Les vacances commencent, pour nous 1/2.
Les vacances commencent, pour nous 1/2.
Il reste dans la cour à me regarder, je marche le plus silencieusement possible, ce n’est pas le moment que je sois découvert, lorsque j’arrive à la porte de derrière, elle est fermé, je passe mes mains en haut de la porte... Bingo, elles sont là
Même chose, j’ouvre la porte, je pense à refermer à clé, je retire mes chaussures, je passe dans la cuisine, je tourne la tête, la famille regarde la télé, j’en profite pour monter à l’étage
Mon cœur bas de plus en plus fort
J’arrive devant la porte de sa chambre… Je toc…
Antoine : tu vois tati, ce n’est pas compliqué, tu toc à la porte et je t’ouvre.
Je le regarde, je ne lui dis rien, il est complétement surpris de me voir chez lui, cela fait des années que je n’ai plus fait ça... Je m’approche de lui, je le regarde, il porte son t-shirt et son caleçon long pour dormir.
Je saute à son coup, nos lèvres se retrouvent.
Pendant quelques secondes, il ne sait pas comme réagir, d’un coup, il passe ses bras autour de ma taille, il me fait entrer dans sa chambre, lorsque ma langue caresse ses lèvres, il ne tarde pas à me répondre, il ouvre, j’en profite comme une renarde qui entre dans un poulailler.
Nos langues sont comme possédées, nos salives s’échangent, mes mains ne restent pas inactif, je lui caresse le dos, j’ose même lui attraper son p’tit cul, il est juste magnifique, une beauté, j’ose même lui mettre, il fesse.
Je pense que j’ai le diable en moi, je retire ma petite veste, il me donne à son tour une fesse, il est dans le même état que moi, mon toinou est en feu, son sexe est dur comme une barre en béton armée, je le sens bien, il faut dire qu’il ne porte qu’un simple caleçon.
Je soulève un peu son t-shirt, pour pouvoir passer la main, je plonge la main dans son caleçon.
Antoine : hmmmm mon cœur.
Je lui mordille l’oreille, j’ai remarqué qu’il adore ça.
Alors j’en profite, je le masturbe en douceur, il gémit de plus en plus.
Je me mets à genoux devant lui, je le regarde dans les yeux.
Antoine : tu n’es pas…
Je viens de faire descendre son caleçon qui tombe sur le sol, sa bite est bien au garde-à-vous, je le branle, mes yeux ne le quittent pas du regard, il se mort la lèvre.
Je m’approche de cette belle verge.
Je lui lèche les couilles, je remonte jusqu’à son gland, que je prends en bouche, il n’ose plus me regarder, peut-être que le plafond est plus intéressant, je lui masse délicatement les bourses.
Je me relève, je lui retire son t-shirt, son regard à changer, il a envie de moi, ici et maintenant.
Moi : baise-moi toinou.
Il me soulève du sol pour me balancer du lit, il me saute dessus, nos lèvres se lisent de nouveau, il me caresse le visage.
Antoine : tu es tellement belle, la plus belle femme du monde, je t’aime tellement.
Il m’embrasse le cou, il passe la main sous ma chemise, le contacte de sa main sur ma peau me fait frissonner, je gémis déjà alors qu’il vient simplement de me caresser la peau... Je suis une catastrophe ambulante.
Il me retire la chemise qui s’envole vers le sol.
Sa vue reste scotcher sur ma poitrine, faut dire que je n’ai rien en dessous, la nuit je dors tout nue, et cela, depuis l'âge de 13 ans.
Il me caresse la poitrine, il me suce les seins l’un après l’autre, j’en profite pour lui attrapes sa bite et le branle.
Après un bon moment de gémissement, il descend, j’ai tellement envie de sentir sa bouche sur ma chatte, je n’en mouille rien que dit pensée.
Antoine (il pose sa main sur la mienne.) : mon cœur, je vais jouir si tu…
Je lui fais un sourire et retire ma main, en partant, j’ai une envie subite de lui donne une fesse, il gémit, je frissonne, je savais que les hommes aiment ça.
Je ne sais pas combien de fois, j’ai entendu ma mère en donner à mon père, en lui disant “alors vilain garçon, tu as encore donné un pv, tien.”
Mon jean rejoint ma chemise à terre.
Il vient m’embrasser, sa main droite me caresse la poitrine, il me masse, il me pince délicatement, elle ne s’arrête pas là, elle descend de plus en plus, sa bouche m’embrasse le cou, nos deux corps frissonnent, nous sommes sur la même longueur d’onde.
Il me caresse la vulve, il porte ses doigts à sa bouche, ils sont mouillés, il lèche ses doigts, il frissonne, je suppose qu’il doit aimer, ses doigts retournent à ma chatte, un doigt entre dans ma chatte, mon corps se contracte.
Moi : AAAAAAAAAAhhhhh.
Il me lèche l’oreille, en principe, je trouverais, ça dégelasse, mais là non, j’aime assez.
Antoine (à mon oreille) : je suis à toi Maëlys, je ferai tout ce que tu me demandes, je suis à tes ordres (mon corps tremble de plus en plus, il entre encore un autre doigt) je t’aime mon cœur, ordonne, j’obéis sans discuter.
Moi : bouffe-moi la chatte.
Antoine : à tes ordres.
Je le regarde, il est tellement beau, son sexe n’a rien perdu, il bande à fond, il m’écarte les jambes, il m’embrasse la cuisse puis plonge sur mon clito.
Moi : AAAAAAAAHHHHHH ENFIN !!!!
Il me lèche, on dirait un chien, il essai d’avaler ma cyprine, il a un peu de mal car il faut reconnaître qu’il en a beaucoup, il ne se décourage pas, je pose mes mains sur sa tête, il augment les coups de langue, il plonge sa langue entre mes lèvres, il aspire, je n’arrive plus a respire.
Je ne contrôle plus mon corps, j’ai l’impression d’avoir la sensation de le quitter, on dirait que je deviens spectatrice de ce qui se passe dans mon lit, je n’ai pas la force de parler, je ne peux plus bouger.
Il revient m’embrasser les seins, il entre trois doigts dans ma chatte, mon corps se contracte au maximum, il me donne un coup de langue sur mon clito, mes yeux sont révulsés, mon corps est de plus en plus chaud.
MOI : JE T’AIMMMMMEEE AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH.
Il reçoit en plein visage une grande quantité de cyprine, il est tellement surpris qu’il tombe sur son grand lit.
Je suis incapable de bouger, je ne suis plus dans ce monde, je suis dans un endroit où il y a plein de nuages, devant moi ce présent un grand portail, un battement d’œil, je vois une belle femme qui arrive vers à moi, elle me fait un sourire, elle est belle...
D’un coup, je suis m’envole pour revenir dans mon corps, lorsque je commence à revenir à moi, mon corps se pose sur le lit, je commence à pouvoir revoir, Antoine tire une drôle de tête... Il me faut encore quelques secondes pour pouvoir faire sortir le moindre son de ma bouche.
Moi : qu’est-ce qui… Qu’est-ce qui sait passer ??
À suivre.
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