Nos vacances… Pas si simple… 9/11 :

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J’ouvre les yeux, je me sens tellement bien.

Je ne pourrais pas me l’expliquer, on dirait que j’ai comme un poids en moins, en réfléchissant un peu, je me demande si je n’aurai pas des sentiments d’amour pour les membres de la bande…

Je tourne la tête… Personne

Moi : doudou ?

Aucune réponse… Étrange…

Je saute hors du lit, je passe un shirt et une chemise, j’ouvre la porte.

Antoine (sourire) : oh mon cœur (il porte un plateau avec le petit-déjeuner.).

Moi : c’est pour moi ?

Antoine : ah, merde, la voisine est déjà parties.

Moi (sourire) des cons sérieux… Mais il ne fallait pas…

Antoine : j’ai envie de te faire plaisir mon cœur.

Moi : tu me fais déjà beaucoup plaisir.

Antoine : je suis a tes ordres Maëlys.

Moi : pourquoi tu aimes être à mes ordres ?

Antoine : j’aime être dirigé surtout par toi… Mais ne t’en fais pas, lorsqu’il faut que je te domine, je le ferais… Enfin, je vais essayer. (sourire)

Moi : quand on fait l’amour, je veux que tu me donnes des fesses.

Antoine (il me donne une fesse.) : comme ça ? (sourire).

Moi : oui (Je l’embrasse.) j’ai faim… Tu as vu du monde ?

Antoine : je suis passée par le couloir qui donne sur la chambre a Amir, j’ai entendu Lou gémir.

Moi : tu crois que c’est une bonne chose que nous sommes plus que des amies ?

Antoine : comme tu la dis, il ne faut pas se compliquer les choses.

Moi : oui, mais j’ai un peu peur pour la bande.

Antoine (il me prend dans ses bras.) : mon cœur, ne t’en fait pas, il n’arrivera rien à notre groupe.

Moi : j’espère que tu as raison…

Nous déjeunons en amoureux, il faut reconnaître que cela fait du bien, nous discutons du programme de la journée, je vais passer un peu de temps sur mon pc portable, je suis en manque et mon Toinou va aller nager… rien que de l’imaginent mouillée m’excite au plus haut des points.

Antoine : a quoi tu penses mon cœur.

Moi : je ne peux vraiment rien te cacher. (sourire).

Antoine : je te connais tellement bien.

Moi : je me pose une question… Est-ce que tu penses que la sodomie fait mal ?

Antoine (il sert les jambes.) : je ne sais pas trop mon cœur.

Moi : bébé, je sais que tu bandes, alors ne te cache pas (sourire).

Antoine : pardon, mais pourquoi tu veux savoir ça ?

Moi : devine.

Antoine : tu veux…

Moi : me faire enculer… par toi…

Il me regarde bouche bée.

Antoine : ah oui…

Moi : tu as été mon premier mec alors pourquoi ne pas être le premier à me sodomiser (je lui caresse le pénis.) on dirait qu’elle ne serait pas contre (je la sors du short pour la branler.) Bien dure comme j’aime… Tu aimerais m’enculer ?

Antoine (je le branle rapidement.) : AAAAAAAHHHH.

Moi : je n’ai pas compris mon cœur… ah oui, que je suis une petite salope, dit le.

Antoine : oui, mais j’aime ça.

Moi : tu le veux mon cul ?

Antoine : ouiiiii.

Moi : alors tu l’auras prochainement. (je lâche sa queue et je bois mon thé).

Une fois fini, je vais prendre une bonne douche puis je rejoins les autres qui se lèvent doucement.

Lou : bonjour Maëlys, (bise très proche des lèvres).

Moi : comment vas-tu ? (sourire).

Lou : je trouve la vie complètement différente... Plus, comment dire… Naturel… Je me sens tellement bien. (sourire)

Moi : je suis contente que tu ailles bien.

Lou : et toi ? (sourire).

Moi : ben écoute, je suis avec les gens que j’aime, je suis en excellente compagnie… Voilà les autres.

Sophia : vous voulez faire quoi aujourd’hui ?

Hugo : ça vous direz qu’on va faire une balade à pied ? Il y a plein de chemin dans le coin, si vous vous sentez en forme, on pourrait même aller jusqu’a la frontière espagnole et faire un pique-nique sur place.

Alan : tu piques et tu niques.

Lou (sourire) je voulais le dire.

On rigole tous.

Pendant toute la matinée, Hugo nous fait visiter le village, il nous explique pourquoi certaines maisons ont plusieurs portes, la belle place, l’histoire des contre-buandières qui allait chercher en Espagne tout ce qu’ils n’avaient pas.

Les paysages sont magnifiques, on en prend plein les yeux.

On prend notre temps, pour se balader, découvrir les choses, nous discutons aussi avec les quelques habitants que nous croisons.

11 h 45

Lou : j’ai faim.

On s’arrête tous et nous la regardons.

Sophia : faim de ?

Lou : salope, de nourriture.

Alan : est-ce que le sperme peut être considéré comme de la nourriture ?

Hugo : vous parlez de ça aussi naturellement que ça… Tout va bien.

Lucie : reste souple, nous sommes seuls, il y une heure qu’on n'a pas vue un chien… On pourrait même baiser ici, la sur le chemin, on ne serait pas dérangé…

Moi (tout le monde me regarde.) : euuuh, je ne vais pas vous dire si vous devez ou pas coucher, mais pas ici sur un chemin.

Amir : je ne sais pas si les gens qui verraient la belle queue d’Antoine seraient très contents…

Lou : pas faux… mais cela ne règle pas mon problème, j’ai faim.

Hugo : si je me souviens bien, un peu plus haut il y a une aire de pique-nique… Sinon on prendra un coin sur l’herbe.

Moi : je ne veux pas manger avec des gens qui nous regardent…

Hugo : alors nous allons trouver un p’tit coin tranquille.

Quelques minutes après nous trouvons un endroit.

Lou : je ne bouge plus… j’ai trop faim.

On s’installe en cercle l’un à côté de l’autre, il y a des rapprochements, des mains qui s’effleurent, des regards échangent.

On débriefe un peu la matinée que nous venons de passer.

L'ensemble de la bande est sur la même longueur d’onde.

Antoine : j’ai l’impression d’être au paradis…

Lucie : oui (sourire) je ne sais pas pour vous, mais je me sens tellement bien (elle s’allonge sur l’herbe.) j’ai envie de faire l’amour.

Sophia : arrête il y a des gens qui vont passer devant nous.

Lucie : J’AI FAIM DE BITE.

Les passants passent devant nous en nous regardant.

Amir (sourire) : alors là.

Lou : tu n'es pas chié quand même.

Lucie : tu n’as pas vu le vieux, on aurait dit qu’il n’aurait pas du non.

Moi : il pourrait être ton grand-père.

Lucie : je ne me suis jamais tapé un vieux

Alan (sourire) : j’imagine que tu es sur le vieux et qu’il meurt pendant que tu es sur sa bite.

On s’éclate tous à rire, une fois le repas de fini on s’allonge tous et le sommeil nous appelle pour une belle sieste.

On se réveille en sursaut.

Un vieux : regarde ses jeunesses de fainéant, aller bosser bande de bon à rien, à votre âge, j’étais au boulot depuis l'âge de 14 ans.

Lou : vous croyez que le vieux est encore capable de sauter sa femme ?

Alan : d’après sa gueule… je ne crois pas qu’il peut encore bander.

La vieille : vous devriez avoir honte.

Moi : vous devriez avoir honte de venir nous faire chier et surtout de faire chier votre monde à venir traîner vos pauvres vieilles carcasses sur de si beaux chemins, s’ils se cassent la gueule faudra faire venir un hélicoptère pour deux vieux machins.

La bande rigole.

Amir : Maëlys, un jour, faudra que tu nous apprends comment tu fais pour détruire à chaque fois les gens.

Moi : peut-être si vous êtes sage.

Hugo : oh, putain, ce n’est pas tout, mais il est temps de rentrée, nous avons 3 h de marche dans le sens inverse.

On se lève tous, on nettoie le coin, pas de papier, de déchet derrière nous.

Nous reprenons la route.

Lou : j’ai toujours envie de me faire baiser.

On rigole tous…

À suivre.

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