L'Avocat du Diable

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— Mademoiselle ?

— Oui Monsieur ?

Je suis en entretien avec l’avocat pour la troisième fois en deux mois. Mon état c’est légèrement améliorer et j’ai le soutien financier, assez intriguant d’un nouveau directeur pour m’assister. L’affaire est au point mort et se tarit faute de nouveaux éléments probants

Solentic est dirigé par Adams Kim, l’ancien directeur général après un vote suite à de longues semaines de négociations. Il a une vision différente de mon père. De plus, il a osé, plein de courage, porter une vérité en accordant des interview aux médias pour rassurer le monde qu’il n’y a aucune méfiance à avoir les concernant.

Ensuite, il a prévenu la mise en place d’un vaste contrôle aux méthodes secrètes pour virer ceux qui ont menés des collaborations avec des clients corrompus, en les menant à la justice française. Pour finir, en revenant à l’avocat, il désire que mes parents soient juger avec les autres ici.

Je n’ai eu aucun contact physique ou téléphonique avec lui. Seulement un courrier et des chèques. Bérénice et Yolande ne voulaient pas que j’acceptent, même Zaik était un peu hésitant. J’ai rétorqué que c’est une chance à saisir pour les faire revenir.

Et donc me voilà dans son bureau, Zaik m’attend dehors.

— Je viens d’avoir Monsieur Nicolas, notre porte-parole, juste avant notre rendez-vous. Il nous informe que vous pouvez discuter avec vos parents pendant une demi-heure au téléphone. Il précise que l’échange sera possiblement surveiller. De plus, le gouvernement m’accorde un rendez-vous avec eux.

— Eu… attendez Monsieur. Je ne comprends pas comment ce gouvernement corrompu dont la vrai justice n’existe pas, peut accepter qu’un avocat d’un autre pays vienne ?

— Est-ce un piège ? Je verrais bien. De tout manière, je vais essayer de tout faire pour les libérer.

— Sinon vous avez lu les journaux de mes parents ?

— Oui et heureusement, personne ne sait leurs existence.

— Vous pensez qu’ils ne seront pas condamnés là-bas ?

— On va essayer.

— Mais Monsieur Kim veut les condamnées…dans tout les cas, je préfère que vous les défendiez plutôt que de les voir pendus…vous avez des nouvelles d’une date les…

— L’été sans plus de précisons. Ecoutez, sur place, je vais négocier pour les libérez en argumentant que le gouvernement semble laissé tomber les accusations. Et en les faisant croire qu’ils seront punis chez nous.

— Ils vont y croire ?

— Il faut tout tenter sur ce dossier sensible.

— Merci Monsieur, sinon pour l’appel, comment ça va se passer ?

— Je vais recevoir dans une semaine, une date et une heure. L’appel sera passé sur mon numéro de portable professionnel. Je n’ai pas souhaité lors des dernières tractations, vous mettre plus qu’en danger. J’ai donc jouer la carte du mensonge en leur faisant croire que c’est votre ligne.

— Merci encore de votre dévouement. Je m’attendais pas à autant.

— Je suis là pour ça. Au fait, je vous ai déjà informé que j’ai déjà travailler pour eux ?

— Non…Monsieur Kim m’a parlé de vous comme l’un des meilleurs avocats dans des dossiers complexe et délicats pour des hauts responsables.

— Je pensais vous l’avoir annoncer.

— Et…enfin, ils cherchaient quoi en vous contactant ?

Il se penche plus vers moi et je me doute de ce qu’il compte me confier :

— Je suis un proche ami depuis leur adolescence. Pour un homme de loi, je ne dois pendre aucun partis sauf qu’on est tous humains…Enfin bref, maintenant qu’on se côtois un peu plus, je viendrais te voir à la maison ou prendre un verre pour t’expliquer pourquoi j’ai la même vision qu’eux. Attention, mainte fois, j’ai mis en garde contre leurs extrêmes…cependant, changer le monde, est une bonne chose. Toujours les mêmes choses, les mêmes bords et folies.

— Je….

— On va rester ici dans le cadre professionnel et pour les affaires traités, il en a eu trop pour être cité et en privé. Un café ? J’ai finis ma journée.

Il éteint son ordinateur souriant et j’ai peur. Je le pense sincère pourtant. Il se lève et je le suis après qu’il se soit changer. Il parle quelques secondes à la secrétaire et j’en profite pour héler Zaik qui nous conduit au café préférer de Monsieur Joan. Zaik est même invité et on reste silencieux devant le long monologue à voix basse. Enfin, il nous questionne sur divers autres sujets.

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