Nos premiers pas!
*
L'aventure commence, avançons allons de l'avant
Le chemin sera long et difficile, autant partir des maintenant
L'aventure commence, avançons allons de l'avant
Nous nous trouverons des compagnons sur qui l'on pourra compter
J'y crois sans hésiter!
L'aventure commence, avançons allons de l'avant
*
J'assistais à la scène, me tenant debout à côté de cette Arold aux cheveux noirs et coupé court je ne lui arrivait pas aux visages malgré toute ma longueur, il est vrai que malgré mon âge pourtant correcte– dix-huit printemps – je ne mesurais qu'un petit mètre soixante cinq. À côtés de ce géant d'Arold. Il semblait m'avoir littéralement oublié, le prince bientôt roi s'était comme prit d'amitié pour ce sniper errant. Ils semblaient tellement prit dans leur discutions que j'aurais pu me retirer sans qu'aucun des deux ne le remarque. J'en profita pour attraper un morceau de tissu qui sortait de ma chemisette pour éponger et arrêter le sang quicoulait de ma main. C'était le premier pacte de sang que je faisais de ma vie et qu'elle premier pacte! Je me retrouve en étroite liaison avec le futur roi du royaume. L'aube éclaircit doucement l'horizon petit à petit, Eson se rendit compte qu'il ne devait plus tarder et nous envoya un dernier regard avant de prendre un cheval qui attendait au coin d'une rue et de partir en direction de son destin. Il me laissa seul avec cette homme Arold qui dégageait une grande gentillesse malgré sa carrure taillé dans de la roche.
-Excuse moi mais je ne connais pas ton nom. Me dit-il en se rapprochant de moi.
-C'est une très bonne question Arold... je ne m'en souviens plus, à vrai dire, personne ne le connaît. Les gens m'ayant connu son mort et mon toujours donné des surnoms plus ou moins agréable.
-Le prince?
-Il m'appelait « l'éclair ».
-Étrange en effet.
Le prince ma parlé de votre rencontre ainsi que de se qui t'es arrivé,je suis de tout cœur avec toi. Nous devons retrouver cette étrange personnage et le tuer avant qu'il ne fasse plus de victime. Ses yeux se remplirent d'une grande détermination à toute épreuves.
-Oui Vorn doit mourir à n'importe qu'elle prit.
-Par contre... je dois te prévenir de quelque chose qui pourrais jouer en notre faveur.
Je lui fit un signe de la tête.
-Je suis un invocateur de troisième rang.
Je resta bouche baie devant cette aveux pour le moins étonnant. Je ne savais que faire, lui dire on secret ou le garder et lui avouer entant voulut? Plusieurs questions se posèrent dans mon esprit puis je lâcha l'information sans même savoir pourquoi. Il souris et posa sa main droite sur mon épaule.
-Je ne m'y attendais pas. Avoua Arold d'un ton amical.
-Qu'elle est ton esprit? Demandais-je alors de curiosité.
-Je suis protégé par Basilic depuis un certain temps et toi?
-Griffon.
-Basilic et Griffon? Je sens que notre aventure sera bien amusante avec eux. Me confia Arold en me suivant. Nous quittions la ville de Londonia enquête de l'infâme chevalier noir quand Arold me dit qu'il connaissait une petite ville paisible du nom de Gora plus loin. Nous pourrions peut-être y trouver de quelconque informations à son sujet. L'ai était pur, le chemin était à la lisière d'une forêt.Nous marchâmes en silence, quelques commentaire à droite et à gauche quand il vint à Arold l'idée de me raconter comment il connaissait la ville de Gora.
-C'était il y à quelques temps déjà, je venais de quitter le cocon familiale, j'étais tout excité de partir à l'aventure mais encore bien trop jeune dans ma tête. La ville de Gora fut ma première découverte, c'est la que je me posa pour ma première nuit. Je le coupa. - Tu es donc originaire du coin, il reprit.
Je ne savais pas ce que j'allais devenir ni même faire, je savais simplement manier l'arc et le fusil comme mon père me l'avais appris petit, il tenait une armurerie alors les armes, sa me connais. Je peux même dire que ta lame est assez émoussée et fatiguée. Tu devrais l'aiguiser plus souvent ou tu ne pourras même plus blesser ton adversaire.
Je le regarda silencieusement tout en touchant le fourreau de mon épée,comment pouvait-il voir l'état de ma lame alors qu'elle était soigneusement glissé au chaud?
-Dit moi Arold... comment peux tu savoir tout ça sans même l'avoir vue?Lui demandais-je droit dans les yeux.
-Hum...j'ai vécu seize ans dans une armurerie, je sais reconnaître une arme fatigué ou entretenue et de se que je vois tu ne fais guère attention à elle. Tu n'as également jamais tué avec cette épée,et ton bouclier me laisse penser que tu es plutôt celui qui se fait attaquer dans un combat.
Tues un templier certes mais sans aucune expérience de la vraie vie,tu devras tuer pour survivre mon ami.
Comme à chaque fois Arold me scia sur place d'un regard extrêmement observateur et efficace il put lire en moi toute mes fâcheuses habitudes au combat ainsi que l'état de mon équipement qui laissait réellement à désirer.
-Venant d'un sniper cela me gène. Fis-je en ricanant.
-Un sniper? Je suis a l'aise avec n'importe qu'elle arme, épée, hache,masse, fouet, dague... mais lorsque j'ai découvert les armes a feu j'ai eu comme une révélation. Bien sur j'ai toujours sur moi une petite dague – enfouis sous sa chemise – qu'il me montra ainsi qu'un arc en bois lourd mais qui semblait tellement léger lorsque Arold le maniait.
-Nous n'allons pas tarder à arriver à Gora. Nota le sniper en pointant de l'index un clocher d'église. Il m'expliqua qu'on pourra y passer la nuit et qu'il en profiterais pour aller retrouver une jeune prêtresse assez différente des autres sans me donner la raison de ses derniers mots. Peut-être encore un invocateur? Me demandais-je en voyant les portes du petit village s'ouvrirent.
-Nous voilà arrivé! Se réjouit Arold en entrant le premier. Je vais à l'église tout de suite, ne te fais pas trop remarqué ici! Me conseilla le jeune homme d'un clin d'œil en partant d'un ton vigoureux.
Me retrouvant seul, dans un village inconnu, je ne su quoi faire au premier abord. Arold était partis comme ça sans me dire ou l'on devait se retrouver. Je me sentis bête de ne pas avoir penser à lui demander quand une jeune fille de seize ans se précipita sur moi.
-S'il vous plaît beau guerrier! Épousez moi! Me cria-t-elle. Je ne réagit pas tout de suite, sûrement trop occupé à contempler ces magnifiques cheveux d'or tressés avec soin, elle ne portait qu'une simple chemisette blanche aussi pur qu'elle assurément. Elle se tenait à moi si fort que ma respiration se faisant faible. Elle me regarda d'un regard verdoyant. Il me transcendait en répétant de l'épousez. Je refusa une première fois bien gêné de la situation.Mais elle n'abandonnait pas pour autant.
-S'il vous plaît je vous en conjure donnez moi en enfant...
Cette phrase raisonna comme une cloche de midis dans ma tête. Je ne comprenais rien, tellement choqué par sa demande je ne sentais pas la jeune femme me traîner jusqu'à une petite chaumière ou se trouvait une vieille femme ainsi que probablement son mari.
-Grand père, grand mère! Regardez voilà celui qui donnera vie à vos petit enfants! Proclama la jeune fille avec un grand sourire.
-Oui oui... le grand père fumait un rouleau d'herbe dans un rocking-chair. Prêt de la fenêtre.
-Oh qu'elle beau jeune homme! Il me rappel ton grand-père jeune! Elle se leva et commença à toucher le jeune guerrier totalement désemparé de la situation jusqu'à ce qu'elle saisissent de pleine poigne l'entre jambe du jeune homme et fit une remarque plutôt blessante via à vis du jeune homme. Là, il se raidis et recula fermement.
-Calmez-vous,je... je ne ferais rien est-ce bien clair!? Dis-je en regardant la vieille dame.
-Ma remarque aurait-elle blessé ton orgueil d'homme? Ne t'inquiète pas,cela suffira amplement à lui donner des... je la coupa en ressentant mes joues rosirent.
-Cela n'a rien à voir!
-Alors pourquoi? Ma petite n'est-elle pas belle à croquer? Elle n'a eu aucune relation et à dix-huit ans, cela est un problème! Cela ne vous engage en rien au jeune guerrier. Nous souhaitons juste que vous dépuceliez ma petite cette nuit et que vous lui donniez un enfant si cela est possible en même temps.
-Oh!J'ai dit non! Vous comprenez? Répétais-je d'un ton plus fort que le précédent.
-Mais sur qu'elle ton me parlez-vous jeune homme! Brailla la grand-mère.
-Grand-mère...excusez nous du dérangement seigneur, nous espérons ne pas vous avoir offensé avec tout cela c'est juste que toutes les jeune filles ayant passé leur dix-huitième anniversaire s'en avoir été cueillit se vois châtié du village. Me confia la jeune blonde au bord des larmes.
Jefus touché par cette révélation mais je ne me voyais vraiment rester la pour la nuit.
-Vous n'avez qu'à mentir... ce n'est pas de grande fierté que je vous dis cela.
-Nous ne pouvons pas... ils le sauront!
-Qui?Et comment voyons ils ne peuvent savoir! Dis-je en ne comprenant passa réaction.
-Le maître du village ainsi que ces subordonnés...
-Je maintiens ce que je dis. Mentez leur de toute vos forces!
-Petit gamin va! Tu n'es qu'un lâche! Cracha le vieillard toujours en se basculant devant un journal.
-Lors d'une journée bien privés, il convoque toutes les jeunes filles de dix-huit ans pour leur faire passer leur test...
Je gloussa silencieusement, j'avais peur d'avoir deviné la réponse à la prochaine de mes questions.
-Et que se passe-t-il une fois à l'intérieur? Demandais-je alors avec une goutte de sueur sur le front.
-Ils passent toutes les filles dans leur lit dans des draps blanc... si elles ont déjà eu à le faire alors le drap restera blanc mais dans mon cas...
-Le drap se tachera... de la marque de pureté. Alors si cela arrive elles seront bannis de Gora. Termina la vieille les larmes aux yeux.
-C'est...atroce... cela ne devrait pas exister! Vous avez essayez de vous faire entendre? Demandais-je.
-Oui mais Jean de Bois. - Maître de la maison de Bois – est un excellent guerrier. Il manie la hache comme personne.
-Je vois... désolé de vous décevoir mais je ne me donnerais pas. Par contre... je peux peut-être vous aider.
La jeune blonde intéressé m'invita à m'asseoir sur une modeste chaise en bois.
-Je suis accompagné d'un ami, nous pourrions peut-être vous aidez à vous débarrasser de ce Jean de Bois. Mais avant tout... je dois retrouver cette personne. Quand à lieu cette chose infâme?
-Demain.
-Je vois... cela ne pouvait tomber que maintenant. Soupirais-je en sortant de la maison en promettant de revenir vite.
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