On retrouve ici l'écriture du prologue, l'encre se fait plus noire, et les lignes plus imparfaites :

"Scrib je te vole quelques lignes, la nuit m'ayant dérobé le sommeil.

Ôh Avalon que j'aimerais m'échouer sur tes rivages,

Je suis attaché au Mat d'un navire qui jamais ne fait naufrage,

Le hollandais me l'avait dit...

Il n'y a point d'immortalité lorsque l'on faiblit,

Même l'Ankou ne me rend plus visite...

Seul le néant m'accompagne dans la nuit,"

L'écriture quasi mécanique reprend ici :

"Je te donne ces lignes, le jour m'ayant dérobé mes mots"