X II – La Prudence ou le Peuple
Moins d'une minute de lecture
Il plonge ses mains flammes, et empoigne une pierre, un galet coquelicot.
Il te donne son cadeau ; tu l’accueilles, endurant ses escarres.
« Mais il n’est aucun souverain qui règne sur le Rien. Tout bon marcheur doit avancer le pas assuré ! Cette pierre, son poids, c’est un faix, un rappel des conséquences ; des âmes qui portent tes maux, du dam que portent tes mots. C’est un héritage qui te retient à la terre, à la fange ; et c’est le trésor duquel tu t’essores vers le Ciel. »
Annotations
Versions