Chapitre 5

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Les hommes au repos sont rarement patients. Alors imaginez lorsqu’ils sont excités, en rut, que le désir bouillonne dans leurs artères et qu’ils ont une femme offerte et docile entre les mains ! Le chemisier finit par se faire déchirer en deux, laissant apparaître un soutien-gorge noir [que l’on voyait déjà en filigrane quand le chemisier était encore entier et ses épaules]

Des mains calleuses, tâchées de graisse noire, avides, agrippent les bretelles, les font descendre. Elles se faufilent SOUS le tissu, touchant, palpant, malaxant ses seins pendant que d’autres tentent fébrilement de le décrocher de manière plus civilisée. Cela finit par arriver sous les vivats des camionneurs pressés autour d’elle.

Bien entendu, comme elle a plutôt une belle paire, il y a quelques sifflets, des mains soupèsent ses seins comme on tâte les melons a marché, touchent ses tétons, les tirent sans trop de ménagement [ce qui la fait couiner alors qu’elle a déjà une bite bien enfoncée dans sa bouche !].

On entend d’un coup un grognement derrière. Tout le monde s’écarte vite et un gros chauffeur routier bien chauve, bien gras arrive avec une bite qu’il secoue très vite. Il s’approche d’elle en poussant des grognements de verrat. Elle n’a pas le temps de réagir, prise en sandwich entre un sexe dans sa bouche et 2 autres mâles qu’elle masturbe avec ses deux mains.

Il s’approche de son visage, couine une dernière fois et finit par lui éjaculer sur le visage. Il lui en met plein les cheveux, sous les cris de joie des autres ! Elle sursaute au premier jet, tente de se protéger tout en fronçant les sourcils d’un air désapprobateur…avant de croiser le regard noir de son mec.

Il se vide sur elle en hurlant désormais. Comme on peut le voir dans les films classés X… C’est juste très comique. En même temps, des insultes pleuvent sur elle… Sac à sperme, petite pute, traînée… Elle reçoit plein de noms d’oiseaux dans diverses langues. C’est le début de la phase de vidange de couilles. Comme si il fallait juste un type qui fasse le premier pas et dans la foulée, tout le monde s’engouffre dans la brèche.

Trois ou quatre mecs viennent à la queue-leu-leu ou carrément ensemble se vider sur elle. Elle prend plusieurs jets crémeux en pleine face, dans les yeux, dans les cheveux, le cou, sur son front… Et là, ô surprise, un grand sourire illumine son visage. Chaque gars qui vient se vider sur elle a droit à ses encouragements, ses petits mots salaces pour l’exciter. A celui qui met un peu plus de temps que les autres, un petit coup de langue sur le frein pour le faire venir plus vite. Et quand il jouit, même si c’est en plein sur sa gueule, même si elle en a plein le visage, elle est souriante et semble manifestement apprécier.

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