Grosse salope, il est temps de payer 8/8.
Lorsqu'ils passent non loin de nous, je remarque monsieur le directeur allonger, sur lui avait une partie de mur.
Je ne comprends rien.
Le directeur : c’est elle, cette salope.
Papa : il parle de qui celui-là.
Il avance vers le brancard, un policier arrive pour arrêter mon père.
Policier : stop monsieur.
Papa : gamin je te conseil de retiré ta main avant que ta carrière ne s’arrête brusquement.
Un lieutenant (arrive) : monsieur du calme, sinon, on vous arrête...
Papa (il sort sa plaque, il n’a pas le temps de finir sa phrase.) : je n’ai pas bien compris.
Lieutenant (garde-à-vous) : pardon monsieur, je ne savais pas.
Papa : lorsqu’on me parle, on ne mastique pas, a moins que vous êtes une vache, donc la poubelle.
Lieutenant : pardon monsieur.
Papa : il accuse ma fille ? Il sait passé quoi ?
Lieutenant : puis je vous parle sur le côté.
Papa : oui.
Ils s’écartent un peu plus loin, on ne peut rien entendre.
Alors comme ça, le pervers serait le directeur, en regardant, je vois son gland qui dépasse du bout du mur, je ne comprends rien.
Je regarde partout, je cherche la bande, je ne la trouve pas du regard.
Quand d’un coup, ils sortent tous du foyer.
Les pompiers embarquent le directeur.
D'un coup un policier arrive vers le lieutenant pour lui montre un truc.
D'un coup, le lieutenant laisse mon père.
Lieutenant : deux minutes, passé lui les menottes.
Directeur : quoi ? Sale flic de merde, allez crever.
Pompier : monsieur, arrête de bouger, sinon, vous allez sectionner votre sexe...
Les pompiers quittent le lycée.
Papa revient vers nous.
Papa : alors là, j’en ai déjà vu des psychopathes, mais lui, on peut le mettre dans le top 3.
Maman : pourquoi, il accuse Maëlys ?
Moi : je n’ai rien fait. (je comprends maintenant pourquoi ils n’ont rien dit).
Papa : comment tu aurais pu faire ça, alors que tu étais avec nous (sourire) en tout cas, la personne qui a eu l’idée de le piège comme ça, je lui dirais bien merci, il en faut de l’ingéniosité pour penser à coincer le sexe dans un trou de mur.
Maman : ils savent quoi ?
Papa : d’après les premières constations, il aurait eu rendez-vous avec quelqu’un pour un plan, sauf qu’il a fini dans une mousse très solide, le smur ne savent pas si son sexe pourra être sauvé et les collègues ont un énorme problème... Cet après-midi, pendant deux heures personnes n’avait cours, donc il y a plus de 1000 coupables... Bonne chance à eux, quand je vais raconter ça en rentrant au bureau, ça va bien rire (il rigole.) à ce soir, je vous aime.
Maman : sois prudent, j’y vais aussi, je t’aime.
Moi : merci d’être venue, je t’aime.
Une fois qu’ils sont partis, je prends la direction du foyer, je marche rapidement.
Ne jamais courir, lorsque vous avez la police dans le coin.
C’est une fille de flic qui le dit.
J'ouvre la porte, ils sont assis avec un policier qui prendre leurs témoignages, je ne peux pas rester ici sans bouger, alors je sors de la pièce pour rejoindre le bâtiment principal.
Je recherche une salle de libre, après plusieurs minutes, j’en trouve une.
Je rentre, je m’installe, puis j’attends.
Quand d’un coup, mon phone vibre
Antoine : tu es ou mon cœur ?
Moi : dans la salle du gros porc.
Antoine : ne bouge pas, on arrive.
Moi : ok.
Quelques minutes après, ils entrent.
Amir : putain, le mec est dans la merde.
Moi : qu’est-ce que vous avez fait ?
Lucie : prends place, on va t’expliquer, Antoine fait toi plaisir.
Hugo : euuuh.
On rigole tous.
Antoine : je n’ai pas envie de faire de jaloux avec mon sexe. (sourire).
Amir : p’tite bite.
Sophia : Antoine accouche, raconte tout.
Antoine : samedi, lorsque, nous sommes sortis, Lou a acheté un portable jetable... Lucie et Amir sont arrivés à l’ouverture des portes, ils sont entrés, ils nous ont ouvert la porte que donne sur la rue, Lou et Hugo, sont parti vers l’ordinateur le plus proche, on a mis ta clé, et très vite, on a trouvé qui était notre cible.
Moi : le directeur.
Antoine : oui, alors Lou a eu une idée, se rendre à son bureau pour regarder son ordi perso, ils sont vus des photos d’enfant... alors, à la base, notre plan été de le coincée dans une situation compromettante mais on as eu peur qu’il aurait pu partir, alors ce matin, j’ai repensé à l’exo du prof de physique, alors on as forcer le labo, pour récupérer la patte, puis de l’eau, pendant qu’ils étaient dans son bureau, on as préparé le piège, et quand nous étions prés, Sophia a envoyé un sms au directeur en lui disant qu’elle accepter de le sucer si, il garder pour lui la vidéo, alors, tu imagine, le mec en moins de deux était là.
Moi : connard.
Antoine : le plus compliquer arrive maintenant...
Moi : ah bon.
Antoine : oui, il fallait le garder le temps que la patte fasse effet.
Moi : comment vous avez fait ?.
Alan : il fallait le garder dans le trou, (il prend une grande respiration.), Sophia a mis sa bouche devant le trou pour qu’il voie qu’il peut faire confiance.
Sophia : j’avais mis un rouge à lèvre de grosse salope, alors quand il a vu ça, il a passé son sexe, par le trou, j’ai dû le branler.
Moi : oh non...
Alan : il a ordonné de sucé...
Moi : ne me dis pas que...
Amir : Alan à donner de sa personne, le fils de pute a gémi comme jamais.
Alan : personne ne peut me résister, alors pendant que j’avais sa queue en bouche, les autres en ont profité pour aller dans les toilettes pour mettre la patte et l’eau, en moins de 10 s le trou été boucher, et le mec la bite de coincé.
Moi (je commence à pleurer.) : comment je pourrais vous remercier.
Hugo : non, tu n’as rien dire, tu as tellement été là pour nous, que sait nous, qui avons encore plein de chose à te devoir.
Moi : oh non, vous ne me devez rien.
On se prend tous dans les bras.
Alan : je me suis rincé et brosser les dents.
On rigole tous.
Hugo : tes gays Alan ?
Alan : non, je suis bi, même si les pseudo-hétéros et gay disent que nous n’existons pas alors que si (sourire).
Amir : on dirait vraiment que l’ex directeur a pris du plaisir... Dans ta bouche...
Hugo : ouais...
Antoine : les mecs, il faut vous trouver une meuf (il rigole.).
Amir : ouais.
Hugo : hélas personne.
Tout en discutant, je vois Amir qui touche son sexe, il bande un peu.
En voyant ça, je frissonne un peu.
Vivement la fin de semaine, j’ai envie d’être avec Antoine...
Pour l’instant, j’ai envie d’une chose, rentrée chez moi et dormir.
Moi : je vais vous payer le resto, lorsque le printemps arrivera, je tiens à vous remercier, vous compter tellement pour moi, je vous aime.
Antoine : je te raccompagne jusque chez toi après les cours.
Je l’embrasse sur les lèvres.
Lucie : vous êtes trop beau.
Alan : un très beau couple.
Amir : ça doit être chaud entre vous, vous êtes beau.
Le reste de la journée se passa lentement.
Antoine ne m'a pas lâché une seconde, je me sens tellement bien avec lui.
Après les cours, il m’a raccompagné à la maison, j’avais envie d’être tranquille chez moi
Lorsque ma mère a vu Antoine, elle l'a invité à manger, il est rentré chez lui à 21 h.
Je l’aime.
À suivre.
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