Nos vacances… Pas si simple… 10/11 :
Comment décrire nos journées d’hier ?
La journée proprement dite, très bien, de très beau paysage, des gens tellement sympathiques, on nous à proposer, je ne sais pas combien de fois de l’eau, des personnes au grand cœur… Sauf qu’après nous avons dû revenir…
Et là, comment dire ce que nous avons ressenti, pour commencer nous avons retrouvé le couple de vieux, sauf qu’il était 6… Nous en avons pris plein la tête… Nous avons fini notre échange en nous échangeant des noms d’oiseaux.
On sait tromper de route 3 fois et perdu 2 fois.
Je ne sais pas comment nous avons fait pour rentrer à la maison.
Certains ont eu la force de faire a manger et d’autres comme moi, direction le lit... Encore une fois, ma tête touche l’oreiller, je tombe dans un profond sommeil.
Le sommeil me caresse le visage et les seins.
Je sors du sommeil doucement lorsque j’entends parler doucement, il me faut quelques instants pour trouver d’où viennent ses paroles.
Je sors hors du lit et me dirige vers la salle de bain, je me colle contre le mur et je me fais la plus discrète possible…
Antoine : ben écoute, oui, si tu veux parler, pas de soucis, mais là, tu vois, je sors de la douche. (je me mort la lèvre et je frissonne.)
Amir : oui pardon… Mais tu sais parler avec les autres qui sont dans le coin… Ce n’est pas facile…
Antoine : pas faux… mais Maëlys dort…
Amir : oui, et elle est vraiment très belle, extrêmement sexy…
Antoine : bon, on dirait que tu ne vas pas sortir… alors de quoi tu veux me parler ?
Amir : oui, tu as raison, je sais qu’ici, ils ne vont pas venir écouter… Tu sais qu’avec Alan, Lou ou encore Sophia, ils seraient à côté à écouter ce qu’on dit… Ils sont tellement curieux (oui, je suis curieux et il a raison, les filles feraient la même chose, mais il oublie une chose, elles voudraient regarder la “scène” alors que moi, je ne fais qu’écouter.) je voulais te demander si des fois, tu repenses aux nuits qu’on a passée tous ensemble ?
Antoine : pour être franc, oui, j’y pense, c’est tellement fou ce qu’il sait passé entre nous...
Amir : et des fois, tu penses quand on sait embrasser ?
Silence…il doit réfléchir.
Antoine : embrasser et que tu m’as caressé la bite… (sourire).
Amir : oui…
Antoine : je pourrais te mentir et te dire, non mais oui j’y ai déjà pensée … Pourquoi cette question ?
Amir : ben…
Je sors au même moment, ils ne m'ont pas vue.
Moi (ils me regardent.) tu penses à vos différents échanges… Vos lèvres l’une contre l’autre… Et ta main qui saisit son pénis
Amir : tu m’as vue…
Moi (sourire) : oui, j’ai trouvé cette scène tellement belle... Douce (je m’approche d’eux, je pose la main sur le pénis bandé d’Amir et je m’approche pour l’embrasser, nos langues s'échangent en douceur.)
Amir : hmmm… Je…
Moi (je fais tomber la serviette qui dissimule le sexe d’Antoine, Amir regarde la bite d’Antoine.) la nature est belle (il me fait oui de la tête.)
Il ne sait plus quoi dire, je m’approche de ses lèvres, pour l’embrasser, je me colle contre lui, Antoine lui prend les mains pour les poses sur mon dos, il se colle à son tour.
Amir me caresse le dos, il embrasse mon cou, Antoine se colle à son tour contre mon cul sa bite grossie de plus en plus, je ne peux pas m’empêcher de bouger mon cul contre son bas-ventre.
Il m’embrasse le cou, Amir revient sur mes lèvres, je passe mes mains sur son t-shirt, je passe sous le tissu pour lui caresse les abdos, je lui embrasse le cou, j’ouvre son short qui ne me résiste pas.
Il tombe sur le sol, il rougit lorsque sa bite sort comme un ressort, je le branle, je ne le quitte pas du regard, je lui embrasse le torse, je continue de descendre de plus en plus.
Sa respiration est de plus en plus forte.
Je lui lèche les couilles, il gémit, je prends la main d’Amir est la pose sur la bite toute dure d’Antoine, il gémit aussi.
Je lèche le gland d’Amir.
Amir : tu…
Antoine (lui coupe la parole) beau gosse, elle veut te sucer ta belle bite (sourire).
Amir : AAAAAAAAHHHHHHHHHH.
Sa bite vient d’entrer dans ma bouche, en regardant vers le haut, je vois Antoine qui s’approche de la bouche d’Amir, leurs lèvres entrent en contact.
J’arrête de le sucer, j’ai d’autres plans.
Lorsque je relâche sa bite, il me regarde avec l’air triste, je laisse les garçons dans la salle de bain, je retourne vers la chambre à coucher... Je peux sentir leurs yeux qui me matent le cul… Je suis toute nue…
Je monte sur le lit à quatre pattes.
Moi : Amir, viens t’occuper de moi…
J'entends dans la salle de bain.
Amir : quoi ? Elle a dit quoi ?
Antoine (sourire) : vient mon frère, nous avons, une décesse à faire jouir.
Je vois les garçons qui arrivent en se tenant la main, ils sont complètement nus, ils bandent, un frisson me parcourt le corps.
Mon minou mouille de plus en plus, à cet instant-là, je me rends compte qu’Amir n’est pas simplement un de mes meilleurs amis, mais il est aussi un homme que j’aime.
Moi : bébé fait moi l’amour… Baise-moi… Je veux ta belle bite.
Il ne bouge pas, il me regarde à quatre pattes, je crois qu’il n’en revient pas de ce qu’il voit.
Antoine (en lui donnant une capote) : elle t’appelle mon frère.
Amir (en le regardant) : tu veux que… Je peux ?
Antoine (en lui donnant une fesse sur son petit cul rond) : fait l’amour à notre décesse bébé (ils s’embrassent de nouveau.)
Amir enfile la capote puis arrive vers ma vulve, il m’embrasse le dos, les fesses, il passe un coup de langue entre mes lèvres.
Moi : BAISE MOI MAINTENANT !!!!
Je sursaute et présente sa queue de 18 cm à l’entrée de mon paradis humide.
Antoine monte sur le lit, il me présente sa bite que je suce immédiatement, Amir ne bouge pas.
Antoine : pénètre notre décesse, fait lui goûte une bite d’un sexy Marocain.
Moi :AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH une bonne grosse bite
Antoine : donne une fesse à notre décesse, elle mouille plus.
Moi (en recevant la fesse) : SALOPEEEE, toinou donne ta bite.
Je la prends et la suce, le plaisir complet.
Amir : je ne vais pas tenir longtemps…
Moi : allonge-toi sur le lit, je veux être sur toi…
Amir : oui ma belle.
Il s’allonge, je lui suce une ou deux minutes, je n’aime pas trop le goût de la capote.
Je prends sa grosse bite que je présente à ma vulve, il n’a pas le temps de dire quoi que ce soit.
Moi : AAAAAAAAHHHHHHH.
Amir : MON DIEUUUUU.
Moi : ne jouis pas… (je regarde Antoine.) bouffe moi le cul.
Antoine : je suis a tes ordres Maëlys…
Moi : AAAHHH PUTAIN DE BORDEL DE MERRDEEEEEE.
Je ne peux plus respirer, mes yeux se révulsent, je n’entends plus rien, mon vagin se serre contre sa bite, je sens qu’elle se contracte et qu’il éjacule dans la capote.
Je tombe sur le dos, mon corps tremble, je jouis un jet de cyprine atterrie sur Amir… je ne peux toujours pas reprendre le contrôle.
Lorsque je reviens a moi, les garçons sont à côté de moi.
Antoine : ne t’en fais pas, il faut que tu comprennes que Maëlys à des orgasmes dévastateurs…
Amir : oui, je n’avais jamais vu une femme avoir le corps qui se tors autant... j’ai eu un peu peur.
Moi (ils ne m'ont pas vue réveillé.) : vous m’avez donné trop de plaisir les mecs.
Amir : ouf… Ça va ?
Moi (sourire) : oui, mon grand, ne t’en fait pas, je suis simplement morte de fatigue.
Amir : je vais vous laisser.
Antoine : tu peux rester avec nous Amir.
Amir : le lit n'est pas trop d’accord (sourire) sinon je serais resté…
Moi : je n’aurais pas dit non, me réveiller à côté de deux très beaux mecs… en érection...
Ils frissonnent.
Antoine (un p’tit bisou sur les lèvres d’Amir) repose toi bien.
Amir : toi aussi, mon beau (sourire, j’essaie de me lever, mais je suis trop épuisée.) Ne bouge pas ma belle (on se fait un bisou.) merci pour cette matinée de plaisir, repose-toi bien. (sourire)
Moi : merci à toi (sourire)
Il referme la porte, j’ai juste le temps de poser ma tête sur l’épaule de Toinou que je m’endors.
A 12 h, j’entend.
Antoine : le repas est servi mon cœur.
Moi : hmmmm
Antoine : après, je te propose qu’on descende a la plage pour une après-midi repos.
Moi (sourire) : excellent programme mon cœur (je prends son visage dans mes mains pour l’embrasser.) tu sais que je t’aime.
Antoine : hmmm, oui, je crois (sourire), aller, on y va sinon la nourriture va se réchauffer.
Moi : j’ai une faim de loup…
Une fois, le repas de fini, la bande se divise en deux, une partie prend la direction des magasins pour faire des courses, à huit la nourriture disparaît tellement vite… il faut refaire le plein souvent.
J'ai un grand respect pour les grandes familles, ils doivent avoir une putain d’organisation, les courses, les repas, le ménage et surtout le linge… On en chie pour faire les machines…
Et la seconde partie de la bande prend la direction de la plage, pour prendre un bon bain de soleil et lorsque la première partie sera de retour, nous allons tout ranger.
Le reste de la journée se passe tranquillement, en douceur, la bande est de plus en plus proche…
À suivre.
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