse salope, il est temps de payer 1/8.
Le lendemain matin mon réveil sonne.
Il est différent des autres, chaque matin, je suis réveillé en musique, aujourd’hui Mambo No.5 “Lou Bega”.
J’adore cette vieille musique, je fais un bon hors de mon lit, je danse un peu partout dans ma chambre, arrivée à la fin de la chanson, un message que j’ai mis.
Message : bouge-toi le cul, tu vas encore être en retard.
Je prends une bonne douche, je suis en pleine forme, je balance la capote à la poubelle, mais avant le contenu fini a toilette, eh non, il ne finit pas dans ma bouche... Enfin, pour l’instant, on ne sait pas de quoi sera fait l’avenir.
Je rejoins la maison, les parents sons-là, à table.
Moi : bonjour vous deux.
Papa : bonjour bien dormis ? (sourire).
Maman : comment ça va ? (sourire).
Moi : ouais, ça va, faut que je me grouille, je suis en retard.
Papa : prends quand même le temps de manger, aller, les filles à ce soir, je vous aime.
Maman et moi : on t’aime.
La voiture de papa quitte la maison, maman se lève, elle monte à l’étage, elle revient quelques minutes, je finis mon chocolat, je n’arrive pas à boire de café, impossible.
Maman (elle glisse des capotes.) : tiens.
Moi : euuuh, c’est quoi ?
Maman : tu sais ce que sait mon ange. (sourire).
Moi : on dirait des préservatifs.
Maman : oui, il faut se protéger. (sourire, clin d’œil).
Moi : euuuh.
Maman : 1 h 30 (Je rougis.) nous sommes tellement contents, depuis le temps qu’il te tourne autour, hier soir, lorsqu’on a vu que tu là embrasser et entrée, nous avons pleuré de joie, plein de bonheur à vous deux.
Moi : cela peut rester secret ?
Maman : bien sûr mon ange (elle regarde l’heure.) par contre le lycée.
Moi : merci, je t’aime.
Je saute sur mon bolide et prends la direction du lycée.
La nuit dernière fut comment dire... Enrichissante, j’ai fait plein de rêve érotique, les plus excitant les uns que les autres, j’ai plein d’idée, je pense qu’on peut dire que j’ai le feu au cul.
J’arrive devant le lycée, Lucie me fait comprendre que je suis presque en retard et juste à côté Antoine, je me gare devant eux.
Moi : bonjour l’équipe.
Je fais la bise aux deux.
Lucie : t'es presque en retard.
Moi : presque, ce n’est pas être en retard (sourire), bonjour Antoine (bise).
Antoine : ouais presque en retard (chuchotement) t'es magnifique.
Je rougis un peu.
On rejoints les autres, la bise à chacun, je me place à coté de Sophia, qui me regarde du coin de l’oeil
Alan : les mecs, vous ne trouvez pas qu’Antoine à la tête dans le cul ?
Hugo : putain, tes souples mecs.
On rigole tous.
Amir : mec, on dirait que tu as soulevé une nana.
Antoine (il rougit.) : oh non.
Amir (en rigolant) : putain, regarder, il rougit.
Antoine : rooo, non, c’est juste qu’hier en rentrant, j’ai vu Jasmine (grande sœur d’Amir) la bouche grande ouverte avec une grosse bite dedans.
Amir : quoi ?
Antoine (sourire) ouais, et on dirait qu’elle a aimé la bite, la gourmande.
Antoine par en courant Amir le prend en chasse.
On rigole tous.
Lou : Amir calme toi, il a dit grosse bite, alors ce n’est pas Antoine.
Amir (il s’arrête de courir.) : ah oui.
Nous rigolons tous, même Antoine.
Nous arrivons en cours, je me place à côté de Sophia.
Sophia : Maëlys, il y a quelque chose de changer chez toi.
Moi : ah bon, tu trouves ? Peut-être la nouvelle culotte, on dirait que je ne porte rien, c’est tellement bizarre.
On rigole.
Ouf, on dirait que j’y ai échappé belle... Nous n’avons pas vu les deux heures de cours.
La sonnerie retenti, lorsque nous voyons le prof principal qui entre avec la cheffe du bureau des CPE.
(professeur principal : PP).
PP : les jeunes veuillez-vous asseoir.
Un mec : et la pause, on a le droit.
PP : oui et j’ai le droit de te mettre 6h de colle les prochains samedi (plus aucun bruit) alors, nous sommes ici parce qu’il y a eu un incident et nous savons que le ou la responsable est ici dans cette classe, donc juste nouvelle ordre, vous allez rester ici, si j’en entend une ou un qui râle, il gagnera une invitation pour ce rendre avec ses parents dans le bureau du directeur.
La CPE : vous allez sortir un de vos cahiers, nous allons les ramasser.
Un élève : qu’est-ce qui se passe ?
PP : vous n'êtes pas au courant.
Tous les regards se pose sur moi.
À suivre.
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