Du rêve à la réalité 1/3 :

3 minutes de lecture

On dirait que je suis sur un nuage, je suis bien, légère, plus rien ne compte, quand d’un coup, j’ai comme une lumière dans les yeux, elle est de plus en plus forte.

Je me réveille d’un coup, je suis toute nue sur mon Toinou.

Moi : aie ma tête…

Antoine : hhmm, oh putain... ou suis-je ?

Moi : qu’est-ce que je fais ici ? (Il me faut quelques minutes pour me remettre la tête dans le bon sens.) aaah oui… la fête.

Antoine : la fête ? Putain, j’ai mal à la tête...

Moi : idem, on dirait que j’ai des éléphants qui marchent dans ma tête.

J'avance vers mon armoire à médicament, pour prendre un truc.

Antoine : oui, je me souviens de la fête… mais pourquoi nous sommes nus ? Et surtout dans la grange ?

Moi : je n’en sais rien mon cœur, tu veux prendre un truc ?

Antoine : oui, s’il te plaît mon cœur… mais qu’est-ce qui sait passer… …

Moi : excellente question (je regarde partout.) et la bande, elle est où ?

Antoine : oh oui… on a picolé autant que ça ?

Moi : d’après les cadavres, oui, je pense qu’on a bien dû descendre.

Antoine : on as été loin, je crois.

Moi : quelle est ton dernier souvenir ?

Antoine : oula, euuuh… (quelques minutes après) une danse…

Moi : oui, tu as raison (quelques minutes après) Lucie.

Antoine : oui, tu as raison.

Moi : mais après ?

Antoine (il se lève pour prendre son phone dans sa poche.) : on a dû faire des photos.

Moi (sourire) : oui, tu as raison, on va en savoir plus.

Antoine : putain, je n'ai rien.

Moi (je regarde mon phone.) : Idem.

Antoine (appelle, puis raccroche.) Hugo ne répond pas.

Moi : il dort (sourire) attend, j’appelle Lucie (appelle puis raccroche.) elle ne répond pas.

Antoine : on a fait une connerie ?

Moi : ouais, trop picoler.

On rigole.

Antoine : Amir ne répond pas, non plus.

Moi : il me faut un café et une bonne douche, je reviens.

Antoine (il regarde son sexe.) : Maëlys, j’ai éjaculé.

Moi : ah bon… on verra après je reviens (huit minutes de douche) PUTAIN DE BORDEL DE MERDE.

Antoine (arrives en courant.) : ça va ?

Moi (mes mains sur mon visage) putain de merde… mais qu’est-ce qu’on a fait… ce n’est pas possible.

Antoine : tu commences à me faire peur… qu’est-ce qu’on a fait ?

Moi : une connerie sans nom.

Antoine : putain, je ne me souviens pas…

Moi : j’ai juste quelques images en tête. (je me lève pour retourner sur le lieu de la fête, je retourne tout.)

Antoine : qu’est-ce que tu cherches ?

Moi : aah voilà (je prends la capote que je lui montre.)

Antoine : ah… je ne comprends rien… putain plus jamais je ne vais boire un verre…

Moi : voilà, je me souviens... on a bien fait une connerie.

Antoine : on a baise avec Lucie…

Moi (mains sur la tête) : et devant la bande...

Antoine : c’est ma capote… je m’en souviens… j’ai… MERDEEE.

Moi : tu as fait l’amour à Lucie pendant qu’elle me lèche le minou… oh putain.

Antoine : quoi ?

Moi : Amir et Sophia on coucher ensemble

Antoine : ah ouais… on a vraiment trop picolé… … attend … Lou, Hugo et Alan.

Moi : oui… Mais ils sont où ?

Antoine : je présume qu’ils sont rentrés chez eux.

Moi : toi, tu serais capable de rentrée chez toi ?

Antoine : ooh là non, je ne marche pas droit.

Moi : ils doivent être dans le coin (Je passe ma robe et je sors faire le tour de mon paradis, lorsque je vois mon père avec le pain).

Papa : oh, là, on dirait que la nuit à été longue. (sourire)

Moi : oh oui, je n’ai plus de souvenir.

Papa : a ce point là (il rigole.)

Moi : est-ce que tu saurais quand la bande est partie ?

Papa : oui, vers 6 h, maman a vu, ils tiraient la gueule, trop d’alcool, Antoine est encore là ?

Moi : oui.

Papa : venez manger, cela vous fera du bien.

Moi : d’accord papa, on arrive.

Papa : Stéph, la fête a été dures…

Moi (je rentre dans la grange.) : maman à vue la bande partir, ils tiraient la gueule.

Antoine : cela peut se comprendre… on as baisé tous ensemble… mais qu’est-ce qui nous a pris… ce n’est pas la première fois que je picole.

Moi : je ne comprends pas… on va aller manger avec les parents et après, on va essayer de comprendre.

Antoine : où est mon short ? Putain... Oui, on va faire ça…

A suivre.

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