Le tableau de la chambre était des plus délectable, Camille assise, impuissante, entièrement dévoilé, sans échappatoire. Adeline nu, svelte et attendant mes ordres. J'étais excité par la situation bien plus que je ne l'aurais cru, tant dans le fait d'assumer complètement mes envies même face à Adeline que je voyais pour la troisième fois.

Tout le monde était en confiance dans la pièce, chacun avec un objectif de plaisir différent. Sans jugement aucun dans le regard personne. Camille voulait être humilié, Adeline avait perdu un peu la foi dans son rôle de soumise et voulait sentir la grisante envie d'obéir. Et moi au milieu, dans mon rôle de dominant à l'humour aussi douteux que mes kink, que ni Camille et ni Adeline ne jugeait.

C'était un moment hors du temps cette chambre à cet instant.

– Déshabille moi, je te pris et prends ton temps.

– Avec plaisir, monsieur

Adeline tourna se mit face à moi et détacha doucement, bouton par bouton ma chemise. Une fois entièrement finit sa tâche, elle passa ses bras sous la chemise, me touchant pour sortir mes bras de la chemise. Une fois enlevé, elle la plia.

– Pose à côté de la chaise de ma soumise.

Elle s'exécuta tout en douceur, se penchant le plus possible, bombant ses fesses. Elle revint et se mit à genoux pour enlever mes chaussons, bon d'accord des pantoufles, j'ai fait mieux en termes de classe, mais ça tient chauds. Une fois enlever les deux pantoufles, elle se releva et fi de même bien penché pour les poser à côté de la chemise.

La partie chaussette, on n'en parle pas, c'est toujours un peu ridicule.

Pour le pantalon, elle s'agenouilla de nouveaux, le visage extrêmement proche de mon sexe, détacha la ceinture, ouvrir les boutons et la braguette avant de faire glisser le pantalon le long de mes jambes. Puis le ranger de la même façon. Pour mon boxer, elle se remit extrêmement proche, je sentais le souffle de sa respiration sur mon sexe sous le tissu.

Elle glissait tout doucement ses mains sur le côté et descendit mon boxer encore plus doucement. Ma queue sortie dure directement sur son visage sans même la faire sourciller, juste un souris sur le visage se dessinait. Elle savait vraiment bien ce qu'elle faisait. Elle laissant mon sexe collé sous son nez et sur ses lèvres tout en finissant de descendre mon boxer, le souffle de sa respiration entièrement répercuté sur ma verge.

Elle alla poser mon boxer comme si de rien était, fesses bien bombées encore une fois et revint se positionner à genoux mon sexe sous le nez et ses lèvres effleurent le bout. Elle avait une proche tout à fait différente de la soumission de Camille, qui ne pouvait s'empêcher de regarder chaque mouvement, chaque contact, les mains crispées sur la chaise.

– As-tu d'autre un autre kink que le fait de lécher ce qui sort de ton cul Adeline, moi aussi, je suis curieux.

– Vous avez bien raison, monsieur. Ses lèvres effleuraient mon sexe à chaque mot. Je suis assez proche de vous sur les odeurs intime, j'aime le sexe avec des fluides et des odeurs, je n'aime pas le sexe aseptisé. Je ne suis pas concentré autant sur les odeurs que vous, mais par exemple le sexe de votre soumise que je vois mouillé de cyprine et d'urine suit à votre ordre m'excite énormément. Tout comme votre sexe sous mon nez avec une légère odeur de sperme et de transpiration.

— Merci pour ta confiance, je vais essayer d'en être à la hauteur. Je vais attaquer le buffet que j'ai commandé. À quatre pattes face à ma soumise, je te pris.

Elle se leva en restant collé à moi, chacun des mouvements touchait ma queue et se mit à quatre pattes sur le lit. Jambe bien écartée, dos creusé. Je me mis à côté du lit, lui caressant le dos, les fesse, les cuisses, avant de monter aussi dans le lit conjugal et me positionna dernières Adeline. Camille face à nous deux regardants ce spectacle, effectivement les faibles lumières de la chambre reflétaient sur sa chatte inondée.

– Quelle était les consignes pour ta chatte Adeline ?

- Épilé, lavé la veille, une masturbation complète, interdiction de s'essuyer après uriné, et une séance de trente minutes d'exercice monsieur.

Avec mes deux mains, j'écartais ses lèvres trempées et jouait avec les rebords de son sa chatte.

– Quel effet ça te fait qu'un dominant aime ce genre de choses ?

– Je crois que le plus excitant dans tout ça, c'est le fait d'assumer monsieur, ça vous donne une prestance dans votre rôle. Sur le lavabo du restaurant, votre visage engoncé dans ma culotte souillé, je ne m'étais pas sentie soumise à ce point depuis un moment. Vous vouliez vous faire plaisir alors, vous l'avez fait, à genoux, debout, c'est pareil.

Je me penchai, metant mon visage entre ses lèvres intimes que j'écartais puis pris cette inspiration, m'appropria l'odeur de sa chatte, sa cyprine, sa pisse. Une excitation me traversant totalement. Puis releva ma tête

– Assumes-tu tous tes kink ?

- Normalement oui, mais mes dernières expériences m'ont refroidi. Difficile pour une femme d'assumer d'être une soumise sans être jugé, j'essaye tant que faire ce peu. Je suis devant vous a quatre pattes, ça me fait mouiller, je vous ai sucé et avalé, ça m'a fait mouiller, voir le sexe de votre Soumise devant moi me donne envie de la lécher alors que c'est de l'urine et de la mouille. Le plus dur, c'est d'assumer d'être là à répondre à vos questions sans mentir, même si ça m'excite d'être aussi vulnérable face à vous. Mais à la foi, c'est effrayant et excitant. Votre soumise semble tellement forte, j'en suis jalouse. Assise, bloqué à attendre sa sentence stoïque.

– Ça ne t'embête pas que je pose toutes ses questions ou que je parle trop.

– Non, monsieur, c'est quelque chose qui m'excite dans les séances, le dialogue et cette vulnérabilité.

Je me penchai de tout mon corps sur Adeline sans trop appuyer, plaquant mon sexe à l'entrée de son anus.

– Tu es bien plus forte que tu ne crois, n'en doute pas, regarde ma soumise plus en détail. Son regard, elle bout de savoir que mon sexe et contre tes fesses et que d'un mouvement de rein je peux t'enculer. Ses lèvres mordues, elle hurle de me voir regarder et sentir ta chatte, prendre mon pied avec tes odeurs, t'avoir comme jouet. Regarde ses mains crispées, elle rage de ne pas être là, à ta place, d'être mon jouet, d'être celle qui va se faire, fesser, lécher, enculer. Je t'assure, elle est toute sauf stoïque à cet instant. Mais tu peu aller assumer tes plaisirs, va lécher ma soumise, délecte toit de sa mouille et sa pisse. Tu es bien plus forte que tu ne le crois.

- Je peux Camille ?

- C'est toujours dur à avouer, mais mon maitre et conjoint a souvent raison sur certain point, et la description qu'il a faite et bien trop proche de la réalité. Mon sexe est exactement comme l'a décrit mon maitre, si ça ne t'indispose pas.

– Je peux, monsieur.

– Je t'ordonne de descendre de ce lit à quatre pattes, d'engouffrer ton visage entre les jambes de ma soumise, et d'attendre mes instructions. Je ne vais pas me priver d'un spectacle lesbien fantasmé.

Sur cette phrase, je lui mis une fessée qui la fit sursauter. Elle descendit à quatre pattes tel un félin pour se placer entre les jambes de Camille.

– M'autorises-tu à saisir ta tête fermement Adeline et ton cou ?

– Oui monsieur

Je me mis à genoux à côté d'Adeline et sais sa tête d'une main ferme aux niveaux de ses cheveux et enserra mon autre main autour de son cou. Ce pouvoir et du plus excitant en tant que dominant. Je ne sais pas trop où j'allais, mais ça m'amusait énormément, bien au-delà de la frustration de pas avoir dévoré la chatte d'Adeline.

– Comme ça la chatte de ma soumise t'excite.

– Oui monsieur.

- Quelle partie ? tu peux parler crument, je te l'autorise.

- Le plus excitant est la contradiction de la soumise que je suis. L'odeur n'est pas agréable, mais le fait que vous me maintenez ici et du plus excitant. La lécher va sûrement avoir un goût terrible qui me rebute en plus de la pisse. Mais le fait qu'en tant que soumise je dois vous obéir, si je dois la lécher alors, je le ferai est ça m'excitera à un plus au point.

- Intéressant comme point de vue, soumise, connais-tu ce paradoxe.

– Oui maitre, la gorge profonde par exemple, c'est extrêmement désagréable en soi, mais le jeu de soumission rend la chose délectable.

J'appuyai doucement sur la tête d'Adeline, son nez entrant en contacte avec le sexe de Camille puis ses lèvres.

– Comment as-tu assumé tes plaisirs soumise?

- Le dialogue et la confiance maitre.

- Je crois que c'est notre principal atout soumise, tu as raison. Adeline?

– Oui maitre, sa voie était étouffée dans l'entre-jambe de Camille

- Nettoie la chatte de ma soumise avec ta langue.

Je gardai maintenue sa tête pendant que je sentais les mouvements de langue lapant les lèvres intime de Camille.

– Je crois que le côté prof dominant arrogant m'amuse beaucoup.

– Je vois ça maitre, oh, elle n'a pas mis longtemps à trouver mon cli....ahha toris

– Interdiction de jouir soumise.

-Oui maitr....e

Je me délectai de ce spectacle, maintenant ferment la tête d'Adeline. Avant de sa retirer lentement, voyant Camille monter très haut dans les tours. Puis relâcha mon emprise.

– Alors Adeline ça t'as plu, tu as perdu le droit de parler crument à présent, soit une soumise respectable quand même.

– J'ai un goût de mouille et d'urine en bouche, mon visage est trempé de ses mêmes fluides, je ne me suis pas senti aussi soumise et en confiance depuis bien longtemps.

– Ça fait plaisir à entendre, tu peux retourner sur le lit dans la même position qu'avant. Soumise quand j'en aurai fini avec Adeline si elle est encore apte à te faire jouir avec sa langue alors, elle le ferra.

Adeline se remit en position dans la même démarche féline. Je la suivis et me remis derrière elle. Posa me, mais sur ses fesses, les descendit puis écarta de mes pousses ses lèvres intime avant de la lécher sans aucune retenue