Le jeu à sens unique

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Le café corsé assis dans mon fauteuil de la chambre, permet à mes pensées d’être plus limpide. J’observe la mienne qui dors paisiblement nue dans une drôle de position. Magnifique bijoux et c’est l’heure de faire le bilan.

Mon cœur brûle et ma tête tambourine à forcer d’être indécis. Je regrette déjà de m’être livré. Démontrant un cœur fragile, une âme torturé et une vie rythmée par mon travail.

Pour Laurence, pour mes amis, j’étais jeune, rêveur, passionner, drôle et fêtard. Sa mort, m’a effectivement fait vriller. Me méfiant de tous et enfermant dans une cage mon cœur. Je suis calculateur, je l’assume et ça me permet de rester en vie, de ne pas sombrer.

Quand je suis chez moi, je fume, je bois devant le tableau abstrait de Katnik, une copie. Puis, le jet froid élimine le tout avant de noter sur mon carnet, celles que j’ai tenté d’aimer. Des noms, des dates et des avis tous positif. Seul moi, est refusé de donner suite.

Elle, la jeune Adeline est venu à moi sans que la cherche. Dès notre première rencontre, elle m’a eu. Je la voulais sur la table pour me soulager. Ce n’est que dans la douche, que je me suis libérer.

Laurence et elle se ressemblent beaucoup. Et puis, faut que j’admette que j’aime pour la première une jeunette. Il me manquait ce quelque chose à partager au-delà du savoir. Au-delà de nos corps réunis…Une personne qui me juge pas, qui à tout à expérimenter et qui m’aime comme je suis.

Et si elle n’a eu qu’un coup de foudre, je… Non ! Elle ne doit pas m’échapper ! Elle est faite pour moi et moi pour elle !

« Hello mon pote ! Comme va le superman ? Je suppose que notre fille dors encore, j’espère que tout c’est bien passé hier. Nous on était au casino ! On a perdu mais on s’en fou. Ce matin, on va à la plage. Bise de notre part ! »

Ok, que répondre ? Je repose le téléphone avec la tasse vide d’une traître sur la commode à ma droite. Il est sept heure et je dois me vider. Je n’ai pas honte de le faire, ma première fois mais faut que je le fasse.

Doucement, je lui écarte ses cuisses et me met sur mes genoux pour me masturber. Prenant le temps de la caresser. Elle se réveille de surprise quand je la fais gémir et la fait taire en l’embrassant tout en continuant.

— Coucou ma belle. Une envie.

— Je…

— Sinon je le fais seul dans la douche…

Je me retire et commence à m’en aller. Elle a marcher dans mon piège et me rattrape en m’enlaçant à ma taille comme une petite fille.

— Ne pars pas.

— Je ne veux pas te forcer…désoler de ça. Je ne recommencerais plus.

— J’aime ces moments intimes. Je n’ai jamais ressenti ça auparavant. Tu es comme un père, tu crois plus en moi qu’eux. Plus présent même si eux le sont maintenant. Je veux te faire plaisir car tu m’aimes comme je t’aime.

Je souris fier comme un paon. Si jeune, si fragile. Je la repousse plus fortement dans le lit et je revient nu. Entre elle, je la prends directement, elle ferme un peu les yeux heureuse.

— Alors quand tu dors, tu me permet d’éjaculer, de te mouiller pour mon plaisir ?

— Je ne veux pas te décevoir. Tu m’as sauvé la vie en les ramenant en vie. Tu sembles bien savoir ce qui est bon pour moi.

Je m’arrête pour la retourner et en finir. C’est essoufflé, toujours en elle, que je lui répond sensuellement en bécotant sa douce peau partout où je peux :

— Tes parents ont bien accouchés d’une belle chose et ils ont mal appliquer les bons conseils en tout. Alors, oui, je sais ce qui est bon pour toi. Bien que tes parents se sont rattraper, tu as quitté le nid pour t’envoler avec moi. Je suis ton guide, ton homme, ton Maître. Tu m’as donner ta confiance, ton corps, ton amour pour moi. Tu es bonne aussi pour moi. Je t’aime et tu ne seras pas déçu du voyage. Un jour, on voyagera pour rester que tout les deux. Loin de tout, des autres.

Je me retire pour partir à la douche, elle met deux minutes à me rejoindre. Elle coupe l’eau et me retourne plus paniqué :

— Comme ça loin des autres ?! J’aurais besoin de les voir ! Même mon amie !

Je l’embrasse puis le prend son visage entre mes mains.

— Tu comprendras bien vite que rester ici te perdras. Il faut couper un arbre pour refaire une forêt. Les autres vont devoir accepter que tu seras prise par le travail pour notre entreprise. Il n’y aura que moi qui compte.

— Je pourrais au moins les appeler ?

— Bien sûr. Dis-toi que dans un an ou deux, on quitte la France. Finis de laver, va déjeuner avant ton premier cours et attend moi à la table du salon nue sous ton tee-shirt et sans rien donc en bas.

— Si tu veux Alex.

— Pas de si tu veux. C’est Maître maintenant.

********

J’aimerais qu’il arrête ce jeu pourtant j’ai hâte de savoir comment les leçons va se passer durant les deux semaines. Une fois déjeuner, assise, il arrive en costard comme hier et avec un carnet de note ainsi qu’un livre de comptabilité.

— Je reviens.

Il ramène des stylos ainsi qu’un fouet. Je panique me rappelant mes parents mais il me rassure assis à mes côtés.

— J’exige comme eux du parfait. Une petite erreur ça passe mais plusieurs grosses, quelques coups dans le dos nue. Tu comprends ?

— Oui Alexandre mais tu m’as promis…

— Chut, c’est Maître et c’est que pendant les cours. J’ai une crème et ça sera vite oublier. Tout manière tu es une bonne élève donc montre-le-moi maintenant. Page trois.

Je me concentre sur les exercices complexe d’un niveau élevé et j’écoute ses explications.

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