Chapitre 8

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Elle est anges ! Elle se penche pour embrasser goulûment celui qui vient de lâcher sa semence en elle avant de demander à ce qu’un autre prenne la relève. Mais elle se tourne vers moi, et d’un ton qui ne prête pas à la discussion, me lance

Toi par contre, tu ne bouges pas de là ou tu es ! Tu étais le premier arrivé, alors profite bien de mon cul. Utilise-le comme bon te semble, et autant de temps que tu pourras. Prends ton pied un max. Tu seras le seul à y aller ! Alors savoure bien !

Ca, pour savourer, je savoure !! Je suis enfoncé au plus profond de ses reins et je n’ai pas envie de l’en aller [même si je sais que je ne durerais pas éternellement…] Du coup, on est un peu beaucoup obligés de bouger pour laisser celui qui vient de jouir partir.

Et on commence à se déplacer comme des crabes : car elle ne voulait pas que je sorte de son cul et on tente de se déplacer sur la queue d’un autre homme mais finalement c’est parfois la simplicité qui s’impose. Je sors à regrets de ses fesses [son petit trou qui reste bien ouvert…] le temps qu’elle se déplace de quelques pas vers un autre homme déjà allongé : elle s’empale sur lui et je viens reprendre possession de mon anus…

Ça grogne un peu parmi les hommes en voyant que je ne partage pas son petit cul, que j’y rentre à nouveau mais elle met de suite les points sur les i : sa bouche, sa chatte sont open bar. On peut jouir dans sa chatte ou sur son corps, ses cheveux, ses seins. Par contre, son cul n’est qu’à moi. C’est comme ça et pas autrement. La fronde s’arrête d’elle-même…

Et à nouveau cette étrange sensation de sentir un membre, une queue coulisser à côté de la mienne, mais en même temps pas exactement à côté de la mienne…

Et ça tombe bien parce que je commençais à débander, avec toute cette effervescence, cette sortie puis cette rentrée à nouveau. Donc je prends bien appui sur ses hanches de mes deux mains et je commence un mouvement de va-et-vient qui progressivement va crescendo. On ne se coordonne absolument pas entre nous

Ce qui veut dire que parfois on rentre de concert dans ses orifices et tantôt on la pistonne en décalage. Et elle semble aimer cela. Elle gémit, couine, et laisse échapper des cris sacrément communicatifs. Un type se vide à moitié sur son visage et sa bouche.

Le type sous elle ne tarde pas non plus à jouir en elle. Et j’en fais de même en attrapant ses anches élastiques et en me vidant tout au fond de son cul étroit. Sensation grisante, l’impression que beaucoup de sève, de sperme se vide en elle. Je quitte à regret son cul si accueillant…

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