La bande : ENCORE DU SEXE !!!!

Amir : BAISE LAAA.

On comprend vite… La fenêtre est ouverte, trop chaud hier soir.

Je me lève et passe un t-shirt et me présente a la fenêtre.

Moi : bonjour (sourire).

La bande : ça va ? (Sourire).

Moi : oui et vous ?

Lou : on a été réveillé par des gémissements et de crie sauvage, on aurait dit une bête sauvage.

Antoine (il arrive à la fenêtre.) : ah bon, on n'a rien entendu nous.

On rigole tous.

Sophia : on ne voit rien, mais je présume que tu es à poil.

Antoine : hmm peut-être que oui, peut-être que non…

Nous rigolons une nouvelle fois.

Une fois que nous avons fini, la petite discussion de fenêtre, nous sommes descendues, habiller, pour le petit-déjeuner.

La bande : merci, Alan pour le petit-déjeuner.

Alan : de rien, il fallait au moins ça pour nos deux gros baiseurs.

Moi : oui, on a bien repris des forces. (je me mort la lèvre).

On rigole.

Antoine : vous voulez faire quoi ?

Lou : Hugo, tu nous fais découvrir la plage ?

Hugo : ok, on range et on descend tranquillement.

Amir : barbecue de midi ?

Hugo : il faudra faire attention, risque incendie.

Amir : oui, je m’en occupe, qui voudra venir avec pour aller chercher de la viande.

Lou et Sophia : oui.

Amir : excellent.

Hugo : je préparais le barbecue alors.

Moi : on a le matériel pour faire le barbecue ?

Hugo : oui dans un des garages...

Moi : je peux regarder après ?

Hugo : Maëlys, et les autres, vous êtes ici chez vous, donc oui, tu peux regarder, ne te gêne absolument pas (sourire).

Moi : merci mon grand… Ben maintenant changement pour direction la plage.

J'arrive dans la chambre, Antoine est sous la douche, j’ouvre ma valise quand d’un coup, j’ai envie de voir un truc… je vais doucement à la douche... j’ouvre la porte.

Moi : belle vue (sourire).

Antoine (a eu peur) : oh putain.

Moi : t'es sexy, ça donnerait bien envie.

Antoine (il attrape ma main et me tire sous l’eau.) voilà.

Moi (je met mes mains autour de son cou.) tu es un vrai gamin, mais je t’aime quand même.

Antoine : alors j’ai de la chance.

Il me plaque contre le mur de la douche, il m’embrasse le cou et son sexe prend de la vigueur.

Moi : hmmm mon cœur, ils vont nous attendre pour descendre a la plage (il prend ma main pour la poser sur sa bite.)

Antoine : tu ne préfères pas rester ? (sourire de coquin)

Moi (je lui donne une fesse.) : je m’occuperai de toi ce soir, sois en forme, je vais te vider.

Antoine (il frissonne.) : j’ai hâte.

Je sors de la douche, il ne perd rien pour attendre, je ne peux pas m’empêcher de la mater sous l’eau.

Moi : t'es vraiment pas mal.

Antoine : tu sais que je ne suis pas simplement une bite.

Moi (clin d’œil) : oui, je sais, je t’aime.

Antoine : je t’aime mon cœur.

Moi : aller bouge toi... Ton petit cul, on va êtes en retard…

Lorsqu'il sort de la douche, je suis toute nue dans la chambre, il arrive est-ce colle contre moi.

Antoine : oups, je ne t’avais pas vu.

Moi : ah, ça peut arriver, mais ta queue, elle m'a vue, d’après ce que je sens… je ne sais pas quoi mettre, une ou deux pièces ? Tu en penses quoi ?

Antoine : tu seras sexy aussi bien avec l’un ou l’autre.

Moi : merci, mais ça ne répond pas (sourire).

Antoine : pourquoi en mettre un ? Ils t'ont déjà tous vue nue…

Moi : tu veux qu’ils tirent encore la gueule ?

Antoine : oui pas faux… Deux-pièces.

Moi : ok, deux pièces.

Il passe son boxer, il s’assoit et me regarde, je prends mon temps pour passer les bouts de tissu, je sens ses yeux qui me caressent le corps.

Antoine : mon dieu, tes tellement belle.

Moi : merci mon cœur (je regarde son boxer.) je crois que tu auras un peu de mal à te lever (je l’embrasse et lui touche son sexe puis je quitte la chambre.)

Antoine : ah ben oui.

Moi : JE T’AIMEEE.

Je rejoins la bande qui attend en bas, les filles en deux-pièces, Lucie est très attirante et les hommes sont en boxer très moulant, je me mort la lèvre.

Hugo : Maëlys, ton mec, n’est pas là ?

Moi (sourire) : il devrait bientôt arriver.

Lucie : le pauvre a encore dû prendre cher.

Antoine (il arrive.) : vous ne pouvez même pas imaginer ce que sait d’être avec elle.

Nous rigolons tous.

Hugo : aller, on descend

Amir : tu laisse la maison ouverte ?

Hugo : la première personne qui essaie de passer aura des soucis, mamie à fait planter il y a plus de 30 ans des arbres qui ont des piques, une personne qui se prend ça dans le bras, ne va pas bouger… alors la maison est en sécurité… aller on y va…

Lou : nous en avons pour combien de temps ?

Hugo : 5 min, elle est juste en bas du chemin…

Nous touchons le sable en cinq minutes.

Moi : ah oui.

Hugo : mamie était à poil ici… c’est un très bon repoussoir pour empêcher de venir visiter la maison (On rigole tous.) Mais avec les beautés que nous avons sous nos yeux… Vous êtes vraiment de très belle femmes … N’est ce pas les mecs

Alan : oh oui.

Amir : je reste sans voix.

Antoine : des décesses sur terre.

Sophia : vous allez nous faire rougir.

Alan : ce n’est rien, vous serez encore plus belle.

Lou : on peut vous retourner le compliment les mecs… Vous êtes sexy… Et on voit bien que la nature vous a gâté.

Je retire le petit paréo que j’avais mis autour de la taille.

Les mecs : AAAAAH OUII.

Amir assoit sur le sable et il ne bouge plus.

Moi : si on vous dérange, vous pouvez remonter et prendre une chambre. (sourire, plus personne ne parle, ils rougissent).

L'après-midi se passa très bien, on discute, on rigole.

À suivre.