Grosse salope, il est temps de payer 6/8.
Les deux jours suivants, je suis restée à la maison.
Antoine à était en cours, j’ai continué à avoir des messages et des vidéos où il se branle en pensant à moi.
Samedi arriva, Antoine avait donné rendez-vous à la bande au lac du Vignoble.
Lorsque j’arrive avec mon scooter, ils sont tous là.
Lucie : qu’est-ce qui se passe ?
Lou : pourquoi autant de mystère ?
Hugo : oui.
Sophia : qu’est-ce qui se passe Maëlys.
Antoine : je vous ai demandé de venir ici parce que je voulais un lieu tranquille pour qu’on puisse parler tous ensemble, je vous demande de ne pas me couper la parole, comme vous le savez, Maëlys a été absente ses derniers jours... Cela n’avait rien avoir avec ses règles... Depuis maintenant une semaine, un fils de putain menace (il me prend la main.) nous menaces (la bande nous regarde bouche bée.).
Lucie : PUTAIN ENFIIIN.
Amir : depuis le temps, tu en a mis, tu tends mon frère.
Alan : pire qu’une tortue le frérot.
Sophia : je vous l’avais dit qu’ils finiront ensemble, je le savais.
Lou : pas trop tôt, je suis heureuse pour vous (sourire).
Hugo : excellent, mais c’est qui ce mec ?
Moi : merci.
Ils nous prennent dans leurs bras, on se fait un câlin géant.
Lucie : il faudra tout raconter.
Amir : euh non pas tout.
On rigole.
Hugo : c’est qui le mec et qu’est ce qui vous veut ?
Antoine : je vais tout vous raconteé (Il rougit un peu, je lui prends la main).
Sophia : AAAAAAHHHHH, ils se prennent la main.
Lou : merci mon dieu.
Hugo : vos gueules les mouettes.
Lucie : connard.
Antoine : vous vous souvenez l’autre jour quand le PP est venu pour nous faire chier avec le mot de l’autre con, à la cantine, nous a avons discuter, mais en dessous de la table, il se passait aussi quelque chose (Lucie et Sophia ont un grand sourire, les autres ne comprennent pas.) quand on a eu fini, Maëlys est partie aux toilettes... Je l’ai rejoint...
Lucie : OOOOH PUTAIN (elle saute partout.).
Sophia : alors là, je suis sur le cul.
Hugo : Pourquoi faire ?
Lucie : les mecs, vous êtes vraiment lent à comprendre... Qu’est-ce que peux faire un couple lorsqu’ils vont aux toilettes.
Deux minutes après.
Hugo : OOOOH AAAAAAH vous êtes des coquins.
Amir : oh, je suis jaloux, jamais rien fait.
Alan : ok, j’ai compris, vous êtes chaud vous deux.
On rougie.
Antoine : donc oui, nous avons fait l’amour vite fait... Sauf que nous ne savions pas, nous avons été filmées.
Amir : quoi ?
Sophia : qui ?
Lucie : oh le fils de pute.
Alan : sérieux ?
Hugo : ok, cela explique ton absence Maëlys, on peut faire quoi ?
Antoine : vous voudriez nous aider ?
Lucie : on peut faire quoi ?
Alan : bien sûr, on ne touche pas à la famille.
Sophia : on va lui faire regretter à cette sale merde de sa race.
Lou : on va lui cramer sa maison et sa voiture à cette sale enculée, on doit faire quoi ?
Moi : merci, à tous, je vous aime, le souci, c’est qu’on ne sait pas quoi faire...
Lou : voilà pourquoi nous sommes ici ?
Moi : oui, nous ne savons pas quoi faire.
Alan : il faut le trouver le mec, pour lui casser les genoux, j’ai une bonne masse à la maison.
On rigole.
Lou : je pense qu’il faut d’abord qu’on trouve ou le mec vie.
Antoine : où il vit ou ne sait pas, mais on sait déjà une chose, les mails, on était envoyé depuis le lycée.
Amir : le lycée en plus.
Lou : un élève ?
Sophia : un prof.
Antoine : on pense à un prof, car il nous a montré sa bite.
Alan : vous rigolez ?
Antoine sort la photo et la montre à la bande.
Sophia : on a fait à un malade, sérieux, en tout cas, inconnu cette bite, en plus poilue, beurk.
Amir : un enfoiré ce mec, on va lui couper la bite.
Alan : pas belle.
Hugo : il faut le mettre hors service ce mec, et vite, c’est un danger.
Lucie : il a dit quoi d’autre ? Si le mec, ose faire ça, c’est qu’il n’a pas peur.
Antoine : il m’a insulté de différents noms, il m’a rabaissé...
Amir : on ne touche pas à la famille.
Hugo : oui, alors on va lui faire payer.
Sophia : je propose qu’on trouve un coin au chaud pour parler.
Quelques minutes après nous arrivons dans un p’tit café, on prend une place.
On commande chacun un truc.
Alan : alors, que fessons-nous ?
Sophia : Maëlys, Est-ce que tu la possibilité de trouver d’où vient le mail.
Moi : je pense que oui, mais chaud.
Hugo : il attend quoi de toi ?
Lucie : je dirai qu’il veut te baiser.
Antoine : oui.
Hugo : on pourrait peut-être l’avoir de cette manière.
Antoine : il est hors de question que Maëlys se met en danger.
Sophia : bien sûr, elle ne fera rien, surtout avec ce mec.
Lou : je pense qu’on pourrait le piéger, mais pour ça, il faut attendre qu’il reprenne contact.
Moi : il l'a fait sur la route.
Amir : il a dit quoi ?
Moi : qu’il voulait m’enculer, mon cul le fait trop bander, il en a même fait une vidéo de cinq minutes.
Sophia : sérieux ? Je peux voir ?
Moi (je lui passe mon phone.) : c’est un connard ce mec.
Sophia : en regardant autour, on ne reconnaît rien de ce qu'on connaît dans le lycée... Fils de pute.
Alan : il faut qu’on trouve qui il est, après on pourra lui niquer sa mère.
Antoine : est-ce que le lycée est protégé niveau informatique ?
Moi : la sécurité de basse en principe, mais il y a toujours une solution.
Sophia : il vient d’envoyer un message.
Antoine : il veut quoi ?
Sophia : il veut te baiser lundi au lycée pendant les cours.
Lucie : je viens d’avoir une idée, mais on pourrait avoir des problèmes.
À suivre.
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