Il ne mérite pas ça 3/4.
Lou : avec quel moyen ?
Clémence : nous dépendons d’un réseau national des lycées qui lui dépendant d'Organisation Internationale lycéenne.
Lou : intéressant, vous êtes dans beaucoup de pays ?
Clémence : à la création de notre organisme, nous étions qu’au Danemark et maintenant depuis un peu plus de deux ans, nous sommes dans 120 pays du monde.
Lou : vous aidez combien d’étudiants.
Clémence : alors le chiffre exact date un peu au niveau mondial, mais pour la France, nous venons de passer la barre des 28.000 personnes que nous avons aidées.
Lou : il n'y a pas que des étudiants dedans ?
Clémence : oui, il y étudiant et d'autres qui ont besoin d’aide, et depuis 1 mois, nous sommes ici à Valenciennes.
Lou : je suis sur le cul, mais pourquoi je n’ai jamais entendu parler de vous, depuis l’âge de 15 ans, je m’intéresse à la protection des gens.
Clémence (sourire) vous avez quel age maintenant.
Lou : je vais avoir 18 ans dans une semaine.
Clémence : très beau de voir que la jeunesse n’est pas morte, pour répondre à votre interrogation, nous ne sommes pas là pour faire de la pub, nous ne sommes pas là pour passées sur les réseaux sociaux ou à la télévision et encore moins parler avec des politiques.
Lou : j’ai l’impression que vous n’aimez pas les politiques.
Clémence : lorsqu’ils vont arrêter de penser à leurs propres besoins, la jeunesse souffre, on ne peut pas laisser faire ça, comment sera le futur ?
Lou : je suis d’accord avec vous.
Clémence : il y a de plus en plus de jeune de vos âges qui sont de notre avis, et qui nous rejoigne chaque mois et nous en sommes heureux.
Lou : vous demandez de l’argent.
Clémence : jamais, pourquoi demander de l’argent à des personnes qui on déjà du mal à finir le mois, lorsque vous regarder les sommes que les étudiants doivent sortir de leurs poches pour pouvoir manger, vivre, nous n’allons pas leurs faire ça et même, nous fessons plus, lorsque vous arrivées à la fac, il vous faut une assurance, chez nous, vous pouvez vous assurer à 180 euro pour l’année, nous vous passons des adresses de docteurs qui peuvent vous prendre et vous n’avez rien à payer.
Lou : sérieux ?
Clémence (sourire) : oui, vous devez penser à vos études, il y a rien de plus important.
Lou : j’avais encore une question.
Clémence (sourire) : je t’écoute.
Lou : vous êtes présent dans toutes les universités ?
Clémence : en Amérique du Nord, nous n’avons aucun souci, en arrivant ici en Europe, nous avons rencontré quelques soucis en Allemagne, une fois qu’ils sont vus qu’on pouvait réellement aider, soutenir les jeunes, on nous a ouvert les portes en grand... La France est actuellement un souci pour notre organisation, car le gâteau que représentent les étudiants est partagé entre quelques personnes, au début nous avons demandé gentiment de nous faire une place, aujourd’hui, la gentillesse fait partie du passée (sourire).
Lou : ce n’est pas un peu forcer les choses.
Clémence : oh oui, complètement d’accord avec toi, mais est-ce que les gros porcs qui prennent l’argent se demandent si les gens vont bien dans leurs têtes ? Non, ils veulent leurs argents, rien d’autre.
Lou : vous êtes directe dans votre manière de voir la situation, est-ce que sait la manière de penser de votre organisation ou la tienne ?
Clémence : c’est la mienne, je suis complétement libre de dire ce que je pense, dans certains organismes, on te fait comprendre soit tu restes dans les lignes ou tu dégages, ici cela ne fonctionne pas comme ça, voilà pourquoi j’ai rejoint l’organisation (sourire) regarde dans les coins, il y a des caméras qui enregistrent notre entretien, je n’ai rien à cacher.
Lou : je vais être franc avec toi, je suis sur le cul, j’ai une dernière question, après on te laisse tranquille.
Clémence : vous ne dérangez pas, ne vous en faites pas (sourire) je t’écoute.
Lou : vous vous occupez que d’étudiant qui sont dans le besoin ?
Clémence : non, nous nous occupons de toute étudiants qui a besoin d’aide, il y a deux jours, nous sommes intervenus car un étudiant gay était viré de chez lui par son père, nous l’avons pris sous notre aile, il y a différente possibilité d’aide une personne, alors oui, beaucoup plus d’étudiant ou lycéen ont des problèmes, des fois juste une parole, peu aider les gens.
Lou : je suis vraiment sur le cul, désolée, mais j’ai une toute dernière question.
Clémence : attends deux secondes (elle écrit un truc sur un papier, elle passe a Lou.) tu auras encore bien d’autres questions, donc je te passe mes coordonnées de cette manière, tu pourras me poser tes questions, mais tu peux me poser ta question (sourire).
Lou : ok, merci, vous êtes en Amérique (oui de la tête) est-ce que la religion prend des décisions dans votre organisation ?
Clémence : bien, on ne m’avait jamais posé cette question, et la réponse est non, il y a aucune prise de pouvoir d’une religion ou d’une autre, lorsqu’une personne vient dans un de nos bureaux sait pour avoir de l’aide, vos croyances reste à la porte.
Lou : ok, je te remercie.
Clémence : je suis là pour ça, si tu as d’autres questions, je suis là pour y répondre (Alan, il lève la main.) oui ? (sourire)
Alan : je suis bisexuel, vous aide aussi ?
Clémence : oui.
Alan : même si la personne est majeure ?
Clémence : toute personnes quelque soit sa couleur de peau, orientation, conviction, à le droit à être aider, nous avons des docteurs, des psys, des assistantes sociales, des avocats … Il y a toujours une solution, et nous la trouverons.
Alan : merci.
Clémence : si tu as le moindre souci de biphobie, tu peux venir est demander de l’aide, et bien sur tout ça sera gratuit.
Lou : je te remercie.
Je me lève d’un coup, elle tourne la tête vers moi avec son sourire.
Moi : j’ai bien écouté cet entretien, je pense que vous devez faire chier certaine personne car vous essayer de bouger les barrières, est-ce que vous allez réussir, j’en sais rien, c’est un beau discourt que vous sorter mais je crois ce que je vois, je voudrais voir sur le terrain ce que vous faite vraiment, car pour l’instant cela n’est que tu vent, facile de louer un bureau, mettre deux ou trois plante verte dans un coin, même chose pour les équipements info, je veux du congres et je voudrais savoir si vous prenez un produit, car depuis que nous avons fait la rencontre de vos collègues ce matin, ils sont toujours le sourire.
La porte de la salle s’ouvre Agathe entre, Clémence se lève.
Agathe : tout va bien ? (sourire).
Moi : voilà ce que je veux dire, toujours le sourire.
Clémence : oui, très bien, j’ai de très bons échanges avec ce groupe.
Agathe : bien (sourire).
Clémence : pour répondre à ta question, oui, on dirait que c’est juste des mots l’un derrière l’autre, un discours appris par cœur, même des paroles d’une secte, alors je vous propose à tous de venir prochainement à une visite de nos différents sites que nous avons dans la région, qu’est-ce que tu en penses Agathe ?
Agathe : excellente idée, tu organises tout Clémence.
Clémence : bien et pour le faite que nous avons toujours le sourire, c’est parce que nous savons au plus profond de nous, que nous allons réussir à aider le plus de personne, qui pourraient changer les choses, un sourire envers une personne qui est mal, peu l’aider à ce sentir mieux et surtout à lui faire comprendre que nous sommes vraiment là pour l’aider... Pas comme certains.
Moi : ok, pour la visite, ça sera un grand plaisir et si je me rends compte que tout cela n’est que du vent, votre château de cartes fera boom (sourire, je regarde Agathe) a ce que je peux comprendre, tu es la cheffe de cet organisme.
Agathe : je suis là Secrétaire Régionale de l'Organisation, mon boulot est d’aider les marraine et parrain à faire leurs boulots (Elle me regarde droit dans les yeux, on dirait qu’elle essaie de lire mon âme et peut être de m’impressionner... Elle n’arrive pas une seule seconde.) je crois que je peux dire que nous allons nous revoir.
Moi : bien sûr, pour visite tout ce que vous avez raconté, Lou, tu as d’autres questions ?
Lou : non Maëlys
Moi (sourire) : alors on vous remercie, Lou prendra contact avec Clémence et on s’organise ça rapidement... J’ai hâte...
Nous sortons tous ensemble.
Amir : je suis sur le cul.
Lou : oui, mais on verra lorsque nous aurons rendez-vous.
Moi : il faudra prendre rendez-vous rapidement.
Lou : oui, je m’en occupe.
Lucie : par contre Maëlys (je la regarde.) la meuf de l’accueil ta mater le cul, on dirait qu’elle a même baver, la salope.
Sophia (me donne une fesse) normal avec un p’tit cul comme le sien, et ce n’est pas Antoine qui dira le contraire.
Antoine (sourire) : vous allez lui laisser son cul.
Moi : elle va peut-être se caresser en pensant à moi.
Hugo : hmmm
Alan : si tu continues Sophia, va te frapper.
Sophia : ouais.
On rigole tous, après cet entretien, on décide de se quitter.
J'aime la bande, mais j’ai envie d’être un peu tranquille avec mon mec.
Ils partent tous.
À suivre.
Annotations
Versions