Chapitre 9
Dans la foulée, 2 camionneurs russes qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau arrivent. Ils ont des sexes gros et larges. Assurément les plus gros membres de l’assemblée ! Assemblée qui s’est d’ailleurs bien clairsemée [normal, une fois que tu t’es vidé les couilles, tu retournes dans ton camion].
Le premier se couche et la fait venir sur lui et dès qu’il est inséré en elle, commence sans ménagement à la défoncer. Mais elle est bien lubrifiée par les fluides des amants précédents, et elle semble apprécier la saillie un peu brutale prodiguée par son nouvel amant de passage.
Mais le ton change très vite quand elle comprend que l’autre souhaite prendre sa pastille ! Elle place sa main devant son anus pour empêcher l’intrusion mais elle est vite enlevée. Elle la remet mais cette fois-ci, celui qui est dans sa chatte lui prends les 2 mains. Du coup, elle crie, se débat et là, ça se bouscule un peu !
Le gars ne comprend pas qu’elle ne veuille pas se faire enculer alors que je viens tout juste de sortir de son cul ! Si lui a pu y entrer, pourquoi pas moi ? Pendant quelques minutes, tout s’arrête : pas mal de palabres, d’explications, de traductions. Finalement l’amant éconduit se calme. Enfin, il ne se calme que lorsque son frère se met à lui parler.
Finalement, les 2 frangins se mettant à rire franchement et le second frère vient placer son pieu…juste à côté de celui qui est déjà dans la chatte de la miss. Il tâtonne, mouille le gland de sa salive puis le replace et prend appui.
Au début, elle ne comprend pas, plutôt rassurée de sentir qu’il ne cherche pas à forcer ses fesses. Quand elle comprend, ou du moins, quand elle se met à sentir dans son corps ce qu’il fait, elle pousse un long gémissement… Elle est tout simplement en train de subir une double pénétration vaginale ! Et avec des queues d’un calibre assez gros !
Du coup, elle s’affale complètement sur le corps qui est sous elle et elle se laisse totalement faire. Poussant de longues plaintes. Ce ne sont pas des cris de douleur, mais on comprend à l’oreille que ce ne sont pas non plus des plaintes de plaisir.
Je me tourne vers son homme qui s’est approché, l’air très intéressé.
Ça va aller ? lui dis-je en montrant l’accouplement.
Il me regarde sans comprendre ma phrase donc j’enchaîne.
Je veux dire…pour elle…ils sont quand même deux dans sa chatte…et ils sont sacrément bien montés …
Il ne me laisse pas finir ma phrase et éclate de rire !
C’est bien fait pour elle ! Elle n’arrête pas de dire qu’elle veut tout le temps de faire défoncer ! Et pour l’instant elle n’avait jamais été poussée aussi loin dans ses limites. C’est bien. Elle va enfin voir et savoir si elle est vraiment une bonne salope et si elle veut vraiment faire plaisir à tous les mecs qui voudront d’elle, indépendamment de ce qu’elle éprouve. Pas trop apprécié qu’elle refuse la sodomie mais là, j’avoue qu’ils me plaisent bien ces deux-là ! [Une pause] Ils sont bien vicieux quand même ! Une double vaginale sur elle : je n’y avais jamais pensé ! Et c’est loin d’être facile à réaliser. Faut trouver les bons gars, capables de tenir la position…
Les frangins, eux, apprécient la possession de cette superbe femelle qui leur tombe du ciel. Ils sont très décontractés, se racontent des blagues pendant qu’ils la défoncent. Parce qu’ils la défoncent bien ! Les gros membres coulissent sans ménagement dans sa chatte dilatée comme jamais elle l’a été.
Celui qui a tenté de la sodomiser la taquine parfois en lui enfonçant sans aucune délicatesse son pouce dans son anus. Ce qui la fait réagir au ¼ de tour, poussant alors des cris qui se voilent de douleur. Elle a sur les lèvres un rictus de « ça-ne-me-plaît-guère-ce-que-vous-me-faites-subir » mais elle ne dit rien.
Ce qui me sidère encore plus est le fait que son copain est totalement subjugué par ce qui se passe sous ses yeux. Nous ne sommes plus que deux autour d’elle, et quatre si on compte ceux en elle. Ils finissent par éjaculer presque de concert, lui donnent de bonnes claques sur les fesses puis sortent d’elle, se rhabillent, nous remercient et s’en retournent vers leur camion. Sans un mot, un attention ou un regard pour elle.
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