On l'appelait prédateur
Moins d'une minute de lecture
Sombre est l'horreur
De contempler la mort
Au bas de son palier,
De constater avec agitation et stupeur
Les flagellations reçues par sa victime,
De ne pouvoir la toucher
Devant la décapitation de cette pauvre humaine
De cette scène diabolique et mortuaire
Du fossé entre la vie et la mort
De savoir qu'un prédateur
Rôde dans notre paisible campagne
Et qu'à tout moment, il peut recommencer
Alors tu savoures d'entendre battre ton cœur
Car demain est peut-être
Ta dernière heure à vivre sur terre
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