Il y a une certitude à la fois envoûtante et triste, au moment où Camille allait ouvrir la porte de la maison, une ambiance de séduction et découverte, allait disparaitre pour laisser place à un jeu plus crue. J'avais beaucoup aimé le jeu de séduction sans trop en dévoilé.

Camille abaissa la poignée et ouvrit la porte pour laisser entrer Adeline. Elle avait un grand mentaux contre le froid qui dénaturait de la tenue de Camille, entièrement nue. On voulait une ambiance Sm être mis directement dans l'ambiance. Camille entièrement dévoilée au regard d'Adeline en profita longuement avant de parler

— Mes salutations Soumise.

– Bonsoir Adeline, puis-je te débarrasser de ta veste ?

Adeline enleva son manteau qui révéla une robe simple. Elle fit glisser tout de suite les bretelles de sa robe pour n'être qu'en sous-vêtement. Un ensemble noir, rouge du plus belle effet. Elle se dirigea vers moi sans un autre regard pour Camille et m'embrassa.

– Bonsoir monsieur

– Bonsoir Adeline.

C'était simple et fluide, en fait tout l'était, car on avait appris à juste se laisser aller. Finalement, c'était juste une soiré de passage à l'acte dans un jeu qui a évolué de bien des façons imprévuse pour moi et Camille. Et Adeline avait une expérience dans la soumission qui nous surpassait à des années-lumière.

– J'aime commencer par une inspection, aux milieux du salon, je te pris, Soumise un café.

Elle se plaça aux milieux du salon à la place de Camille, sa place de soumise, là, elle était à côté, portant ma tasse de café. C'était grisant comme sensation. Comme pour Camille, je glissai mes mains sur les côtés de sa culotte et la descendis mi-cuisse, révèlent la chatte d'Adeline à mes yeux. C'était extrêmement plaisant comme situation, car je la connaissais cette inspection, il n'y avait pas de stress, juste deux soumises et ma tasse de café que je pris des mains de Camille.

– Soumise vérifie que notre invite à respecté ma consigne.

– Oui maitre.

Je bu le breuvage noir, regardant Camille à genou approcher son visage du sexe d'Adeline. Il est bon ce nouveau café local, très agréable. Camille retira son visage du sexe d'Adeline. Oui, c'est un pur fantasme lesbien, j'assume

– Les consignes ont étées respectées maitre.

Camille n'était pas une grande adapte des odeurs intimes forte. Le côté léger de Mathilde lui suffisait. Mais là, sport, masturbation et urine, mon cocktail de dépravé assumé. Je vis Camille retenir un mouvement de bras pour essuyer l'humidité de son visage que le reflet des quelques bougies laissaientt refléter sur son visage.

– Parfait, voyons voir ce que ce corps peu m'offrir.

Je me levais et tournais autours d'elle, touchait sa peau, ses fesses, son visage. Puis passait la paume de ma main sur son pubis parfaitement lisse. Son corps frissonnait et les yeux de Camille ne me lâchait pas. Je me mis face Adeline.

– Tu mouilles ?

– Oui monsieur.

Je descendis ma main sur son sexe, ses lèvres et la pénétra d'un doigt. Elle ne gémit pas et resta de marbre, fière d'être soumise. Elle était en effet trempée. Je ne pu m'empêcher de la gouté en sortant mon doigt.

– Ne sayon pas coquet, déshabille-toi en entier. et donne moi ta culotte.

-Bien monsieur

Elle s'exécuta lentement avec adresse. Camille s'empressa d'aller ranger la tenue. Puis Adeline me tendis sa culotte.

– J'ai plusieurs envies en te voyant, et je compte bien les assouvir. On va déjà commencer par finir les présentations. À genou entre mes jambes.

– Avec plaisir, monsieur.

– Mon excitation est bien trop grande en ce moment même Adeline. Tu vas me sucer et tout avaler pour une présentation complète. Ça ne devrait durer très longtemps.

– Nous avons toutes la soirée, monsieur. J'avalerai autant de fois qu'il le faudra.

Adeline avait se répondant d'expérience qui dans le regard de Camille se lisait par une certaine admiration. Elle défit ma ceinture et déboutonna mon pantalon en un rien de temps et fit glisser mon boxer, libérant mon sexe devant ses yeux. Elle y colla son visage, le sentit, fit tourner ses lèvres autours. Me regarda droit dans les yeux puis enfonça sa bouche grande ouverte sur mon érection. Je profita de cet instant pour plaquer sa culotte salle sur mon visage. Camille, à genou à côté, regardait, ses mains posées sur ses cuisses.

Je ne faisais que profiter de la situation, sans réfléchir, sans essayer de réfréner mon excitation, non juste un plaisir de dominant pur. La langue d'Adeline orchestrait t'elle une artiste sur mon gland, ses mains me masturbant. J'étais loin, enivrée de cette culotte jusqu'à la libération de ce plaisir simple. Un orgasme sans scrupules sans retenu dans la bouche d'Adeline. La dernière goutte de sperme sortie, elle leva la tête et ouvrit la bouche me montrant mon foutre souillant sa bouche. Elle tourna la tête vers Camille puis avala d'un coup.

– Merci maitre

C'était un bon début de soirée.