Prologue 2
Voici le prologue en poème, je me demande encore s’il sera utilisé dans l’histoire, mais à vous de me dire si c’est plus sympathique à lire pour un début.
La porte des Tréfonds ouverte,
vomissant de milliers d’ombres.
Les plaines d’Helheim déserte,
les accueillit sans encombre.
Apeurés, les Diables se cachèrent.
Observant les deamons assombrir leur désert.
Protecteur, les anges chevauchèrent les airs,
ils découvrirent la contrée plongée dans la misère.
Combattants sans peur, les ailes lumineuses
perdirent leurs plumes et leurs cœurs.
Les tout-puissants virent les ombres tueuses,
déchirant et dévorants comme des sans-cœurs.
Les dieux combattirent les monstres,
sur les corps meurtris des ailes rougis.
Puis le Néant princier se dévoila de la pénombre,
Loin des monstres, il semblait assagis.
La mort voulait être célébrer,
devenir les égaux des races supérieurs.
Une femme au regard ambré,
se présenta avec une aura de meurtrière.
Choqué par la créature au coeur noir pur.
Le néant ne put se battre contre les Diables.
Jeté dans un puit sans fond, comme une pourriture,
le Néant hurla d’un cri inoubliable.
La guerre finit après milles années,
Les Dieux perdirent leurs statuts.
Les Diables pour trahison furent damnés.
Les Anges déchirés furent perdus.
Tandis que la malédiction du Néant se répandit,
Femme et Ombre ne firent plus qu’un, ensemble.
Les hommes effrayés les trahis,
Tuées, abandonnées, les chasseuses tremblantes.
Cherchant le pardon, les anciens Dieux
offrir leur nouvelle cité comme refuge.
C’est ainsi que tous les cinq ans, elles vinrent dans ce lieu.
Pour vivre en paix sans juges.
C’est ainsi que notre histoire commence ...
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