Le texte qui va suivre fut le premier dont j'ai accouché en me remettant "sérieusement" à l'écriture, il y a plus d'un an. Il suinte le sang et la sueur, sécrète parfois quelques remugles boueux de sentimentalisme, en bon rejeton de transe hallucinée. Il est bileux, ce texte, mais reste, à l'instar de toutes mes productions, une lettre d'amour. Au Verbe - et à l'adverbe que j'apprécie souvent trop, - aux Hommes sublimés par la somme de leurs défauts, à ceux qui me ramenèrent vers la plume. À vous, qui prenez le temps de me lire.

Avant de le publier ici, j'ai tenté d'en corriger un peu le style, mais ne pense pas avoir suffisamment de recul. Il reste fiévreux et lourd. Si ce ton est voulu, il se manifeste parfois à l'excès, aussi ai-je besoin de vos avis éclairés pour l'améliorer.

Vos critiques et annotations sont les bienvenues.

Je vous remercie.

Squabe