Grosse salope, il est temps de payer 7/8

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Sorry pour l'attente, je ferai de mon mieux pour mettre les suites plus souvent.

Antoine : attends, Maëlys, si je ne me trompe pas la conseillère d’orientation veut voir tes parents ?

Moi : oui, mais je ne vois pas en quoi soit utile.

Antoine : tu vas sortir appeler tes parents pour prendre rendez-vous lundi à 14 h, si cela vient de ton père, la meuf ne pourra rien dire et nous mettons un plan en place.

Sophia : aaah j’ai compris... ton mec n’est pas con... Fait nous confiance.

Je me lève, pour sortir, en discutant avec les parents, je vois la bande qui discute bien, lorsque j’ai fini avec eux, je vois la bande qui sort.

Alan : lundi, tu vas en cours normalement, en aucun cas, tu devras t’occuper de nous.

Moi : qu’est-ce que vous allez faire ?

Amir : Maëlys, tu as toujours été là pour nous, lorsque nous n’allons pas bien, tu arrives en courant immédiatement, pour nous aider, nous soutenir, alors aujourd’hui, c’est à nous, et pour te protéger, tu ne seras rien.

Moi : vous n’allez pas le tuer ?

Hugo : il le mériterait bien, ce fils de chienne, on voudrait simplement savoir un truc, Est-ce que tu serais comment entrer sur les ordinateurs du lycée ?

Moi : je peux vous trouver une solution, mais...

Hugo : pour une fois, ne discute pas, on te l’interdit, alors pour une fois, ferme bien ta gueule. (sourire).

Je commence à pleurer, il y a trop d’amour autour de nous, la bande me prend dans les bras, après un long moment, nous nous séparons.

Le dimanche fut très court, je n’ai pas vu la journée passée.

Lundi matin avant de partir au lycée comment une journée normale

Papa : je serai libre à 14 h, Est-ce que tu veux que je vienne en tenue ? Pour lui fermer la gueule.

Maman : Marc, quand même.

Papa : cette sorcière, veut que nous ange redouble, alors tu penses que je vais être un papa cool avec cette sorcière.

Maman : tu ne viens pas en tenue, je ne veux pas qu’elle se venge sur Maëlys après.

Papa : tu sais, j’ai des amies qui me doivent des services, elle peut être vite dans un coffre.

Maman : non, tu arrêtes, d’ailleurs, ton Henry est devant la maison, il attend monsieur, aller hop, du vent.

Papa : à toute l’heure.

Maman : ne t’en fais pas, il ne fera rien.

Moi : je sais maman, aller, il est déjà l’heure que j’y aille.

Maman : je t’aime.

Moi : moi aussi.

Je saute sur mon scooter, je fonce, j’ai rendez-vous avec Lucie qui m’attend un peu plus loin dans un petit chemin, lorsque j’arrive, elle est déjà.

Lucie : coucou ma belle.

Moi : bonjour beauté, alors voilà, tiens la clé usb, tu as simplement à la brancher, tu n’as rien à faire, vous allez faire quoi ?

Lucie : ok et tu ne seras rien, je t’aime.

Moi : je t’aime Lucie.

Elle démarre, comme une folle.
Lorsque j’arrive au lycée, ils sont tous là, je ne pose aucune question.

J’ai beaucoup de mal à suivre les cours, j’ai peur de ce qu’ils vont faire, si ça tourne mal, je ne pourrais pas être là pour eux.
Il y a des jours, ou les heures ne passe pas, aujourd’hui, tout le contraire, en un rien temps, il est 14 h, l’heure que j’aille à mon rendez-vous, la classe a un trou pendant 2 h, donc ils sont libres

Lorsque j’arrive dans la cours, mes parents sont là.

Papa : alors la sorcière.
Maman : tes insupportables Marc.

Moi : son bureau est par là, suivez-moi.

Nous entrons dans le couloir, à l’autre extrémité, elle arrive.

Papa : ah ouais, maintenant, je comprends (maman, lui donne un coup de coude), je ne lui sers pas la main, tu as vu le machin sur son nez, on dirait une couille.

Maman et moi, on rigole.

Maman : si je l’imagine avec une couille, tu vas m’entendre Marc.
La conseillère : bien, je vois que vous êtes à l’heure, je n’aime pas attendre.

Papa : bonjour pour commencer.
La conseillère : Oui, installer vous.

Papa : j’ai déjà vu des portes de prison qui ont plus de politesse...

À partir de cette phrase, je n’ai plus rien écouter, je n’ai pas arrêté de penser à la bande, qu’est ce qui vont faire, j’ai repensé à la vidéo d’Antoine et moi, les insultes de ce mec en vers mon homme, je crois que si je l’aurais devant moi, je ferais une connerie.

Je ne peux pas accepter qu’on sente prend à quelqu’un que j’aime.
Lorsque je reviens à la conversation...

Maman : je pense madame, que vous êtes blasés de votre métier, alors que vous êtes là pour aider la nouvelle génèration.
Moi : donc il va m’arriver quoi ?

La conseillère : vous passez votre bac, mais il ne faudra pas râler si l’année prochaine, vous n’arriver pas.
Papa : elle commence à me faire chier, aller, stop, on arrête.

La conseillère : oui, vous êtes désagréable monsieur.
Papa : alors là, j’aurais tout entendu, après 1 h 45, je me prends ça en pleine figure, vous aimez votre métier, profitez, vous allez être remplacé, faite moi confiance, d’ailleurs pendant que j’y pense, avec le machin que vous avez sur le nez, vous ne loucher pas trop ?

Maman : MARC.
Papa : elle m’en merde je ne vous dit pas au revoir.

Nous quittons son bureau.

Maman : le plus important est qu’elle passe son bac, tu l’auras ton bac mon ange.
Papa : bien sûr, et la vieille fermera bien sa gueule.

Moi : oui, j’aurais mon bac, je n’ai aucune difficulté dans les matières.
Papa : ne cherche pas, elle est jalouse à l’école, elle devait être nul, pour ça qu’elle fait ça comme métier... Enfin, pour le moment, lorsque j’en aurais fini avec, même une bibliothèque n’en faudra pas.

On arrive dans la cours, on voit la grille grande ouverte.
Lorsqu’on passe la porte, nous voyons les pompiers, le SMUR, et la police.


Un brancard, mon cœur s’accélère, j’ai peur pour mes amies.

À suivre.

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