Soiré 2
– Bon, les présentations sont faites pour tout le monde, je crois.
– Oui monsieur
– Oui maitre
– Parfait, la soirée peu commencer alors, Adeline finit de me nettoyer avant de me re-habiller, je ne veux pas salir mon boxer. Soumise sort les verres pour l'apéro, je te pris.
Adeline engouffra sa bouche sur mon sexe redescendant au repos et Camille s'afféra à sa tâche. Je n'avais en vrai pas vraiment de plan pour la suite, mais je me foutais. Il y a quelques années, j'aurai été stressé à réfléchir en permanence. Une nouvelle femme, tu vas être précoce, que faire pour pas s'ennuyer, trouver des punitions, trouver des activités dominantes. Non là rien, juste, on verra.
Mon personnage de Dominant non-chaland qui laisse les choses aller me convenait à la perfection.
Adeline releva la tête, passa ses mains sous mon boxer et le remonta avant de fermer mon jean et remettre la ceinture. Le bruit des verres sur le plan de travail se faisait entendre.
– Que désir mon maitre ?
– Je crois qu'on a une bouteille de whisky qu'on nous a offert, pas encor ouverte. Adeline, je te laisse choisir, dans le bar à côté de ma soumise.
- Merci monsieur.
Elle choisit un rhume, parfait, je n'aime pas ça, le stock diminue, Camille pris le même whisky que moi.
– Trinquons aux présentations terminées.
Oui, j'étais dans un fantasme masculin et régressif, deux soumises entièrement nus et moi habillé trinquant. Dans une ambiance semi travailler avec quelques bougies et un vinyle qui tournait en fond.
– Vu que seul ma soumise communique avec toi, je serai preneur d'un retour sur ton ressenti du restaurant, en bien ou en mal pour éviter les erreurs.
– Bien sûr monsieur, c'était très bon, déjà merci. Je suis toujours aussi dérouté dans le bon sens du terme pas votre relation Sm tellement loin de mon enseignement Sm que j'ai connue.
– Dérouté dans le bon sens ?
– Oui, vous semblez désinhibé sur vos pratiques sexuelles et vos kink sans aucun jugement, tout semble vraiment naturel et assumé. Alors que dans le monde classique du Sm, j'ai connu tant de faux semblant et jugement caché.
– Tu parais un peu amer su Sm classique, demanda Camille, regardant la couleur ambre de son verre.
– Réaliste malheureusement, il y a beaucoup de mauvaise personne et c'est compliqué de trouver les perles, il suffit d'une brebis égarée pour détruire des groupes bien établie. Vous êtes une bouffée d'air fraiche, je dois vous avouer. Très déstabilisante, mais grisante.
– Grisante ?, dis-je en relevant la tête de mon verre.
– Vous monsieur, votre soumise, il y a une synergie si fluide, sans interdiction. J'ai connu tant de Dominant qui ne se rabaissait pas à lécher, au grand jamais. Je n'ai pas l'impression d'être qu'un trou pour se vider. De mon expérience seulement deux de mes anciens maitres ne m'aurait pas sodomisé dans les toilettes se restaurant. Mon premier maitre et mon troisième, ils étaient joueurs et patient, les autres beaucoup moins.
Elle prit une grande gorgée de rhume.
– Et combien m'aurait mis à la porte après avoir éjaculé dans ma bouche, c'est bon, c'est fait, salut…
J'étais presque mal pour elle.
– Mince, je ne pensais pas que c'était comme ça.
– Ce sont les mauvais cas, il y en a des bien, mais il faut savoir qu'il y a beaucoup de profiteur. Elle regarda son verre vide. Pardon, j'ai un peu flingué l'ambiance, je crois.
– Non ne t'en fait pas, je crois que mon maître et moi somme curieux de savoir comme c'est en dehors de notre vision et t'en avais un peu sur la conscience il semblerait, ça arrive.
– Comme dit ma soumise, ne t'en fait pas pour ça. On a mis beaucoup de temps à comprendre nous deux que le plus important, c'est de parler et de ne de garder ça enfoui certaine choses.
– Merci. Elle regarda nos verres qui s'étaient bien vidés et pris une grande inspiration. On recommence ? Deux apéros soumise et un double sec pour monsieur.
– Apéro soumise ?
- Il y a du bien d'avoir d'expérience, tout n'est pas noir, loin de là. Vos verres, je vous pris.
Elle les remplit du même élixir puis regarda Camille.
– Deux doigts dans la chatte et ensuite, on mélange. Soumise jusqu'à qu'au bout des lèvres.
– Et une vilaine bouche à corriger.
– Pardon monsieur en effet. Elle avait un grand sourire qui en disait long sur cette faute de langage.
– Finissez de préparer vos verres, on s'occupera de cette vilaine bouche après.
– C'est simple Camille, on écarte ses lèvres, on glisse deux doigts, on tourne deux fois, puis on tourne deux fois dans le verre.
Les deux filles s'exécutaient dans une parfaite harmonie des plus excitantes. Avant de finir par mélanger leur breuvage.
– Trinquons à ta vilaine bouche alors.
Les verres tintèrent dans le salon. Dans une ambiance réchauffée tout comme nos gorges.
– Dans l'armoire, étagère du bas à gauche, tu trouveras, je pense, ta punition.
Elle se dirigea dans une démarche des plus suggestive et ouvrir l'armoire et Adeline n'a pu retenir un "wahoo".
– Vous avez ceci aux milieu de votre salon monsieur ?
– Oui, nous n'invitons que des personnes bien élevées qui n'ouvre pas les armoires comme ça, enfin sauf une personne. En bas à gauche, je te pris. Désinfecté, et tube de lubrifiant neuf à côté. Je te laisse choisir la taille.
– J'ai une question monsieur, puis-je ?
– Oui, bien sûr.
– Le harnais, c'est pour vous, vous êtes Switch?
- Switch? demanda Camille. La question fit rire Adeline
– Pardon, oui des fois, c'est monsieur qu'est soumis et toi dominante ?
– Il y a un peu de ça, mais pas tout à fait non plus, c'est plus une soupape de vidage de tête pour mon maitre.
– Tu ne fais qu'attiser ma curiosité Camille.
– Une vilaine bouche et curieuse. Dison que la taille du plug sera un facteur important pour avoir des détails.
Elle revint avec le quatrième sur cinq et le tube de lubrifiant.
– Je suis curieuse, mais pas prétentieuse, j'ai envie de marcher demain. Me dit-elle en me tendant les deux objets.
– Penche-toi sur le plan de travail et écarte tes fesses.
Je trouvais la scène sublime, Camille, brulant d'une jalousie qu'elle ne pouvait exprimer, mais visible à des lieux, Adeline penchée, fesse écartée attendant le plug et moi aux milieux, jouant de tout ça. Je mis du lubrifiant sur mon doigt, et me mis à jouer avec son anus qui se contractait.
– Pour le harnais, c'est pour évacuer l'excédant de chargé mental, d'être dominant, pas toujours facile à gérer. Des fois, il faut savoir tout lâcher, et se laisser à l'abandon.
Je commençais à insérer mon doigt dans cet entonnoir de l'interdit sous les légers gémissements d'Adeline et le regard de Camille ne pouvant que me regarder m'occuper d'une autre qu'elle.
– Donc quand trop c'est trop, je deviens la salope de ma soumise pour un moment de pure baise bestial sans retenue et de kink poussé au maximum.
J'enfonçais un deuxième doigt, laissant échapper un petit cri d'Adeline. L'étroiteur de ce lieu et les contractions courant le long de mes doigts sont un délice de domination.
– Ma soumise m'étouffe avec sa chatte la plus sale qu'elle ai à me proposer. Transpiration, mouille, pisse, elle me fait étouffer dans cet enfer de fluide. Il n'est pas rare que des jets de pisse s'égarent, que je manque de m'étouffer, avant bien sûr qu'elle finisse par me faire lécher son cul avec le peu d'oxygène qu'elle m'octroie.
J'enlève mes deux doigts doucement de son anus et lui les présente devant la bouche.
– Nettoie je te pris.
En restant penché, elle lécha mes deux doigts suintant de lubrifiant. Je pris l'objet métallique de bonne taille et le recouvrai de lubrifiant avant de le présenter devant son anus. Et l'enfonça d'un coup sec et rapide, suivis d'un petit cri.
— Pour avoirs les informations sur la partie harnais, il fallait prendre le cinquième plug, le plus gros. Allez relève-toi.
– Merci monsieur.
– Maintenant que tu as vu l'armoire, finissons le tour de la maison.
Je faisais la présentation des poutres avec harnais, le garage et les multiples jouets en bois, les toilette, la deuxième chambre puis la nôtre.
– La chambre conjugale, et le lit sur lequel je vais prendre plaisir avec oi et ici au bout la chaise sur laquelle ma soumise sera attachée.
C'était une chaise des plus classes à l'ancienne, imposante avec des coussins rembourrés. Sur les pieds à l'avant deux sangles et sur les accoudoirs aussi.
– Attacher, elle a forcément les jambes écartées et les mains attachées, c'est pour éviter toute tentation de se branler.
– Vous l'avez déjà essayé, monsieur, pour être sûr que ça tienne ?
– Quel manque de confiance, à quatre pattes et sent le cousin pour avoir ta réponse.
Elle s'exécuta
– Désoler monsieur, effectivement, ça était essayé, je le sens.
Je me mis à genoux derniers, elle et attrapa le plug annal par l'extrémité.
– Un manque de confiance consternant, je trouve. J'enleva doucement le plug, j'usqua le faire entièrement sortir. Être là, à côté de sa chatte trempée et son criant criant à la sodomie me fit monter dans une excitation qui me fit presque tourner la tête, à moins que ce sois le whisky.
– Tu as langue bien pendue pour les questions, je trouve. On va faire en sorte d'éviter de nouvelles erreurs. Relève-toi et ouvre la bouche.
Une fois debout, je mis le sextoy dans sa bouche, le métal sur les dents, ce n'est jamais agréable. La bosse dans mon pantalon était clairement visible. Je me mis derrière Adeline et l'enlaça touchant sa poitrine et son sexe puis l'embrassa dans le cou sous le regard de feux de Camille.
– Je crois que les limite de ma patience sont atteintes, dernier tour aux toilettes avant de s'enfermer dans cette chambre mes soumises. J'ai des envies à assouvir sans aucune restriction. Adeline, une envie de pisser ?
Elle fit oui de la tête.
– Ma soumise ?
– Oui maitre aussi.
– Camille, vas-y en première, interdiction de s'essuyer bien sûr.
Elle sortit de la pièce, me lassant collé à Adeline, lui caressant les seins et l'embrassant dans le cou. Sa poitrine pointait, sa peau était douce et des frissons parcourait son dos. Je découvrais le corps d'Adeline avec ma bouche, ses épaules, sa nuque descendant sur sa poitrine, son ventre, son pubis. Oui, j'avais une idée en tête bien précise. Puis les cuisses me rapprochant de sa chatte. Au moment où j'entendis la chasse d'eau, j'enfournai mon nez et ma langue sur sa chatte. Elle était trempée, un shoot de phéromone. Camille entra, me voyant à genoux, le visage entre les jambes d'Adeline.
Je me retournai en me levant
– Même consigne Adeline et enlève le plug de ta bouche. Sur la chaise soumise, je te pris.
Adeline sortie et Camille se mise sur la chaise, une Lionne brulait en elle, me voir lécher Adeline a réveillé une jalousie et une humiliation qu'elle luttait à contenir, mais qui l'excitait de façon tout aussi forte. J'attachai ses pieds et ses mains. Camille était là, jambes écartées, ses lèvres intimes trempées et ouverte mouillaient le cousin de la chaise.
Adeline rentra dans la chambre et ferma la porte.
– Les safe word je vous pris
Camille est Adeline les dit à l'unisson.
– Commençons.
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