Les vacances commencent pour nous 2/2.

Antoine : tu as eu un putain d’orgasme, j’ai eu peur, tu ne bougeais plus, on aurait dit que tu étais possédé mon cœur.

Moi : tu m’as fait jouir comme jamais mon cœur (sourire) je vais très bien, ne t’en fais pas, je t’aime, viens mon cœur.

Nos lèvres se retrouvent en quelques secondes sa bite revient plus dur que de l’acier, je le pousse sur le lit, je prends sa belle queue en bouche, je le suce, il gémit, je le masturbe pendant que je suce ses couilles.

Moi : tu as des capotes ?
Antoine : non…

Moi : j’en ai, ne bouche pas, je n'en ai pas fini avec toi.
Antoine (sourire) : oui Maëlys

Je saute hors du lit, pour prendre ma poche, je sors deux capotes, que je balance sur le lit, j’en reprends une que j’ouvre, je regarde comment il faut la mettre... C’est vraiment chiant les IST... Peut-être un jour, on n’utilisera plus de protection… (Il faut penser à ce protéger !!!)

Je comprends assez rapidement comment ça s’installe, au moment où je pose sur son gland.

Antoine : AAAAH (Je retire instantanément la capote.) ouf
Moi (sourire) : oui mon Toinou

Il respire pour se détendre.

Antoine : voilà, ça va mieux, je vais la mettre, sinon j’ai peur d’aller au poing de non-retour.
Moi (je le regarde la mettre.) : ça ne m’aurait pas dérangé que tu éjacules. (il s’arrête d’un coup et me fait des grand yeux).

Je ne peux pas résister d’avoir le sourire.
Après un instant, la capote est installée, je le branle, avant de monter sur lui, j’ai envie de prendre le contrôle, ma main est sur sa bite, je passe son gland contre mon clito, mon corps frissonne.

Il gémit, il se mord les lèvres, je peux voir dans son regard qu’il veut que je descende, Est-ce que je suis assez salope pour le faire languire... Je glisse le long de sa verge, il gémit, je le masturbe.
Je me relève d’un coup.

Je place son gland entre mes lèvres, elle glisse dans mon vagin sans aucune difficulté, la sensation est tellement forte que je n’arrive plus à respirer.

Moi : AAAAAAAAAHHHH OUIIIII.
Antoine : MON DIEUUUUUU.

Lorsque je sens ses couilles, je ne bouge plus, je me détends le plus possible, il est enfin en moi, je bouge doucement, je sais que cela ne dure pas longtemps.

Alors je prends mon temps, je place ses mains sur ma poitrine.
Il passe les mains dans mon dos, il me tire vers lui, il attrape mon sein en bouche qu’il mordille.

Moi : AAAHHHHHHHH (À cet instant, le démon qui est en moi vient d’ouvrir la porte.) BAISE MOI !!!

Je bouge de plus en plus sur sa bite, quand d’un coup mon vagin se contracte contre sa verge, je ne contrôle plus rien, et je m’en fou, le plus important, c’est que je suis sur mon mec, le reste je m’en fou.

Il me colle contre lui.

Antoine (à mon oreille) je t’aime tellement.
Moi : donne moi une fesse (claque) OUII ENCORE (claque, claque) SALAUD OH PUTAIN OUI.

Antoine : tu vas me faire jouir.
Moi : OUI DONNE MOI TON SPERME !!!!

À ce moment-là, je sens la queue d’Antoine qui grossit encore, j’ai de plus en plus chaud.

Antoine : AAAAAAAAAAHHHHHH.

Son corps se contracte, je sens son sperme qui sort de sa verge pour remplir la capote, au même instant.

Moi : AAAAAAAAH OUIIIIIIIII (ma tête tombe en arrière, je tombe sur lui).

Nous ne bougeons plus, nous n’en sommes pas capables, nos deux corps sont en transe, quand d’un coup, je me redresse sur sa bite.

Moi : AAAAHHHHH

Je tombe en arrière, je balance une nouvelle fois une grande quantité de cyprine sur l’homme que j’aime.

Je suis de retour sur un petit nuage, lorsque je tourne la tête, je vois Antoine qui regarde en direction du grand portail, la femme nous regarde avec le sourire, elle nous parle, mais on ne comprend pas, elle porte sa main à ses lèvres pour nous faire un bisou.

Nous sommes comme projeter en arrière.
Lorsque je reviens à moi, Antoine me regarde avec le sourire.

Antoine : tu es exceptionnelle mon amour.
Moi (il m’aide à me redresser.) : je t’aime Antoine, j’avais trop envie de te voir.

Antoine : merci mon cœur.

Je m’installe à côté de lui, je ferme les yeux, ma tête est sur son épaule.
On s’endort ensemble, et amoureux.

À suivre.