Angèle la prêtresse

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Je le regarda avec des yeux de supplice, je ne voulais pas mourir la et maintenant. Je le supplie alors oralement de me laisser la vie sauve malgré le peu d'espoir qui me restait. Je le vis alors hésiter, ma stratégie fonctionnait! Il abaissa sa hache et la posa contre le mur.

-Merci...je n'ai pas beaucoup de fierté à en tirer... dis-je en baissant la tête tout en le remerciant.

-Arf...je n'ai rien fait d'exceptionnelle, juste accorder un sursis à un môme.

Je n'étais pas sur que de lui parler de l'événement de demain était une bonne idée mais je devais le faire. Mon esprit ordonna à ma bouche de prononcer cette phrase pourtant impossible, elle refusait catégoriquement de l'ouvrir.

-Tu comptes rester la longtemps encore à me regarder?

-Euh...bah non je... enfin...

-Ah te voilà Jean de Bois! Libère Angèle ou tu trépasseras!

-Quoi encore? Un deuxième gamin qui va me supplier de ne pas le tuer c'est ça? Sur ces mots, Arold comprit ce qui c'était passé entre lui et moi.

-Je ne suis pas comme lui, je ne suis pas faible! Arold tira une balle dans le mur, il l'avais fait rasé le crâne de Jean de Bois pour lui faire entendre le contraire.

-Je vois... intéressant... il se releva et saisit la hache de nouveau.

Arold tira une pluie de balle dans tout les sens, certaines me frôlèrent sans m'atteindre, sûrement un coup réfléchis d'Arold quand il lança très haut ses deux armes à feux et tira une flèche qu'il venait de tirer de son carquois, il eu le temps de ranger son arc pour reprendre juste à temps les revolvers et continuer de tirer cequi avais surpris Jean et l'avais atteint. Arold souffla sur les pointes de ses deux armes à feux et les rangeas dans leur poche respective à sa ceinture. Jean de Bois n'avais pas été tué sur le coup. Étais-ce fais exprès ou bien juste un louper du sniper?Qu'importe je pris les clefs que l'homme avais dans la poche et les donna à Arold qui alla ouvrir une cellule blindés au fond du couloir. Une jeune prêtresse quasiment dénudé était recroquevillé sur elle même. Les assiettes que l'on lui servait restait froide sur le côtés. Elle ne buvait que de l'eau et n'avais mangé qu'une ou deux fois dans la semaine histoire de ne pas mourir.

-Arold?Non je ne veux pas que tu me vois comme ça! Pleura la jeune femme pleine de honte mais de joie également.

-Angèle...viens avec moi je vais te sortir de la.

-Mais ou est Jean? Demanda la fille de peur.

-Il est mort.

Un sourire se dessina sur le minois sale de la jeune femme.

-Que t'as-t-il fait ce salaud?

Elle baissa la tête de honte et ne voulus répondre, son silence suffisait à Arold qui la prit dans ses bras et la sortit en lui passant sa veste sur ses épaules dénudées.

-Nous devons partir, vite! Dit Arold en remontant à la surface.

Je ne disais rien, trop honteux de mon comportement je n'osais plus regarder mon partenaire dans les yeux. Que pouvait-il bien penser de moi désormais...

Nous nous échappèrent de la résidence des de Bois et allèrent nous cacher dans une ruelle le temps de vêtir un peu mieux la pauvre femme. Puis nous nous dirigèrent vers l'église.

Nous récoltions ses affaires et partirent vers l'entrée de la ville quand je me souviens que je devais d'abord aller informer la famille de la mort de Jean. Arold ne m'avais pas adressé la parole depuis la sortit de la maison mais je me devais de rester concentré et ne pas montrer mes sentiments. J'entrai dans la maison. La grand-mère regardait à travers un petit espace d'une porte entre-ouverte. Et ne m'avais pas vu. Je nettoya ma gorge de façon à se qu'elle me remarque quand j'entendis de petit cris aigus monter en puissance en provenance de la pièce ou espionnait la vieille.

-Vous revoilà! Nous sommes désolés du dérangement pour tout à l'heure mais... nous avons trouvé quelqu'un!

-De toute évidence vous n'avez plus besoin de moi! Rigolais-je avec toujours ses petits bruit provenant de se qui devait être une chambre. Je sortis donc sans attendre et retrouva mon compagnon qui m'avais attendu.

-Alors?

-Tout est réglé... ils sont occupé en ce moment de toute façon! Dis-je pour rigoler mais Arold ne fut pas réceptif.

La jeune femme voyait bien que nous étions en froid sans même savoir pourquoi quand ses yeux tombèrent sur ma blessures. Elle s'approcha et l'examina...

La prêtresse nous traîna dans la forêt, elle sortit ensuite une belle lyre d'argent avec quelques gravure religieuse et commença à jouer un air envoûtant très doux, il me sembla oublier toutes douleurs et dit tout bas de sa voix la plus angélique « Notes de guérison ».Mes blessures furent aussitôt en train de se refermer petit à petit et sans aucune douleur. Puis elle rangea son instrument dans une petite pochette et se tourna vers Arold adossa à un arbre qui me regardait avec un regard indécis.

-Je vous dois tout, comme l'autre fois. Remarqua-t-elle en remerciant encore une fois Arold puis ma personne d'un sourire magnifique.

-Ce n'est rien il n'y à rien de plus normal. Dis-je.

-Angèle que vas-tu faire désormais? Demanda Arold l'air inquiet.

-J'aurais voulut retourner à l'église exercer ma profession mais... ce n'est plus possible...

-Je vois... veux-tu que l'on t'escorte quelques part? Proposa Arold qui semblait prêt à l'emmener ou elle voudrais aller.

-Je...je n'ai nul part ou aller... et sinon, que faites-vous ici?

-Nous sommes en quête de vengeance. Lui expliquais-je avec quelques détails.

-Vous allez sûrement devoir parcourir terre et mer afin de retrouver cet homme, vous aurez besoin de moi je vous accompagne! Cria la prêtresse.

-Je pourrais vous guérir après vos combat et puis... ma formation de prêtresse m'a appris des aptitudes de base à la lyre tel que la note de guérison ou la note antidote. Je m'améliorerais en route promis! Dit-elle avec temps d'envie qu'elle nous envoûta tout les deux. Nous venions de nous faire une nouvelle amie qui plus est belle femme. Arold ne fut pas tout à fait enjoué de le savoir mais ne fit mine de rien et m'approcha –cela m'étonna sachant que nous étions en froid depuis la fin du combat contre Jean de Bois -.

-Cela ne m'enchante guerre qu'Angèle nous accompagne alors veillons surelle tu veux bien?

J'hocha la tête en guise de réponse. Après tout c'était son choix et j'avoue qu'avoir une présence féminine me ferais le plus grand bien au moral mais également avec ces capacités de guérisseuses.

-Ou allons-nous maintenant? Demanda-t-elle alors avec un sourire malgré son état encore trop fatigué.

-Nous allons simplement chercher un lieu pour nous reposer pour la nuit.Fit Arold alors en se levant.

-Pourquoi ne pas rester ici dans ce cas? Personne ne passe ici regarde les herbes sont bien sauvages, aucune trace de pas non plus.

-Je suis pour l'idée d'Angèle. En plus elle n'est pas en forme ne la fatiguons pas plus Arold.

-Oui.

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