Il faut parler 1/2.
Je regarde un livre sur la guerre, je regarde le prix.
Moi : OH LÀ
Je le repose, je vais le prendre sur Amazon.
Lorsque je me retourne pour partir payer mes achats, je rentre dans quelqu’un.
Moi : pardon, je ne vous avais pas vu… (j’ai le souffle coupé, lorsque je le vois.)
Antoine : pas de problème (lorsqu’il me reconnaît, Il me fait son plus beau sourire.)
Nous restons un moment-là dans le rayon sans bouger, sans dire le moindre mot.
Quand d’un coup, je trouve la force de parler.
Moi : contente de t’avoir vu.
Je passe à côté de lui, il sent toujours aussi bon, je marche d’un pas sûr vers les caisses.
Antoine (il gueule mon prénom.) MAËLYS (Je m’arrête et me retourne, il ne va pas bien pour gueuler comme un fou.) tu a fait tomber ton écouteur. (sourire).
Moi : ah oui, merde... Je ne m’en étais même pas rendu compte... Merci
Antoine : de rien (sourire).
Je suis impatiente de sortir du magasin les clients devant moi, paye et dégage.
Vendeur : bonjour,
Moi : bonjour, voilà ma carte.
Vendeur : merci… 14€99
Moi (je paye et je me casse.) merci au revoir (je regarde Antoine.) au revoir.
Je sors du magasin.
Antoine : peux-tu m’accorder une minute s’il te plaît, Maëlys.
Je m’arrête non loin de l’escalator, mon cerveau est en pleine effervescence.
Qu’est-ce que je fais, j’ai envie de partir, je suis sur le point de partir lorsque je sens se parfum qui arrive à mes narines, un frisson me parcourt le corps.
Moi (je me retourne.) tu as 5 minutes.
Antoine (sourire, je frissonne) : merci.
Nous avançons dans la galerie du centre commercial dans le plus grand silence, s’il pense que je vais lui faciliter des choses, il peut toujours rêver.
Antoine : je suis le pire connard que le monde à pu rencontrer (pas faux), je sais que je suis impardonnable de t’avoir fait mal, je m’en veux tellement, il n'y a pas un jour pendant mon absence ou je n’ai pas pensée à toi, ton sourire, tes yeux, ton caractère, ton jugement vers les gens, que tu m’engueule lorsque je fais de la merde, ta franchise, tout ma manquer chez toi, lorsque je tes revu au lycée, j’ai eu le cœur qui sait arrêter (on s’arrête, je le regarde dans les yeux.) j’ai repenser à chacun instant depuis que je tes rencontré, l’école maternelle ou tu as fait manger des cailloux à Julien, tu as toujours été là pour moi, tu m’a protéger depuis toute ses années, en CM1, lorsque tu as marqué le but pendant le cours de sport, je me suis dit, j’aime cette fille et depuis, je tes toujours aimer dans le plus grand secret …
Tu es tellement forte, puissante, tu n’as peur de personne, lorsque tu as un problème, tu vas chercher une solution pour renverser la situation, tu m’a toujours impressionné, je devrais même dire que tu peux faire peur surtout lorsque tu regardes comme ça, on dirait que tu te demandes, je le balance depuis la rambarde dans combien de temps (pas con son idée, mais il y a les caméras...).
Tu nous as toujours défendues, sans toi, nous ne sommes rien, des merdes, regarde, j’ai complétement merdé parce que je n’ai pas voulu t’écouter, je regrette tellement, je ne suis qu’un pauvre con, une merde, un fils de pute, un cafard, un moins que rien, un déchet... (Il s’arrête déjà... Dommage...)
Puis arriva le jour, ou mon frère, nous a quitter pour rejoindre la famille dans un monde meilleur, même si je ne crois en rien, je ne sais pas pourquoi je ne t'es pas demander ton avis, alors que tu as toujours raison, depuis l’école primaire, jamais je tes vues te tromper, on peut dire que ton caractère serait un défaut...
Je ne le pense pas, tu n’as aucun défaut, tes parfaite, personne ne t’arrive à la cheville, je sais que tu m’en veux, je le mérite... Mais je veux que tu saches qu’aucun mec ne se pliera en 1000 pour toi, je t’aime plus fort de jour en jour, chaque seconde l’amour que je porte envers toi me donne la force d’avancer.
Je pourrais traverser le monde à la nage pour toi, traverse le désert.
Tu me fais battre le cœur, comme jamais, lorsque tu poses des yeux sur moi, j’ai l’impression de devenir plus fort, plus courageux.
Je te fais souffrir, j’ai envie de prendre ta souffrance pour me la donner, car tu ne mérites pas de souffrir, tu mérites la lune, les étoiles... Tu mérites tout l’univers et bien au-delà.
Voilà Maëlys, je m’excuse encore… Je t’aime.
Moi (Il part, lorsqu’il est à 1 mètre.) : qui t'a dit que tu pouvais partir ?
Il s’arrête immédiatement, il revient vers moi.
Antoine : pardon.
Je le regarde dans les yeux, il a les larmes aux yeux.
Je pose mon sac sur le sol.
Je lève la main, je lui donne une claque aller-retour, il tombe sur le sol.
Il pleure devant moi, des filles le regarde.
Moi : vous voulez la même dans vos gueules de salope ? (Elles partent.) Dommage.
Je lui tends la main, pour l’aider à se relever, une fois qu’il est debout, je lui attrape le pouce que je commence à tordre.
Antoine : aiiie (il se mord la lèvre.).
Moi : oui, tu m’as fait souffrir, tu mériterais que je te casse le pouce, et même que je te casse la gueule, tu n’imagines pas comment j’ai envie de le faire (je relâche son pouce.) mais tu m’as ouvert ton cœur, jamais tu ne m’avais parlé comme ça… Je ne sais pas quoi te dire... J’ai besoin de temps pour réfléchir... Ne cherche pas à me contacter... Compris ?
Antoine : oui Maëlys
Moi (je me retourne pour partir.) : toi aussi, tu m'as manqué... Mais ne t’emballe pas petit...
Je le laisse seul comme une merde, je remonte sur mon scooter, je traverse la place d’armes, je fonce chez moi, j’ai besoin de réfléchir à tête reposée.
Une fois chez moi, je range mes affaires et je rejoins ma mère qui prépare un de ses délicieux gâteaux...
Après un délicieux repas, comme à chaque fois, je laisse mes parents tranquilles, j’ai à peine refermé la porte que j’entends ma mère rigoler.
Il en aura au moins une de nous deux qui perdra du plaisir ce soir, je suis contente pour elle.
Même si je voudrais, je n’aurais pas la tête au sexe, les paroles d’Antoine tournent dans ma tête, il fait partie des rares mecs qui ne se demandent pas ce qu’ils vont dire, il est 100 % naturels... C’est pour ça que je sais que ses paroles viennent directement de son cœur.
Moi (en tombant dans mon lit) : putain fait chier.
Les dernières semaines n'ont pas été faciles, beaucoup de chose à faire, la fatigue me rattrape, mes yeux sont trop lourd, je ne sais pas résister...
À suivre.
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