Chapitre 01: Un étrange livre
Chérone Parker, 20 ans, se trouvait dans une situation pour le moins bizarre. Si seulement elle avait su que cela se terminerait de la sorte, peut-être aurait-elle agi de façon totalement différente. Maintenant que cette chose rentrait de force dans sa bouche, il était désormais beaucoup trop tard.
Quelques heures plus tôt
Chérone était une étudiante de deuxième année en communication des organisations. En parallèle, la jeune femme prenait également des cours de langues telles que l’anglais, le japonais, ou encore l’italien. Sa vie était donc rythmée par les études et le travail. Cependant, elle trouvait le temps de se détendre en suivant quelques animés, en sortant avec ses amis, et en faisant quelques fois la fête.
La jeune femme se trouvait donc dans un coin tranquille de la bibliothèque de son université et lisait un livre parmi la pile qui était à ses côtés. Elle prenait également des notes, se préparant pour ses examens finaux qui se dérouleraient dans quelques semaines. Pendant près d’une heure, Chérone lut une partie du contenu de son livre et écrivait tout ce qui lui semblait important de retenir dans son cahier. Tout d’un coup, une envie pressante s’empara d’elle. Mademoiselle Parker se leva donc de son siège et prit la direction des toilettes.
Quelques minutes plus tard, alors qu’elle sortait des cabinets et retournait à sa place, quelque chose attira l’attention de Chérone. Il s’agissait d’un livre qui avait été mal placé dans une des étagères de la bibliothèque. La jeune femme se dirigeait donc vers ce dernier pour le remettre en place, se disant à ce moment qu’il risquerait de tomber par terre. Alors que la demoiselle attrapait l’ouvrage, elle ne put s’empêcher de l’admirer. En effet, la couverture de ce dernier était faite dans ce qui ressemblait à du cuir. Il y avait également d’étranges inscriptions gravées dessus. Chose curieuse, mademoiselle Parker semblait ne pas pouvoir détourner son attention de ce livre. C’était comme si elle entendait une petite voix dans sa tête qui lui disait de le conserver. Finalement, après avoir scruté cet ouvrage pendant plusieurs minutes, elle décida de le prendre avec elle.
De retour sur son lieu de travail, la jeune femme rangea discrètement le livre qu’elle venait de trouver dans son sac à dos et se reprit ensuite sa séance de lecture. Au bout de quelques minutes, Chérone n’arrivait plus à se concentrer, la petite voix dans sa tête l’empêchait de le faire. Tout son esprit était focalisé sur l’objet qui se trouvait dans son sac à dos. Elle était curieuse de savoir ce qui était inscrit à l’intérieur. Mademoiselle Parker cessa donc ce qu’elle fait et tourna son regard vers le bas de sa chaise. Alors que sa main s’approchait de plus en plus de son sac, la jeune femme s’arrêta brusquement. Quelque chose lui dit de ne pas essayer d’ouvrir ce livre en ces lieux.
Parker se retint donc et rétracta sa main. Elle attrapa ensuite son cahier, ses livres, et ses autres affaires qu’elle rangea soigneusement dans son sac. Elle se leva par la suite, quitta la bibliothèque, puis partit en direction de sa chambre.
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Le campus dans lequel Chérone étudiait était gigantesque, faisant au minimum la taille de tout un quartier. À cause de cela, un système de transport composé de nombreux bus dédiés uniquement aux étudiants avait été mis en place par les instances de l’université. Mademoiselle Parker monta donc dans le véhicule mis à leur disposition et donc le prochain arrêt se trouvait non loin de son domicile. Grâce à cela, la jeune femme arriva chez elle en moins de dix minutes.
Tandis qu’elle se trouvait devant la porte de son logement, Chérone entendit un drôle de bruit en provenance de l’intérieur. Elle se dit alors que cela devait venir de Véronica Brook, sa colocataire de 22 ans avec qui elle vivait depuis quelques mois déjà. Les deux femmes s’entendaient bien même si mademoiselle Parker n’appréciait pas certains traits de sa personnalité, notamment les bruits qu’elle faisait lorsqu’elle amenait des garçons dans sa chambre. Hormis cela, Chérone n’avait rien à redire sur son comportement.
La jeune femme ouvrit finalement la porte de son domicile et rentra à l’intérieur. Malheureusement pour elle, lorsqu’elle mit les pieds dans leur séjour, elle tomba nez à nez avec sa colocataire complètement dénudée qui chevauchait un jeune homme dans leur canapé. Chérone était sous le choc vis-à-vis de ce qui se passait devant ses yeux. Comment Véronica pouvait-elle se permettre de faire ça dans un endroit pareil et de surcroit dans le canapé dans lequel tout le monde s’asseyait ?
- La porte ! Ferme la porte ! s’exclama soudainement mademoiselle Brook.
Chérone s’exécuta et ferma la porte. Elle voulut ensuite avoir une conversation très sérieuse avec sa colocataire vis-à-vis de son comportement actuel, mais trouva que ce n’était pas le moment opportun. Dès lors, la jeune femme prit la direction de sa chambre tout en évitant le plus possible de jeter un coup d’œil au couple dans le grand fauteuil.
Mademoiselle Parker déposa son sac à dos au pied de son lit, puis se coucha sur ce dernier. Elle n’en revenait toujours pas que sa colocataire osait avoir des relations sexuelles dans leur séjour au lieu de le faire dans sa chambre. Il s’agissait tout de même d’une pièce qu’elle fréquentait régulière. Que ce serait-il passé si elle avait croisé un de ses amis sur le chemin du retour et l’avait invité à venir boire un verre ? Aurait-elle seulement pu le ou la regarder en face après cela ? Alors que toutes ces questions traversaient l’esprit de la demoiselle, Chérone se dit qu’il serait temps que Véronica et elle établissent certaines règles vis-à-vis des espaces communs de leur domicile.
Quelques minutes s’écoulèrent et l’esprit de Chérone se focalisa de plus en plus sur ce qui l’avait poussé à rentrer plus tôt chez elle. La jeune femme se redressa donc, attrapa son sac, et en sortit l’étrange livre. Tandis qu’elle le touchait à nouveau, mademoiselle Parker ne pouvait s’empêcher d’éprouver de drôles de sensation. Non seulement cet ouvrage était différent des autres au toucher, mais Chérone était mystérieusement attirée par ce dernier. Elle essaya alors de l’ouvrir, mais chose curieuse, elle n’y parvint pas. Elle avait beau user de toutes ses forces, la couverture refusait de bouger d’un centimètre.
La jeune femme était confuse. Le livre ne possédait aucun verrou. Dès lors, une chose pareille n’était pas censée se dérouler. Tout d’un coup, alors qu’elle passait son pouce sur les bords de la couverture, mademoiselle Parker se blessa. Chérone retira immédiatement son doigt qu’elle plaça par la suite dans sa bouche. Elle ne comprenait pas ce qui venait de se passer et, lorsqu’elle regarda l’endroit où elle s’était coupée, aucune trace de sang n’était visible. La jeune femme était encore plus confuse que précédemment.
Cependant, ce n’était rien à côté de ce qui se produisit juste après. En effet, un son particulier retentit soudainement dans la chambre de la jeune femme. C’était comme si quelqu’un venait brusquement d’expirer profondément. Par la suite, l’ouvrage qui était précédemment verrouillé s’ouvrit sans l’intervention de Chérone. Une personne normale, en voyant ces drôles de phénomènes, aurait sans aucun doute tout fait pour se débarrasser de cet objet, mais ce n’était pas le cas de mademoiselle Parker. Elle était beaucoup trop curieuse de savoir ce qu’il contenait.
La jeune femme ouvrit donc le livre et se mit à tourner ses pages. Celui-ci était de dessins et d’écrits qu’elle ne comprenait pas. Chérone se dit alors que cela devait être du latin ou une langue assez proche. Tandis qu’elle continuait de tourner les pages, son attention s’arrêta sur une en particulier. Sur cette dernière, on pouvait clairement distinguer une sorte de tache graisseuse laissée par la main d’une personne. Il y avait également une petite zone sur laquelle était marquée « Ne pas lire à haute voix ».
Mademoiselle Parker trouva cela très amusant. Elle se disait que la personne qui avait laissé ça sur cette page s’était sûrement crue dans un film d’horreur du genre surnaturel. Malheureusement pour celle-ci, ce n’était pas une chose en laquelle Chérone croyait. L’horreur existait bel et bien, mais cela prenait la forme de détraqués s’en prenant à d’autres personnes parfois sans aucune raison. Cela n’avait rien de surnaturel, il s’agissait juste des esprits dérangés des hommes.
Pour se prouver qu’elle avait raison, la jeune femme fit tout le contraire de ce qui était marqué sur la page et lut le texte à haute voix. Pendant près de deux minutes, elle se débrouilla pour prononcer chaque mot tout en espérant que sa prononciation était la bonne. Arrivée à la fin du texte, elle patienta quelques secondes pour voir si quelque chose allait finalement se produire.
- Rien de surnaturel comme je le pensais, déclara-t-elle alors que rien ne se produisait.
La jeune femme déposa alors l’ouvrage sur son lit, se demandant par la même occasion pourquoi elle avait perdu son temps pour faire des choses aussi inutiles. Elle se leva ensuite et partit en direction de la cuisine pour se faire quelque chose à manger. Toutefois, au moment où elle s’apprêtait à ouvrir la porte de sa chambre, elle se souvint que Véronica se trouvait toujours dans le séjour, ce qui la dissuada instantanément. Chérone décida donc d’attendre qu’ils finissent leur petite affaire avant d’aller se faire à manger.
Au moment où mademoiselle Parker se retrouva en direction de son lit, elle se rendit compte que quelque chose avait changé dans la pièce. En effet, un immense pentagramme était désormais dessiné sur le sol de sa chambre. Cette soudaine apparition suffit amplement à faire peur à la jeune femme qui voulut immédiatement sortir de la pièce. Malheureusement pour elle, au moment où elle s’apprêtait à saisir la poignée de la porte, quelque chose vint l’attraper par le bras.
Un tentacule ! Chérone fut brusquement triée vers en arrière par un tentacule. La jeune femme se retrouvait désormais dans une situation digne du plus mauvais des hentais. Mademoiselle Parker voulut alors hurler afin que Véronica et le jeune homme avec qui elle se trouvait lui viennent en aider. Malheureusement pour elle, au moment de s’exécuter, un nouveau tentacule l’empêcha de le faire en s’enroulant autour de sa bouche. Chérone fut progressivement entourée par ces choses, ce qui eut pour conséquence de la priver progressivement de tout mouvement.
Alors qu’elle se trouvait à près d’un mètre du sol, la jeune femme put finalement voir d’où ces monstruosités provenaient. Le pentagramme qui était apparu quelques instants plus tôt était l’origine de ces choses. Chérone venait tout juste de comprendre qu’en prononçant les écrits du livre à haute voix, elle avait involontairement créé une sorte de portail d’où ces tentacules sortaient.
Tandis que des tentacules se frayaient un chemin sous ses vêtements, mademoiselle Parker commençait à régler ses actions. Si elle avait su qu’elle finirait dans une telle situation, elle ne se serait jamais arrêtée pour essayer de remettre ce « maudit » en place. Désormais, il était beaucoup trop tard. Elle allait devoir subir les conséquences de ses actes.
Des larmes se mirent à couler le long du visage de Chérone tandis que deux des tentacules se trouvaient dorénavant dans sa petite culotte. Tout d’un coup, ces derniers déchirèrent chacun de ses vêtements, dénudant la jeune femme au passage. Certaines de ces choses se frottèrent ensuite contre le clitoris et la poitrine de mademoiselle Parker durant de nombreuses minutes, ce qu’elle trouva humiliant et dégradant.
Après une certaine période de temps, le tentacule qui s’amusait avec l’entrejambe de Chérone s’arrêta brusquement. Les jambes de mademoiselle Parker furent ensuite écartées contre son gré. Juste après, la jeune femme écarquilla grandement les yeux alors qu’elle sentait une de ces choses se frayer un chemin en elle. C’était une expérience très douloureuse, le tentacule étant assez gros. Cela provoqua un certain inconfort, ainsi qu’une légère coulée de sang. Un autre tentacule décida de s’attaquer au cul de la demoiselle tandis qu’une troisième se faufilait doucement dans sa bouche.
Les trois orifices de Chérone étant désormais occupés, les mouvements de va-et-vient ne tardèrent pas. La jeune femme se retrouvait dans une sorte d’orgie tentaculaire dans laquelle chaque action était tout aussi douloureuse que la précédente. La chose dans son vagin s’enfonçait si profondément en elle que cette dernière rentrait en contact avec son utérus, ce qui eut pour conséquence de gonfler légèrement le ventre de mademoiselle Parker à chaque passage.
Des autres côtés, ce n’était pas mieux. Chérone n’étant pas une adepte des pratiques anales, la douleur qu’elle ressentait à chaque mouvement de va-et-vient ne pouvait pas être définie avec de simples mots. Elle avait l’impression que son cul allait se déchirer d’un instant à l’autre. C’était vraiment atroce. Seule la bouche de la jeune femme était plus ou moins épargnée, Parker ne subissant qu’une gorge profonde une fois sur quatre. Néanmoins, cela restait extrêmement désagréable.
A suivre !!!
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