Bonjour la team, j'espère que vous allez bien, moi ça va très bien, j'ai simplement beaucoup de boulot en ce moment, je fais de mon mieux, il faudrait que les journées avec plus heures ^^ je ne vous oublie pas, encore un peu de temps et j'aurai plus de liberte.

Je vous laisse avec quelques suites, pour vous faire patiente pendant mon absence, je pense à vous, bisous.

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J’ouvre les yeux en doucement.

Il y a longtemps, que je n’ai plus passé une aussi bonne nuit, sans avoir peur qu’un mec ne m’attende pas au coin d’une rue pour me violer.

Aujourd'hui, le mec est en prison, il ne va pas sortir avant des années, il y a plusieurs enquêtes contre sa gueule.

Je pense que lorsque ses collègues de prison, vont apprendre que ce n’est qu’un pédophile, son cul ressembleras au tunnel sous la Manche...

Un excellent petit déjeuner pour me mettre en forme pour aller au lycée, aujourd’hui, nous sommes au mois de mai, nous sommes dans la dernière ligne droite.

J’ai tellement hâte de me dire que le lycée est derrière moi, une bonne fois pour toutes et après, je vais pouvoir aller à la fac, j’ai tellement hâte.

Mais pour le moment, je dois faire le dos rond.

Attendre que le temps passe, encore un peu de courage.

Je discute un peu avec ma mère puis je décolle direction le lycée, je crois que je pourrais y aller les yeux fermés, je connais la route sur le bout des doigts.

Je m’arrête au feu qui se trouve non loin du lycée.

Je me sens bien, je pense à Antoine, j’ai envie de lui, je frissonne, je reviens à moi lorsque j’entends des bruits de klaxonnent, je tourne la tête, je vois la bande qui arrive.

Lucie (à ma gauche) : bonjour,

Alan (à ma droite) : Hello miss.

Amir et les autres derrière.

Lucie : tu as ton escorte cheffe.

Moi : vous êtes vraiment grave. (sourire).

Le feu passe au vert, je donne un coup de gaz, ils n’ont pas le temps de comprendre ce qu’il se passe que je leurs mets au moins trois longueurs.

Ils n’arrivent pas à me rattraper, je suis la première devant le portail du lycée, en retirant mon casque, je vois une bande six de jeunes qui distribuent de flyers.

Amir : ton scoot est un vrai bolide.
Hugo : une machine.

Moi : eh oui les petites bites.(sourire).
Lou : AAAAH donc Antoine en as une petite.

Moi (je lui caresse l’entre-jambe devant tout le monde.) : OH LAA, non (Je me mort la lèvre, il rougit, je ne peux pas m’empêcher de l’embrasser).

Sophia : vous êtes tellement chaud.

Hugo : pourquoi il n'y a pas plus de fille comme toi Maëlys.

Du coin de l’œil, je vois un des jeunes qui distribue les flyers, arrive vers nous.

Maxence (sourire) (beau brun, 1m90, 78 kg, yeux marron, tatouage sur le bras gauche) bonjour, Est-ce que je peux vous interrompre quelques minutes.

Sophia le regarde elle se mort la lèvre.

Sophia : oui bien sûr, même plus si tu as envie, moi, c’est Sophia.
Amir : ah, on dirait qu’elle a faim.

Sophia lève la main, elle lui fait un doigt d’honneur.

Lou : qu’est-ce qu’on peut faire pour toi ?
Maxence (sourire) : je me présente, je suis Maxence L. et j’appartiens à l’Organisation Nationale des Lycéens, nous sommes ici pour aider les lycéens qui en auraient besoin.

Lou : aider ?

Maxence (sourire) : oui, notre organisme aide les lycéens pour mieux vivre la vie dans le lycée, on aide aussi pour parcourt sup, on conseils pour les futures études, trouver un logement étudiant, trouver un premier boulot, aide financière.

Lou : vous êtes rattachée à quelle structure ?
Maxence (sourire) : aucune, nous sommes une solution indépendante à d’autres associations lycéenne ou étudiante qui est rattachée à un parti politique ou un mouvement sois de droite ou de gauche ou encore des extrêmes.

Lou : ah bon, alors si tu dis vrai, comme vous fait pour fonctionner.
Maxence : notre organisme est international, nous ne dépendons pas d’argent public ou venant de pays qui se dit démocratique, alors qu’ils ne sont que des dictatures, mais si tu veux en savoir plus sur nous, rien de plus simple (il lui passe un flyer) tu as un QR, il y a toutes les infos et l’inscription est complétement gratuite, nous n'obligeons pas une participation des membres.

Le portail s’ouvre, les pions sortent.
Je tourne la tête, je vois une brune, je dirais 1m65, yeux marron qui arrivent Est-ce place devant son collègue.

Pion : vous n’avez pas le droit d’être ici, soit vous quitter le lycée, ou on se réserve le droit d’appeler les forces de l’ordre, vous avez deux minutes.

Agathe (sourire) : bonjour, vous allez bien ? Avant de nous gueules dessus, je vous conseil de vous rapprocher de la nouvelle direction de votre lycée, car nous avons toute les autorisations pour être présent ici, nous avons simplement la consigne de ne pas empêcher le bon fonctionnement du lycée, ne pas être sur la route, ne pas faire des attroupements, alors lorsqu’on ne sait pas, faire son métier, on ferme gentielement ça gueule, merci.

Je m’éclate à rire en entendant ça.

Moi : je kiff cette meuf.

Elle me regarde avec le sourire.

Un grand frisson me parcourt le corps.

Agathe (sourire) : merci, alors si vous voulez en savoir plus sur nous, un passage sur notre site ou bien, vous pouvez venir directement nous voir à notre bureau ici à Valenciennes (elle regarde le pion.) faudra faire avec nous maintenant et personne ne nous fera partir.

Le pion : je m’en fou (il nous regarde.) aller vous entrer, il va être l’heure.
Agathe : merci pour votre écoute et excellente journée à vous.

Nous allons ranger nos machines, et nous allons vers la salle de classe.

Amir : elle a du caractère la meuf.
Alan : oui et en plus elle est très belle.

Amir : tu l'as maté ?
Alan : j’ai des yeux frérot.

Amir : oui, mais je pensais que tu aimais. (il se touche les couilles).
Lou : sérieux ?

Amir : je sens que je vais encore en prendre plein la gueule...
Moi : non, tu crois ? (sourire)

Lou : viens par là, je vais te faire comprendre.
Moi : en douceur ma chérie, ok ?

Lou : oui Maëlys.

On avance tranquillement vers la salle quand d’un coup, dans le couloir nous voyons la nouvelle directrice.

Directrice : bonjour jeune gens.
La bande : bonjour madame.

Directrice : passée une bonne journée (sourire).

On s’arrête à la salle.

Hugo : alors ça ressemble à ça, lorsqu’on a une directrice sympa.
Sophia : pour une fois, que je suis d’accord avec toi.

Hugo : je te l’avais dit que tu allais un jour tombée follement amoureux de moi.
Sophia : est-ce que tu veux que je te casse les couilles ? (sourire).

On rigole bien juste avant l’arrivée du prof.
Aujourd'hui journée tranquille, pas beaucoup de cours, par rapport à d'habitude donc une excellente journée.
Nous avons enchaîné cours après cours jusqu’au moment où la sonnerie de la liberté sonna.

Lou : l’équipe, je suis curieuse de cette association, comme on n’a plus cours, on peut y aller ?
Lucie : ok.

Amir : j’ai prévu une bonne branlette, mais ça peut attendre.
Sophia : tes irrécupérables mec.

Amir : j’ai tout appris d’Antoine.
Antoine : salope, tu ne me mêles pas à ta connerie.

Je prends la main d’Antoine et nous allons un peu à l’écart.

À suivre.