Pseudo : Marquis du bois dur Titre : Monica
***** ATTENTION CONTENU EXPLICITE A CARACTERE SEXUEL*****
Pour moi, notre rencontre dans les toilettes d’un bar mal famé de la capitale avait été un véritable coup de foudre, – peut-être que je pourrais remplacer le « d » de foudre par un « t » en y réfléchissant bien – oui, je suis un véritable poète, un magicien des mots comme l’aime à me répéter ma Carlota.
Carlota, c’est ma femme, ma tendre moitié. Elle et moi, ça fait dix ans. C’est fou ce que le temps passe vite ! Bien sûr, elle ne ressemble plus vraiment à la fille que j’ai épousée, elle a pris quelques formes là où elle n’en avait pas avant et s’est mise à boire, mais, que voulez-vous ? Elle reste mon double – dans tous les sens du terme.
J’en reviens à mon histoire : je n’avais pas eu le temps de refermer la porte des chiottes que le sosie de Monica Bellucci s’était faufilé derrière moi. En fait, je n’avais vu son visage qu’ensuite, une fois que j’avais eu fini de comptabiliser les un mètre vingt de jambes gainés de bas couture et de détailler son petit cul moulé dans une jupe en cuir sexy en diable.
Elle avait refermé la porte derrière nous et enfin, j’avais découvert son minois qui n’avait rien à envier à celui que j’avais découvert peu avant. Son mascara avait un peu coulé, mais pour sûr, elle restait une beauté comme on n’en voit pas tous les jours. Un joli p’tit lot que n’importe quel homme bien constitué aurait désiré.
J’avais pensé qu’elle aurait essayé de faire connaissance… qu’elle m’aurait donné son prénom au moins. Mais elle s’était jetée dans mes bras, comme ça. Je vous entends de là, bien sûr que j’aurais pu la repousser, mais, franchement, j’avais pas le cœur à ça. Ses larmes qui dégoulinaient sur son décolleté plongeant et sa formidable poitrine appuyée contre mon torse m’avaient retiré toute volonté. Dès cet instant, je n’avais plus pensé qu’à une chose, et ce n’était pas à mon envie de pisser ! Je peux pas résister, quand je vois une jeune femme en détresse, il faut que je l’aide. Je suis une bonne âme, que voulez-vous ?!
Une fois ses larmes séchées, elle m’avait embrassé goulûment, ouvert ma braguette et avait saisi mon membre dressé – il faut dire que la promiscuité aidant, on aurait pu abriter un camp de scouts dans mon futal. Ensuite, elle avait entamé de lents va et vient en pressant juste comme il le fallait. Pas farouche la p’tite !
Lorsque j’avais été assez dur pour elle, elle avait relevé sa jupe et s’était empalée directement sur ma verge. Quel délice ça avait été ! Contrairement à Carlota qui m’avait donné deux enfants, celle que j’avais prénommée Monica, était étroite comme une vierge. Cela n’avait pas pris très longtemps pour que je jouisse en elle et un peu partout autour vu son empressement à se retirer quand elle avait senti monter ma liqueur. Mais qu’importe, ces chiottes étaient déjà dégueulasses !
Après ça, toujours sans un mot, elle était revenue se blottir contre moi et m’avait câliné durant de brèves minutes. Puis, nous nous étions rhabillés et elle m’avait emmené chez elle.
C’est à ce moment là que les choses s’étaient gâtées…
Encore maintenant, je ne comprends pas trop ce que ma femme fabrique chez Monica. Carlota m’a assommé alors que je passais le chambranle de la porte et j’ai un horrible mal au crâne. La maison est déserte et totalement vide si l’on fait abstraction de l’immense écuelle collée au mur du fond ainsi que des trois énormes cochons accrochés à un solide anneau riveté au mur.
J’aimerais bien crier mais je ne peux pas. Pendant que j’étais inconscient, elles m’ont attaché et solidement bâillonné. La seule chose que je peux faire, c’est d’écouter ce qu’elles se disent :
— Un gros porc bouffé par des cochons ! N’est-ce pas ironique ?!
— Le meurtre parfait, petite sœur !
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