La vie est surprenante 1/2 :

Comme pratiquement chaque jour depuis des années mon réveil sonne pour m’indiquer que je dois me remuer le cul, je me réveille avec le sourire.

Comment décrire la nuit que je viens de passer, je dirais érotique au plus haut des points, j’ai commencé par faire l’amour à Lucie, un plaisir sans nom et étrangement pendant les échanges de plaisir, Antoine nous a rejoins.

Il nous a fait l’amour une bonne partie de la nuit.

Rien que dit repenser, j’ai ma chatte qui a faim.

Mais pas le temps hélas de me faire un petit plaisir solitaire, il faut que je me bouge, je dois aller au lycée pour préparer mon oral, comme le prof-là dit : " c’est juste pour dire que tu t'es entraînée, tu n’en as pas besoin."

Lorsque j’arrive dans la cuisine, la maison est silencieuse, les parents ne sont pas là, maman est partie à Londres pour la journée et papa est à Paris pour voir ses patrons.

Alors j’ai toute la maison pour moi, mais la seule fois où je peux être tranquille, je dois me dépêcher parce que je dois être là à 8 h pour “réviser” et en principe aujourd’hui, on devrait avoir le courrier qui annonce le jour et l’heure.

J’ai tellement hâte que c'est fini, pour enfin être tranquille, en roulant vers le lycée, je pense que le samedi après le grand oral, je passe le permis avec l’inspecteur.

Le permis n’est qu’une formalité.

Les parents m’ont promis une belle voiture, car d’après eux, je le mérite, après tout ce que j’ai passé.

Lorsque j’arrive Hugo, Amir et Lucie sont là, je leur fais la bise comme à chaque fois.

Moi : alors vous êtes chaud ?

Amir : franchement, aussi chaud que de me faire enculer.

Alan (arrive) : pourtant, tu ne sais pas ce que tu rates.

Amir : certaines fois l’ignorance est très bien.

On rigole tous.

Lucie : j’espère qu’elle ne va pas me faire chier parce que je n’articule pas assez.
Amir : laisse couler, elle est chiante, il y a un truc que je ne sais pas, pendant l’oral, aucun commentaire Alan.

Alan (il rigole) : je suis bon à l’oral.

On rigole tous, Lucie me regarde en se mordant la lèvre.

Amir : ce sont des profs extérieurs qui vont nous surveiller ?
Sophia : bonjour à tous, oui d’un autre lycée.

Lou : BONJOURRRR, et j’espère que j’aurai un mec, je suis en chaleur (Hugo la regarde.) mais je peux encore attendre.
Hugo : je n'ai rien dit.

Moi : oui, continue comme ça.

On rigole tous.

Hugo (il entre, il se retourne, il nous fait des doigts, avec le sourire.) : aller tous chier bande de salope.
Moi : aller bon courage à tous.

Nous allons dans des groupes.
Comme l’année prochaine, je voudrais être en informatique, ils m’ont mis avec les matheux.

Les jours suivants, nous n’avons fait que ce préparé, et le dernier jour, d’après les profs, nous sommes prêts, ils nous souhaitent toute bonne chance.

Le week-end avant le jour J, car à notre grande surprise, nous passons tous en même temps, la premiere journée, après il faudra attendre le résultat du bac, donc nous sommes tous rester à nos maison, certains ont révisé leurs dernières lacunes, d’autres comme moi, repos complet.
Je n’ai même pas été sur mon pc, je n’ai absolument rien fais.

Après l’oral de passée, on pourra enfin dire que le lycée est derrière nous, faudra simple à le 4 juillet, il me semble pour être tranquille.

J’ouvre les yeux.
Je suis excité comme une puce, je pense à une chose.

Moi : vivement que je sorte, J’EN AI MARRE DU LYCÉE !!!

Un passage vite fait à la douche, un petit-déjeuner léger, mes parents sont là pour moi, papa me propose de me conduire au lycée, je décline sa proposition.
Avant mon départ.

Maman : Maëlys, tu sais qu’on t’aime, merde pour aujourd’hui, tu appelles quand tu sors ?
Papa : on t’aime princesse.

Moi : je vous aime aussi et ou j’appel.
Papa : ce soir resto.

Je sors de la maison avec le sourire, je regarde l’heure, il faut que je passe la seconde, je ne dois surtout pas être en retard, ce n’est pas le jour.
En arrivant devant le lycée, toute la bande est là.

Moi : bien le bonjour.
La bande : bonjour.

Lou : on dirait que tes en pleine forme.
Moi : je suis bouillante.

Sophia : je crois qu’il n'y a que toi qui n’es pas stressé.
Le pion : aller jeune gens.

Nous passons la porte.

Alan : il faut attendre la fin de l’année pour qu’on soit un peu respecté.
Lucie : il ne faut jamais désespérer.

Moi : pas faux, aller merde la bande.
La bande : MERDE A TOUS !!!

Nous arrivons vers la grande salle, devant les portes, il avait deux pions qui nous contrôlent, nous rentrons toutes les tables sont l’une à côté de l’autre.

Notre prof de français : bonjour, à tous, j’espère que vous êtes en forme, alors, nous allons fonctionner de la manière suivante, par ordre alphabétique, tous les élèves jusqu’à H seront les premiers, pour les autres, ils passeront après, donc la seconde moitié, merci de bien vouloir sortir.

Les examinateurs entrent dans la salle, une femme et un homme pour chaque table, je ne peux pas résister de ma retourner sur Lou, qui me sourit immédiatement, on sait compris juste d’un regard.
Je suis la première de la classe à passée.

Je m’en ferme dans ma bulle, plus rien ne compte, devant eux, et comme prévu, j’explose tout, les examinateurs sont bouche bée.
Lorsque je me lève, ils discutent avec la prof de français.

La prof : oui, normal, Maëlys est au-dessus des autres.
Examinateur : elle veut être ingénieur en Cyber protection.

La prof : oui, je vous dirais que cette fille pourrait faire ce qu’elle veut de sa vie, elle la réussirait.

Examinateur : ils sont tous comme ça ?

La prof : non...
Examinateur : ah

La prof : tu aurais dû en profiter.
Examinateur ; tu là eu combien de temps ?

La prof : deux ans de plaisir, une feuille où tu sais à la lecture, tu sais qu’elle a 20.
Examinateur : oui, aller au suivant.

J'ai pris mon temps pour ranger mes affaires, j’avais envie d’entendre la conversation.
Je regarde les autres de la bande, ils attendent l’un derrière l’autre.

En sortant le couloir est rempli de personnes qui attendent leurs passages, j’allume mon phone pour appeler les parents, je ne regarde pas autour de moi, en passant à côté d’un mec, j’ai l’impression de reconnaître

Moi (en sortant du couloir) : non, pas possible… J’ai dû rêver…

À suivre.