L’être observe avec attention la fissure qui s’illumine progressivement de pourpre au-dessus de sa tête, pendant que des murmures se font de plus en plus audible.

Patient, il se peigne le poil, se lustre les cornes, se taille les griffes et s’astique les sabots.

Puis enfin, il s’empare de son dentier aux crocs proéminents, qu’il se glisse dans la gueule.

Voilà ! Il est fin prêt !

Plus qu’à attendre encore quelques instants, le temps que les autres aient fini, là-haut !

Vite, car il n’a pas que ça à faire non plus…