Il faut toujours y croire 3/8.
Moi : non, mais c’est la famille.
Agathe : je préfère demander, la dernière fois qu’une grand-mère sait casser la gueule, j’ai sorti une insulte... Disons que ça a mal fini.
On rigole.
Lucie : donc j’ai demandé à Maëlys, si elle était d’accord pour venir.
Agathe : oui, aucun souci, cela fait toujours plaisir d’être avec deux belles femmes, comme vous les filles.
Un frisson me traverse le corps.
Lucie : nous allons aller où ?
Agathe : je vous propose qu’on visite un de nos nouveaux immeubles dans le vieux Valenciennes, on pourra mettre six jeunes étudiants pour la prochaine rentre universitaire.
Le serveur arrive, il pose sa bière, elle la prend et la bois en une fois.
Nous la regardons, nous sommes bouche bée, je n’avais jamais vu faire ça, je ne connais aucun mec qui serait capable de faire ça.
Moi : sacre descente.
Agathe : la bière est très bonne ici, si vous avez fini, nous pouvons y aller, ce n’est pas trop loin, je vous propose qu’on y aille à pied.
Lucie : aucun souci.
Agathe : aller, on y va.
En me levant, je remarque que ses valises ne sont plus là.
Moi : je pense qu’il y a un gros problème.
Lucie : quoi ?
Moi : Agathe, tes valises ne sont plus là.
Agathe (sourire) : elles sont dans le gros SUV devant.
Lucie : les chauffeurs de taxi, ne seront pas contents, ils peuvent appeler la police.
Agathe : ils peuvent (sourire), aller, direction l’immeuble, j’ai hâte de voir où ils en sont.
En dix minutes, nous arrivons devant un beau petit immeuble qui est en travaux, en regardant derrière nous, le SUV est là.
Agathe : bien, ils ont avancé, il y a quelqu’un ?
Chef d'équipe : oui madame, bonjour.
Agathe : bonjour, comme ça va ?
Chef d'équipe : bien madame, nous avons deux jours d'avance sur le planning.
Agathe : très bien, vous allez peut-être avoir le bonus.
Chef d'équipe : merci madame.
Agathe : on peut visiter ?
Chef d'équipe : oui bien sûr.
Agathe : elles viennent avec moi.
Chef d'équipe : bien sûr.
Et nous voilà partie pour une visite d’un immeuble qui va accueillir des étudiants dans quelques semaines, chaque locataire à une chambre avec douche ou baignoire, cuisine collective, la clim dans chaque pièce, on dirait un vrai paradis pour étudiant, après 35 minutes de visite, nous sortons.
Agathe : bien, bon boulot, les mecs pour le contrôle ?
Chef d'équipe : mardi prochain madame.
Agathe : si vous avez le moindre problème avec vous m’appeler.
Chef d'équipe : bien sûre madame.
Agathe : excellent boulot à vos collègues et vous, le bonus arrivera prochainement, bonne journée à vous.
Chef d'équipe : vous aussi mesdames (sourire).
Une fois sortie, elle entend un truc tomber dans l’entrée de l’immeuble, elle se retourne, elle voit le chef d'équipe qui ramasse des papiers.
Agathe : hmmm, vous avez déjà vu un aussi beau cul que ça (Lucie et moi, on se regarde puis on regarde son cul.) alors maintenant imagine sans aucun vêtement hmmmm.
Lucie : c’est ton mec ?
Agathe : mon mec, non, mais disons que j’ai eu plusieurs fois sa bite en bouche et dans ma chatte.
Je frissonne.
Lucie : pas mal le mec
Agathe : tu le veux pour une nuit ?
Lucie (elle rigole.) : je suis désolé, mais on dirait qu’entre nous deux, c’est toi qui as envie le plus.
Agathe : pas faux… En plus, il est pas mal monté.
Je frissonne de plus en plus, je suis en train d’imaginer le pénis de ce mec, alors que je ne le connais pas… Je suis complètement folle.
Lucie : c’est-à-dire bien monté (pourquoi tu as posé cette question, je suis déjà excité.)
Agathe : un bon 19 cm, elle est large.
Lucie : ah bon.
Au même moment, mon phone sonne.
Moi : je reviens (Elles ne m’écoutent même pas, cinq minutes après, je reviens vers eux.) je vais devoir y aller, un problème d’Internet a la maison.
Agathe : il m’a fait jouir 3 fois de suite, oui Maëlys, j’espère que tu as apprécié la visite.
Moi : oui merci… Lucie, on y va ?
Lucie : quoi ? Est-ce que tu peux rentrer seul, je voudrais encore voir un truc ?
Moi : tu as une capote ?
Lucie : oui…
Moi : excellente, baise a toi, tu m’appelles, a la prochaine Agathe.
Agathe : euh oui, bonne soirée.
Je rejoins mon scooter que j’ai laisser non loin de la gare et je rentre chez moi, 25 minutes après je suis enfin chez moi.
Direction, la douche pour me calmer car parler de cet homme, il faut le reconnaître que je suis excité, je balance mes vêtements au sol.
Je n’en peux plus, je suis en chaleur, on dirait une petite chienne qui attend son mâle, le contacte du tissu sur ma peau me fait frissonner, lorsque je retire ma culotte elle est toute mouillée.
Jamais elle n’a été dans cet état, je ne sais pas ce qui se passe, j’ai l’impression d’être en feu, j’entre sous la douche, je fais couler l’eau, lorsqu’elle touche ma peau.
Moi : hmmm.
Je me glisse sous l’eau, un peu de shampooing, je me frotte le corps délicatement, je me masse la poitrine, instinctivement une de mes mains descend vers mon minou, lorsque mon doigt entre en contact avec mon clito.
Moi : HMMMMM
Je tombe sur la paroi de la douche, j’ai le souffle coupé, je repense aux mains d’Antoine, à sa bouche, sa langue, sa bite, j’ai envie de la prendre en bouche.
Je commence à me caresser en pensant à sa belle verge.
Dring dringgggg.
Moi : PUTAIN DE MERDE (je coupe l’eau.) il y a toujours quelqu’un pour venir me faire chier sérieux.
Je prends le premier jogging et t-shirt venue, pour aller voir qui ose venir me faire chier à cette heure-ci, surtout que j’étais occupée...
J'ouvre la porte d’un coup.
Moi : à toi...
À suivre.
Annotations
Versions