Jean De Bois!
Arold étais partis en me laissant seul, d'un pas décidé son visage d'habitude confiant et chaleureux devenait avide d'expression. Il pressa son pas et se faufila dans les rues jusqu'à se tenir deboutdevant l'ancienne église la grande porte ouverte ou des villageois ainsi que prêtre passaient.
Il entra après une petite prière dans le monument. Une atmosphère typique aux églises planaient et écrasait quiconque entrait. Ilsemblait chercher quelqu'un du regard tout en baissant doucement la tête quand un vieux prêtre l'approcha.
-Veillez déposer vos armes dans la pièce faites pour cela à l'extérieur je vous pris, vous êtes dans l'une des maisons de dieux nous ne pouvons pas permettre que de telle arme sois en ces lieux.
-Je ne suis que de passage, je recherche une jeune femme appelé Angèle la connaissez-vous? La dernière fois elle était ici... le prêtre sembla étonné d'entendre ce prénom et emmena Arold a l'extérieur.
-Vous ne savez pas pour la pauvre Angèle?... demanda le serviteur de dieu. Arold se redit, il comprit qu'il lui était arrivé malheur.
-Dite moi tout.
-La pauvre Angèle était une fervente croyante et... elle refusa des'offrir au chef de la maison de Bois.
-Je vois... Jean est bien décidé à mettre la main sur elle...
-Oui...elle fut donc soumise à finir sa vie dans les cellules du sous-sol de leur maison...
-C'est atroce... Jean de Bois à du la punir... soupira Arold en ayant une vision affreuse du type de punition que pouvait utiliser cette homme.
-Mais...elle resta croyante et n'accepta rien d'elle même en tout cas. Que dieu reconnaisse son dévouement envers lui...
-Combien de temps?
-Comment?
-Depuis combien de temps est-elle la dedans? S'énerva alors Arold.
-Une semaine, un peu plus... un peu moins... je ne sais plus exactement. Mais si je peux me permettre... qui êtes-vous?
-Un ami. Je dois la délivrer au plus vite, ou se trouve l'armurerie du coin?
-Derrière l'église monsieur.
-Merci mon brave. Arold jeta une pièce au prêtre pour ses informations et partit pour le magasin d'arme. Il y entra et pour la modique somme de deux pièces il repartit avec des recharges de munitions ainsi qu'avec le carquois de son arc plein. Je dois trouver ou se trouve letemplier... il fit le tour des maisonnettes, le temps était tellement important à ses yeux qu'il entra dans plusieurs chaumières sans même crier gare et dérangea les habitants dans leur occupation toutes différentes les uns des autres. C'est quand au loin il vit de dos le jeune recherché.
Il m'approcha et posa sa main sur mon épaule, et sans attendre, il était rouge de colère. Je voyais dans ses yeux la haine. Il m'expliqua se dont il voulait me parler, ce qui m'arrangea car je voulais également m'y rendre pour cette jeune fille.
-Mon épée est assez aiguisé? Demandais-je en lui tendant de pleinemain.
-Hum...assez pour un combat oui mais il faudra ensuite l'aiguiser de bonne main.
-Très bien. Que faisons-nous alors?
-Nous allons nous rendre à la maison des de Bois.
-Mais nous allons créé une émeute générale! Fis-je remarquer.
Arold n'y avais pas pensé, prit de colère il s'était sentit pousser des ailes pleine de colère. Puis malgré qu'il soit de nouveau au calme et serein il décida d'attaquer de jour. Peux sur de son choix jel'accompagna avec une boule au ventre, et si quelqu'un nous voyait et appelait des renforts? Et si nous nous retrouvions blessé parceque nous étions trop visible? J'informai Arold que Jean de Bois était un expert dans le maniement de hache ce qui le fit rire.
-Nous verrons bien si il résiste à ma technique.
Je retrouva alors le Arold que je connaissais, fière et convaincu de sa victoire il avança d'un pas glorieux avant même d'avoir vaincu.Pendant ce temps la je pensais étrangement à cette jeune blonde qui m'avais accueillit de façon original à Gora.
-Nous avons tout les deux nos raisons templier, nous nous battrons donc de toutes nos forces.
Je ne pouvais qu'acquiescer de la tête malgré que mon sang bouillonnait dans mes veines de peur. On arriva alors au portail des de Bois. La Arold me glissa silencieusement un regard pour m'indiquer le début de l'opération. Quand un valet vint nous ouvrir.
-Messieurs ont-ils rendez-vous au près de Monsieur de Bois?
Arold enfonça furtivement une des dagues qu'il cachait sous sa veste et lareprit. Il me regarda et me dit de glisser le corps dans un buisson à deux pas d'ici, par chance personne ne nous avais vu. Arrivé à la porte d'entrée j'attendis les ordres de Arold mais lui c'était déjà positionné près d'une fenêtre de façon à ne pas être vue etbrandit on long fusil qu'il avais sortit de je ne sais où. Il tira àtravers le verre et blessa mortellement une personne ce qui alerta toute la maison. Je le vis alors défaire son long fusil en deux revolvers bien étrange. Il me fit signe de dégainez mon épée. Je m'exécuta et m'apprêta à pourfendre les ennemis qui passerait la porte encore fermé. Je n'avais pas compris. Il ne voulais pas que je sorte ma lame mais que j'enfonce la porte. Je me sentis bien bête et décida de reculer en entendant du bruit en provenance de derrière la porte. Arold grimaça et fusilla rapidement mais adroitement deux hommes armés postés au fenêtres au-dessus de nous à l'étage.
-Allez bouge toi un peu! Tu as un bouclier ta place est devant à la mêlé moi je couvre tes arrières! Me cria mon partenaire en tuant la quasitotalité des hommes de mains de Jean. J'entrai dans la maison, les corps agonisants gisaient, le spectacle propre, aucune marre de sang, seulement quelques ruissellements qui provenait des blessures des balles d'Arold. Je chercha énergiquement la porte menant au sous-sol– Arold m'avais indiqué son existence – pour aller délivré la fameuse Angèle. Je finis lors par la trouver, j'inspirai une grande bouffée d'air frais et descendit dans les ténèbres sachant très bien qu'Arold ne pourrais pas venir m'aidez de suite, il fallait d'abord qu'il finisse le travaille dehors. Je sortis de son fourreau mon épée effectivement peu affûtée et mon bouclier avançant prudemment dans l'ombre. La seule lumière était celle provenant des petites fentes faisant office de fenêtre dans les cellules. Jamais je n'aurais imaginé que ce trouvais un telle endroit sous cette maison. Quand je heurta du pied une pierre et trébucha.
-Bah alors! On vient me rendre une petite visite inattendue et on tombe sur un caillasse? Laisse moi rire, j'espère que tu n'es pas la pour me tuer! Ricana ouvertement un grand homme au loin qui venait d'allumer toute une rangé de lumière.
-Jean de Bois... Crachais-je de dégoût en le voyant.
-Ouais c'est mon nom! Mais dit moi, je ne te connais pas! Que viens-tu faire ici? Et mes hommes alors?
-Ils sont mort. Je suis la pour débarrassé le pauvre village de Gora de toi sale monstre. Oh combien je pouvais trembler en disant ces mots qui me figèrent sur place.
-Très bien... alors comme ça tu es un guerrier d'un certain niveau si tu es parvenu jusqu'à moi! Le combat sera peut-être distrayant. Il seleva du banc ou il était assis et marcha devant moi et ouvrit un placard pour en sortir une grande hache.
-J'ai bien peur que ton petit couteau ne résiste à ma hache... mais bon... tu es venus pour me tuer, sois un homme et bat toi! Il souleva le long manche de son arme de destruction et asséna un coup latéral.Je pus l'anticiper et faire un bond sur le côté mais l'allée très étroite je ne pourrais pas m'en sortir à chaque fois. Il recommença et moi également.
-Pas trop mal.
Ilprit sa hache et la fit tournoyer au-dessus de sa tête puis la jeta soudainement. Je ne pus que mettre mon bouclier entre elle et moi qui encaissa le choc et se fendit en deux laissant la hache marqué unpremier coup sur mon bras gauche. Je profita de l'absence de son arme pour avancer et donner un coup horizontal qu'il esquiva puis un coup d'estoc malheureusement anticipé. Il put me donner un coup de coude dans le visage et me faire tomber. Il ramassa sa hache d'une main et m'approcha toujours écrasé au sol après ce coup de coude si puissant.
-Tu es vide. Comment ai-je pu croire un instant que tu serais fort. Il brandit son hache jusqu'à frôlé le plafond incroyablement haut et me regarda avec des yeux d'adieux.
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