Il ne mérite pas ça 2/4.

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Moi : qu’est-ce qui ne va pas depuis ce matin ? J’ai dit ou fait quelque chose ?
Antoine : pardon mon cœur, mais non, tu n’a rien fait tes parfaite.


On s’embrasse tendrement.


Alan : il y a des hôtels pour faire ça.

On rigole tous.

Moi : ah merde, moi qui pensais que tu voulais voir son pénis.
Antoine : rooo Maëlys.

Moi : je t’aime, alors, il se passe quoi ?
Antoine : hier soir, avec la famille, on devait attendre après l’appel de Kevin (son grand frère) il ne l'a pas fait, idem pour aujourd’hui.


Moi : il en a ou de son voyage.
Antoine : il doit en principe sortir du Cambodge pour entrer au Vietnam.

Moi : il n'a sûrement pas de réseau ou de moyen pour appeler, mon cœur, je pense qu’il est un peu tôt pour commencer à se faire des soucis.
Antoine (il me colle contre lui, son sexe bande un peu) : après qu’on soit sorti de cette visite, on pourrait peut-être passer un moment à deux (il rougit).

Moi (je glisse ma main pour lui touche la bosse.) : avec grand plaisir mon cœur.

On s’embrasse avant de se séparer pour prendre nos scooters.

Lou : suivez-moi, on y va, on va se garer non loin de la gare et on finira à pied.
Moi : OUI, CHEFFE A VOS ORDRES.

En quelques minutes, nous arrivons à la gare puis en moins de quatre minutes, nous arrivons devant leur bâtiment.

Lou : aller, on entre, je suis très curieuse.

En passant la porte, je sens la même odeur qu'au lycée.

Alan : laisse-moi deviné, tu sens une odeur.
Moi : je crois que je deviens folle.

Lucie : promets-moi que tu vas en parler à ton docteur.
Moi : promis ma chérie.

Hôtesse d’accueil (sourire) : bonjour jeune gens.
Lou (sourire) : bonjour, nous avons eu votre papier de votre équipe.

Hôtesse (sourire) : bienvenue, je suppose que vous voulez des renseignements.
Lou : oui, je suis très curieuse, j’ai été sur votre site, mais je préfère en parler de vive voix.

Hôtesse (sourire) : je vous appelle quelqu’un, voulais vous quelque chose à boire ou à manger en attendant ?
Lou : non, merci, ça va aller.

Elle décroche son téléphone.

Hôtesse : oui, Clémence, Est-ce que tu as fini avec ton rendez-vous ? … Bien, si tu a le temps, j’ai une bande de jeunes amies devant moi, ils aimeraient avoir des informations... Bien, merci (elle nous regarde.) elle arrive, elle va pouvoir répondre à vos questions, si vous pouvez attendre un peu.
Lou : aucun souci.

On nous installe dans une salle d’attente, il y a du monde qui attend comme nous, en écoutant leurs conversations, je comprends qu’ils viennent des différents lycées du Valenciennois, depuis notre place, je peux voir que l’hôtesse n’arrête pas de me regarder.

Lucie : je crois que tu as tapé dans l’œil de la fille.
Moi : ouais, on dirait.

On rigole.
Deux minutes après, nous voyons une très belle blonde qui arrive vers l’accueil, puis vers nous, avec un grand sourire, ils sont tout le sourire ici...

Clémence : oh là, ah oui, bonjour à tous, alors moi, c’est Clémence, si vous voulez bien me suivre.
Lou : bien sûr

Nous entrons dans un grand bureau, en passant à la porte de la salle, je sens l’odeur.

Moi : excuse-moi, mais vous avez un parfum d’entrée ?
Clémence (elle me regarde avec de grands yeux.) : non, pourquoi ?

Moi : on dirait que j’ai senti un parfum.
Clémence : je ne crois pas, il y a de parfum autorise dans nos bureaux, suite à des allergies que certaines de nos collègues peuvent avoir.

Moi : ah, il faut vraiment que je prenne rendez-vous.
Lou : je voudrais en savoir plus sur votre structure.

Clémence : oui bien sûr, alors nous sommes une association lycéenne qui aide les jeunes de différentes manières, lorsqu’ils sont sur le point de passée leurs bacs, leurs permis de conduire, pour certains ce lancer dès les études supérieurs, avec les soucis qui vont avec, le logement, les assurances, nous proposons aussi l’aide alimentaire, aide social, nous luttons contre les discriminations sexuelle après nous pouvons aussi aider les jeunes qui veulent se lancer dans le boulot avec ou sans un bac.

Lou : j’ai pu échanger avec Maxence ce matin, il m’a dit que vous ne dépendiez pas d’une tierce personne, alors comment vous faite ? Pour avoir des locaux en plein centre-ville, avec du personnel, et tous vos équipements.

Clémence : oui, il a raison, les différentes associations, quels soit lycéen ou étudiante, on d’une manière ou d’une autre, une ramification avec un parti politique, ici à Organisation Nationale Lycéenne nous ne dépendons pas d’un système qui ne fait que tournée en rond, sans jamais réellement avancées, nous voyons que les jeunes de notre société seront les pauvres du futur, car le schéma remonte à un autre temps

Aujourd’hui notre monde est en plein changement, nous ne pouvons pas compter sur les personnes qui dirige, alors pour que les choses changent ils faut ce remonter les manches et mettre les mains dans la merde, pour relever le pays, alors oui, cela ne sera pas un combat que nous allons gagner demain, mais si nous pouvons aider un jeune à pouvoir manger à sa faim, lui permettre d’avoir un logement digne de ce nom, sans qu’ils ne doivent travailler à coté de leurs études pour garder la tête hors de l’eau.


Lou : sacre combat, mais comment faire si aucun politique ne vous écoute, car ils dirigeants les pourris.
Clémence : un pas après l’autre (sourire).

À suivre.

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