Grosse salope, il est temps de payer 2/8.
Moi : je ne suis pas la Stasi pour tout connaître sur tout le monde, j’en sais déjà assez sur certains donc non, je ne sais pas.
PP : quelqu’un a écrit une lettre d’insultes envers votre professeur de Biologie, je ne vais jamais tolérer les insultes vers un prof.
Lou : que va-t-il arriver pour cette personne ?
PP : il passera en conseil de discipline et je demanderai son exclusion.
Lou : donc vous savez qu’entend que déléguer de classe, je lutterais pour que cela n’arrive pas. (sourire).
PP : cette fois, tu n’arriveras pas.
Lou : je ne ferai pas de pari dessus monsieur.
La CPE : nous laissons une chance à la personne pour se dénoncer maintenant.
Une minute après.
PP : vos cahiers de Mathématiques, je ne voudrais pas vous empêcher de suivre votre prochain cours, nous allons nous revoir avant la fin de la journée (ils prennent la direction de la porte.) je vous souhaite une bonne journée, pardon Greg t’avoir interrompu la fin du cour.
Prof de Maths : aucun souci, tu pourras me dire qui est la personne.
PP : oui.
Prof de Maths : la personne qui a fait ça et idiote, allez dehors, je ne veux plus vois voir.
Nous sortons tous, pendant nous 8 dernières minutes de pause, nous n’avons pas arrêté d’en parler, la sonnerie retentie, cela indique la fin et le signale que nous devant allez en français, en arrivant, la prof nous attend, elle tire la gueule...
Prof : vous pouvez vous asseoir dans le silence, j’ai appris ce qu’un petit rigolo a fait, j’espère qu’il sera trouvé et vire définitivement, je voudrais savoir une chose, vous avez quel âge pour faire des conneries comme ça. (elle claque nos copies sur son bureau.).
Alan (chuchotement) : je crois que nous sommes dans la merde.
Prof : tu as raison Alan... Vous allez passer le bac dans peu de temps et vous n'êtes toujours pas capable de faire une rédaction digne de ce nom, à cette allure-là, je pense qu’il aura que deux personnes qui auront la moyenne dans cette matière (les regards se pose sur moi, en réponse je leurs fait un doigt d’honneur) vous êtes nul...
Pendant 20 min, nous avons eu le droit à un remontage de bretelle digne de ce nom, elle a passé chacune de nos copies à la critique, je suis contente, j'ai eu 17.5/20 et une autre fille 15/20, les autres leurs notes son de 0 à 12 (Lucie).
Les deux heures, on était très longue pour certains d’entre nous.
Et encore, pour l’instant, nous ne savons pas qui a écrit des mots très cochons à notre prof, bon, il faut reconnaître qu’elle est belle, mais de la dire “je te baiserais comme une grosse pute de prof ”, car oui, je me suis renseigné, je pense que je saurais qui dans peu de temps.
Il ne faut pas oublier que oui, nous sommes des femmes, mais nous ne sommes pas des objets pour des fous qui ne pensent uniquement à nous baiser, lorsqu’on choisit nos vêtements, ce n’est pas pour vous les mecs, pour que vous puissiez nous mater comme de la viande chez le boucher.
Lorsque vous imaginez ce que vous nous verriez, imagine pendant une seconde que cela pourrait être votre mère, a bon entendeur salut.
Comment je le sais ? Alors là, c’est mon secret.
Nous sommes contents, le cours de français est fini.
Les deux heures, on était un vrai calvaire pour nous, la prof à râler, gueuler tout le long.
Hugo : enfin fini, pas trop tôt
Amir : elle est déchaînée la prof.
Lucie : normal, elle en a marre de nous.
Alan : oui et nous avons marre de l’entendre gueuler.
Nous rigolons tous.
Moi : par contre, qu’est-ce que j’ai faim.
Nous prenons la direction du réfectoire, en arrivant nous sommes obligés d’attendre un peu, le PP passe devant nous.
Sophia : être prof, a certains bons côtés quand même.
Lou : ouais, mais quand même, tu t’imagines prof ?
Sophia : ben écoute, je ne dirais pas non, à la fac.
Amir : ah ouais, quand même (il la prend par la taille) plein d’étudiant aimerais passer un moment avec toi, entre quatre yeux.
Sophia (elle pose sa main sur son torse) : je suppose que oui (d’un coup, elle pose sa main sur l’entre-jambe d’Amir.) mais il faudrait que l’étudiant en a une grosse, sinon une petite ne m’intéresse pas.
On s’éclate à rire, elle est complétement folle de faire ça.
Amir : ouais, je suppose que les mecs avec une petite ça ne doit pas être facile, tout le monde ne peux pas avoir la même chance que moi.
Sophia : ah bon ? Ce n’est pas ce que j’ai senti.
On rigole de plus belle, depuis toujours, nous avons été comme ça, on se chambre tout le temps.
Lorsque notre tour arriva, on se sert, puis nous allons vers notre table, deux mecs, sommes à notre place, la bande est devant eux, lorsque j’arrive, la bande s’écartent, les deux qui sont assissent me voit, ils ne cherchent pas, ils se lève
Moi : prenez votre temps, nous ne sommes pas en Russie...
Une fois la place de libre, on s’installe, nous crevons de faim.
Les premières minutes, personne ne parle.
Hugo : vous pensez qu’on va savoir qui a fait ça ?
Sophia : oui, le prof est en colère, je plein de culs du mec.
Je suis assise devant Antoine, j’ai retiré ma chaussure, je pose mon pied sur son genou et je remonte vers son entre-jambe.
Moi : je pense qu’il veut faire un exemple, pour que nous comprenions.
Alan : je plein la personne qui a osé dire faire ça.
Mon phone sonne, je regarde, mon pied touche le sexe qui grossit, il me fait de grands yeux, je l’ignore complétement.
Moi (en regardant mon phone) : à mon avis, je pense que nous allons avoir de la visite en milieu de journée et je pense qu’il va en manquer un dans peu de temps.
Hugo : comment tu peux savoir ça ? (il regarde Lucie).
Lucie : ne me demandez pas, je ne sais pas comment elle peut savoir tout ça.
Moi (sourire) : je vous ai toujours dit qu’il faut toujours avoir les yeux ouverts, car à un moment ou un autre, on peut toujours voir où entendre quelque chose qui pourrait être intéressant (je pose mon second pied sur le pénis d’Antoine, qui est tout rouge).
Après quelques minutes, j’arrête, car ma culotte est complétement humide.
Sophia : je pense que Maëlys à des contacts dans le lycée.
Amir : que dans le lycée ? Je pense qu’elle fait partie des renseignements, elle nous a tous fichées.
Moi : roooo, mais non, ah oui, pendant que j’y pense, Amir, tu n’as pas fermé la page porno Hentai.
Amir : QUOI ? Comment tu...
Moi (je rigole.) : tes sérieux mecs ?
Amir : comment tu sais ça ?
Ils me regardent tous.
À suivre.
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