Nos vacances… Pas si simple… 4/11 :
Nous avons conduit chacun notre tour pendant la nuit.
Hugo : la bande, nous sommes arrivées.
Amir (ce réveille) : ah, enfin, j’ai mal au cul (Tout le monde regarde Amir et Alan.) bande de grosses salopes.
On rigole tous.
Hugo : je vais prend mes clés et ouvrir.
Moi : sacre portail.
Hugo : je suis venu une seule fois ici… je me demande si la police passe encore…
Moi : la police ?
Hugo : oui… Mais je vous expliquerez après… Amir, tu continues droit devant jusqu’à la maison.
Il referme le portail, nous avançons nous arrivons devant une énorme maison toute blanche sur deux étages, elle ressemble à la maison du président américain.
Amir : la maison blanche.
Hugo : oui, mes grands-parents, on voulut faire un pied de nez aux Américains.
Alan : pourquoi ?
Hugo : vous connaissez tous mes parents, ils sont cools, rien à dire… Mais mes grands-parents, eux, on ne peut pas dire que la droiture fessait partie d’eux… Cette maison immense à était construit avec l’argent de la drogue... des morts… (Nous sommes tous bouche bée en l’écoutant.) ils devaient en principe aller en prison en Amérique, mais comme ils n’ont jamais quitté la France, ils n’ont pas pu faire leurs peines… Alors ils ont demandé à la France d’être sur leurs dos… et de retrouver les deux cents millions de dollars… L’argent de la vente de la drogue en Amérique…
Amir : putain.
Lou : il était de la mafia ?
Hugo : il était intermédiaire dans le trafic.
Moi : je comprends mieux les photos sur leur cheminer.
Hugo : oui, c’étaient leurs passées… La police pendant des années, on chercher l'argent… Ils n'ont jamais rien trouvé, l’ensemble de la propriété a été retourné en profondeur, les murs, on était sondé… ils ne sont jamais trouvés ou pouvaient être l’argent… Et même s’il a vraiment existé…
Sophia : tes vieux ont dit ou étaient rangés le trésor de guerre ?
Hugo : papi est mort en premier, la police était là pour qu’il avoue, et même sur son lit de mort, il a encore insulté la police… Mamie est morte dans son sommeil… Nous avons eu la police qui est passée à la maison pour voir si nous avions une idée… Sauf que non.
Moi : l’état aurait pu prendre la maison.
Hugo : oui, mais jusqu’a la fin, la vieille, ses battus… Maintenant, qu’ils sont morts, l’affaire est fermée.
Lucie : et l’argent ?
Hugo : à mon avis l’argent est là, juste devant nous
Moi : la maison ?
Hugo : oui, et maintenant elle est aux parents, sauf qu’il fait chaud, mes parents ne supportent pas la chaleur.
Antoine : donc ils veulent que tu viennes ici ?
Hugo : nettoyer le terrain, car il y a un risque énorme d’incendies, les amandes sont tombées les années dernières, mais maintenant qu’elle est morte, mes parents ne s’imagine pas payer… alors je suis là pour nettoyer…
Antoine ; et nous sommes là pour t’aider ?
Hugo : oui s’il vous plait et une fois qu’on aura fini, on aura la maison pour nous et le terrain, il y a un petit lac et deux piscines, une extérieur et l’autre en intérieur, un bowling 4 pistes, 6 ascenseurs, une salle de projection, un sauna, et une plage privée avec un truc pour bateau.
On le regarde bouche bée.
Sophia : j’arrête la fac, et je vais vivre ici toute l’année.
Nous rigolons bien, Hugo nous ouvre la maison.
Je repartis les premières missions, ouvrir la maison, aller faire des courses, Amir est amoureux, l’un des garages, il a découvert une Cobra, pas facile pour faire des courses…
Il nous a fallu 4 jours non-stop pour remettre la maison en états levés avant le jour et coucher bien après la tombée de la nuit.
Sophia (donne le dernier coup de balai.) : PUTAIN FINIIIIII.
Nous tombons sur le sol, fatigué mais très heureux de notre travail.
Hugo : on se repose et ce soir, je vous paye à tous le resto pour vous remercier de votre aide, sans vous, je ne sais pas comment j’aurai pu faire... jamais je m’en serais sortie.
La bande : un pour tous, tous pour un.
Pendant les 4 jours, nous avons tous dormi dans le grand salon, aujourd’hui que tout est enfin fini, nous allons prendre l’une des 9 chambres, 9 salles de bain, une cuisine immense.
Nous avons pris possession de la maison, et comme promis Hugo nous a emmener dans un restaurant, lorsque nous sommes revenues, nous avions bien mangé bien bu aussi, peut-être un peu trop, nous avons été dormir immédiatement.
Le lendemain, je suis réveillée par le soleil.
Et j’ai ma tête sur l’épaule de mon mec, hier soir, nous sommes rentrées dans le lit, nous avons dormi aussitôt, pire que des vieux...
Je le regarde dormir, je ne bouge pas, je ne veux pas le réveiller, je prends mon phone pour regarder l’heure 10 h 30… Ah oui... Pas mal.
En regardant un peu partout dans la pièce, je la trouve vraiment belle, les meubles doivent valoir un pognon de dingue comme dirait l’autre... mes yeux sont attirés sur une belle ferme qui est dessinée sur le drap qui nous recouvre
Un frisson me parcourt la tête de haut en bas.
Mon minou devient humide en quelques secondes, je passe la tête sous le drap en gardant un œil sur mon cœur qui ne se réveille pas, je me déplace le plus silencieusement possible.
Une fois mon visage au-dessus de cette belle forme.
Moi (chuchotement) : bonjour, ma belle, ne t’en fait pas maman va s’occuper de toi.
Je lui fais un bisou sur le tissu de son boxer, j’essaie de la faire sortir de sa prison de tissu… Plus facile à dire cas faire... Après plus d’un essai, j’arrive à la sortir, le plus dur est de ne pas le réveiller… J’ai tellement envie de le sucer… Le sentir dans ma bouche… Avant de la sentir dans ma chatte… Je n’en frissonne rien que d’y penser.
Je le branle un peu.
Puis je la porte directement à ma bouche, je lui lèche le gland, la verge… Quand d’un coup.
Antoine (il se redresse d’un coup.) : OH PUTAIIIN (il lève le drap et me fait un grand sourire.) bonjour mon cœur.
Moi : hmmmm.
Antoine : on ne parle pas la bouche pleine.
Moi (je sors sa queue de ma bouche.) : tu veux que j’arrête ? (sourire).
Antoine (sourire) : je n’ai rien dit.
Moi (en replaçant sa queue en bouche) : hmmmmm
Antoine : MON DIEUUUU.
Moi : tu aimes que je te suce ?
Antoine : oh oui mon cœur.
Moi : elle est grosse (il rougit, je m’allonge sur le lit en écartant les jambes.) mets la moi ta grosse bite... Baisse-moi… …
Antoine : oui Maëlys
Il se lève pour prendre la boite de capote qui est dans sa valise, en deux secondes, elle est sur sa bite.
Moi : pas besoin de me bouffer, je suis bouillante… Donne-MOI TA BIITTTTEEEEE …. AAAAAAAAHHHHH OUIIIIIII.
Il m’embrasse le coup, il me mordille l’oreille.
Sa bite est chaude, nous gémissons ensemble.
Antoine : T'es tellement serré.
Moi : tu aimes ?
Antoine : je kiff.
Moi : dit le que tu aimes ma chatte.
Antoine : j’aime ta chatte (je lui donne une fessée.) AAAAAHHH.
Il me suce et mordille les seins.
J'ai de plus en plus chaud, mon vagin serre sa verge.
Moi : BEBEEEEEE.
Antoine : JE VAIS JOUIIIIIIIRRR AAAAAAAAAAAHHHH.
Moi PUTAIIIIIN DE MERDEEEEEEE.
Il tombe sur moi, nos corps tremblent.
Nous restons enlacer pendant un petit moment.
Lorsque je reviens a moi, il est allongé à côté de moi, il me regarde avec plein d’amour.
Quand d’un coup, on entend.
À suivre.
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